Chapitre 1

(au dessus Dmitri vous le verrez dans la partie de Salomé, il vient de inazuma eleven go Galaxy storm wolf)

*** Loane

Je regardais Jude, ma vie allait recommencer du bon pied. Il y a une heure mon fiancé, pardon mon ex fiancé a annoncer son amour pour son conseiller David à tout le pays lors d'une interview il en a profiter pour rompre nos fiançailles, depuis le début je sais que ce cher comte Sharp aimait les homme surtout son cher conseiller. Je l'ai poussé pour qu'il avoue son amour à celui qu'il aime et ça a marché. Maintenant je n'ai plus qu'a faire la pauvre fiancée qui vas essayer de refaire sa vie au prête de l'homme qui l'a tromper et de son compagnon, une vie que j'aime beaucoup. Finie le mariage arrangé la fiancée docile même si Jude me laissait faire ce que je voulais. J'était dans un des salons. David et Jude était assis en face de moi sur un des canapé

- Alors qu'a tu pensée de  l'interview dit Jude angoissé.

- Sa te fait peur autant que ça, c'était magnifique, de la pur amourette dis je en riant. Ne t'inquiète pas c'était parfait surtout le baisé à la fin, vous pouvez vous en refaire un, je n'ai pas bien vus. 

Ils se collèrent et s'embrassaient. Je souris moi et Jude étions amis et ex fiancé selon les médias et cela m'allait très bien. On toqua alors à la porte, c'est étrange aucune visite n'était annoncer, David parti ouvrit c'était un valet il apportait une lettre.

- Pour Mademoiselle Viribus dit il.

- Pour moi répondis je étonnait.

Je pris la lettre sans demandé mon reste. Le valet parti, je repartis m'asseoir ouvra la lettre avec le cutter qui était mis à disposition  avec la lettre. Je la lis, non, au moment où je croyais que tout allait se déroulé selon ce que je voulais Tamara en fesait à sa tête.  Je mettais la lettre sur la table, balança ma tête en arrière et regarda le plafond. David et Jude me regardèrent avec attention et beaucoup de peur.

- Ce n'est pas possible soupirais je

- Que ce passe t'il dis David

- Mon frère à écrit cette lettre pour m'informer que ce soir je dois me rendre à la gare pour aller à la demeure d'or

- La demeure ou sont réunis la famille, Blade, Quagmire, Incy et la société El dorado s'exclama Jude

- Oui, il veut que je marie avec le cadet de la famille Blade. Je dois préparer mes affaires

Je sentis une horrible colère m'envahir, mon frère fait selon ces règles et je serai bientôt ce que j'était il y a deux jours et ce que j'aurais dut êtres, la parfaite épouse, docile et muette comme il se doit.

*** Régina

Grisaille, pluie, tromperie, vengeance et luxure. Voilà les mots qui définissent Paris. Assis sur un fauteuil en haut de cette tour je regardais mon père. Il ne me parlait qu'a travers des E mails ou des messagers, cela vas faire 1 ans que nous nous somme pas vu en face depuis une cérémonie pour laquelle je devais faire la gentille petite fille. Pourquoi aujourd'hui et maintenant allait il abordé ce sujet fatidique. Je le crin, Hélas. Mon père était à son bureau entrain de faire glisser son verre de vin entre ces doigts. Ma mère à ces coté ne pipait mot comme d'habitude.

- Sait tu pourquoi je t'ai fait venir, dit mon géniteur une pointe de victoire dans la voie.

Je le regardais, cette homme je le détestait, je haïssais ce régime où nous étions des marionnettes où les entreprises s'alliait grâce à leurs progénitures pour devenir de plus en plus influent.

- Oui dis je mollement, enfin je le pense.

- Hé bien tu as tout bon ! Dés ce soir tu sera dans ce train conduisant à la demeure d'or tu épousera un des fils de la collaboration El Dorado ! Ne te rend tu pas compte petite sotte. Tout ce qui m'attend.

Mais déjà je n'écoutai plus. El dorado, une grande entreprise regroupant des chercheurs des quatres coins de la planète, riche et influent. Deux mot qui définissait tout ce qui était parfait dans ce monde selon mon père. La demeure d'or regroupant de grandes familles de grand collaborateurs. Je regardais ma mère. J'allai devenir ceci une femme muette. Je devrais taire mon ambition ?

- Une grande famille, dis je. 

- Tu a interrét à la boucler cria mon père qui contourna son bureau et vint se placer devant moi.

- Je ne suis pas une femme muette. Un souverain et il est hors de question que je me taise.

- Sotte ! Sotte ! C'est une chance inespérée ne la gâche pas ! Comment une fille aussi borné et inutile que toi a pu voir le jour !

Ce bruit c'était celui d'une claque. Je touchais ma joue droite je sentis de la chaleur, il m'avait mis une claque, rien qu'a sentir la chaleur de ma joue je pouvais imaginer le haussement de couleur sur ma peau pale et sans accro. Je partis dans ma chambre pour préparé mes affaires. Ma mère n'a rien dit même pas un mot comme à son habitude. Je suis un souverain qui doit se taire, un caractère de souverain, qui est aller dans le mauvais corps. 

*** Annabelle

- Alors qu'a tu de si important à me dire ? Je n'est pas tout mon temps et toi non plus.

Après ma tirade, mon père me regarda, nous étions des inconnus, des ennemis, je le détestai lui aussi, c'était un chef important, un juge, il fesait ce qu'il y avait de plus juste et était très respecter dans son travail. Mais avec moi, il était une pourriture, un démon. Je remis la tasse sur la table, nous étions dans le bureau de mon père. Je détestai cette endroit à ces yeux cette pièce compte plus que ma mère, enfin comptait. Il se racla la gorge et se mit debout. Je savais ce dont il allait me parler de mariage, j'espérais de tout cœur que je me trompais, mais je n'avais pas d'espoir.

- Oh ne t'inquiète pas, car tu ne vas plus me supporter longtemps ! Fais tes valises sale pourriture, tu vas aller à la demeure d'or, tu épousera Dave et je deviendrais encore plus puissant que tout les juge et magistrat jamais réuni. Ce soir tu sera dans ce train et je ne te verrais plus !

Ce bruit c'était mon fauteuil renverser. Me marier, devenir une marionnette sans foi sans âmes, jamais. Pour que je souffre toute ma vie que je meurt dans l'agonie alors que mon mari ne m'aide pas. Ce monde est comme ça, les sentiments n'en font plus partie depuis bien longtemps. Je regardais mon père dans mes yeux ont pouvais lire de la rage, de la rancœur et surtout plus que tout du dégoût.

- Il en est hors de question ! Jamais tu m'entend pour que je finisse comme maman ! Tu l'a abandonner à la mort et maintenant c'est mon tour! Je ne veux pas me marier !

- Assez! Tu vas te marier ! Le pouvoir, Le pouvoir ! Les femmes sont là comme marchandise ! Elles sont là pour nous divertir nous les hommes ! Et toi tu veux changer tout ça ! Tu est bien naïve ! C'est moi qui commande ! Tu sera mon succés ! Je me fiche de ton avis ! Cela n'intéresse. Personne ! 

Il était en face de moi, il m'attrapa par la gorge et m'envoya au fond de la pièce. Je me relevais. Vaincu, il avait déjà tout planifier je ne pouvais rien changer, j'allai devenir un objet. Je partis dans ma chambre préparé mes affaires. Là bas je serais comme ici rebelle et têtu, mon nouveaux mari attend une fille facile, il sera très déçu. Je ne serai pas une fille facile, une femme muette qu'on contrôle à sa guise. Il en est hors de question. Je serai Annabelle, une femme rebelle qui ne se laissera jamais faire.

*** Salomé

Dmitri, Mon frère, cette pourriture. Aujourd'hui il m'avait convoqué dans le bureau de notre père, enfin ancien bureau. Il était assis dans un fauteuil il me regardait de cette œil fière. Signe que ma vie était en jeu. 

- Qu'il y avait t'il de si urgent pour m'appeler répondis je froidement?

Depuis la mort de notre père, cette chère pourriture, ne m'envoyait que des E mail si il avait besoin de me parler et là. Il m'appeler pas de majordome un appel, ce qui était vraiment suspect. Je croisai et décroisai les jambes signe de ma nervosité. Je pris ma tasse en main la fessant tourner pour me calmer ce qui marcha jusqu'à ce que mon frère prit la parole.

- J'ai une grande nouvelle

- Je sens que le pire est a venir

- Pour moi non, toi, je m'en moque ! Fais tes valises, ce soir tu sera dans un train pour la demeure d'or. Tu épousera le comte Dvalin et ma renommé sera connu mêmes des plus naïfs

- Pardon ?

Ma tasse se brisa par terre laissant son contenu, se répandre sur le tapis, me marier je sais que dans ce monde on le devait sans sentiments juste par influence. J'aurais du déjà êtres marier mais mon père lui était disons intelligent et ne voulais pas marier sa fille à un inconnu juste pour de ville question d'interrét. Hélas son fils fesait tout ce qu'il détestait. 

- Le tapis ! Fais un peu attention, mais qu'un porte ce mariage, ce sera mon essor. 

Je le regardais ils sont tous pareille, lui, mon futur mari, les hommes en général, l'argent, le pouvoir. Dans ce monde, ils sont tous pareille, leurs airs, élégants, gentils et discret. Ce n'est qu'une façade. La richesse, contrôlé, ces mots sonne comme une douce musique à leurs oreilles. 

- Il en est hors de question.

- Mais tu le sais très bien tu n'a guère le choix vas t'en, vas faire tes valises, un majordome t'emmènera à la gare. Tient ta langue ou je te la ferais coupé. Demain tu sera une femme comme les autres

Une femme comme les autres muettes qui ne peuvent avoir d'avis. Qui ne parle pas, un objet qui encombrent mais qui rapporte de la valeur. Je suis condamné à êtres qu'un objet sans valeurs.

Aux portes de l'enfer, le jugement est prêt à êtres rendu, mais pourtant si ce livre existe c'est que ce jugement ne touchera jamais à sa fin.

(1763 mots hourra.)


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