Base militaire.


Nous nous apprêtons à entrer quand soudain un homme qui surgit de nulle part à son arme sur nous tout en parlant dans son micro :

" - Tahadhari, hapa nambari 26 ya msimbo wa alpha 345 kuna wavamizi wawili. Narudia : Hapa nambari 26 ya msimbo wa alpha 35 kuna wavamizi wawili. Je, niwashe moto ?

- Qu'est ce qu'il raconte ce type ! ai-je demander à mon père.

- Il a dit : Alerte, ici numéro 26 du code alpha 345 il y a deux intrus. Je répète : Ici numéro 26 du code alpha 35 il y a deux intrus. Dois-je mettre le feu ?

- Ok, google traduction.

- Tu peux toujours rire, je viens probablement de te sauver la vie. Tu lui aurais parlé comme ça, tu serais mort !

- ...

- Bon, je lui dit quoi ?

- Que nous sommes les enquêteurs qui ont été envoyés par la partie du général français de l'armée. 

- D'accord. Sisi ndio wachunguzi tuliotumwa kwa niaba ya jenerali wa jeshi la Ufaransa.

- Nasubiri maagizo. Usisogee au nitafyatua

- Google ?

- J'attends les ordres. Ne bougez pas ou je fait feux. Par contre, arrêtes de m'appeler comme ça ou je te jette de la montagne !

- Umeelewa ? ? à reprendre l'homme.

- Il a demandé si on a compris.

-Oui. ai-je répondu sans réfléchir 

- Nini ? Weka mikono juu.

- D'accord. a répondu mon père.

Aussitôt, la radio a grésiller avant de faire entendre une voie masculine hurler :

" - Merde, lazima ujiambie kila kitu ! Waache waende... La sivyo utapata adhabu B. Na ongea Kifaransa chao, angalau unachokijua...

- Samahani Mkuu..., excusez-moi. a dit le militaire. Je vous en pris, suivez moi.

- Et là, qu'est ce qui c'est passer ?

- Le chef a dit : Merde, il faut tout se dire ! Laissez-les partir... Sinon vous aurez la punition B. Et parlez leur français, du moins ce que vous savez... Et l'homme devant nous a dit : Excusez moi mon général.

- D'accord.

On l'a ensuite suivit, et il nous a mené dans un bureau ou s'est révélé un homme de haute taille et qui' a vu d'œil, semblait énerver. Il a commencer : 

" - Hujambo, una nia ya kufunga mpango huo haraka iwezekanavyo.

- Papa ?

- Bonjour vous avez intérêt à conclure l'affaire le plus vite possible.

- J'adore l'accueil chaleureux. ai-je ironiser.

- J'oubliais que vous ne parlez pas en swahili. Et, vous jeunes hommes, si vous attendez une récompense, vous rêvez. Bon viens en fait.

- Oui ?

- Il y a un peu près 18h, nous avons remarqué la disparition de plusieurs bombes...

- Toutes vos bombes... ai-je nuancé

- Exactement.

- Ensuite ?...

- Nous avons vérifié les caméras pour voir si nous pourrons prélever quoi que se soit mais rien du tout.  Hakuna kitu kabisa

- Auriez-vous une piste ?

- Je ne vous aurai pas appelé si j'en aurais une...

- Avez-vous regardé les radars ?

- Nous n'aurons pas de  ubongo si nous n'envisagerons pas de vérifier !

- Ok... Et, nous pouvons les voir ?

- Il n'y a rien. Aucun mouvement. Rien.

- Vous avez regardé à quelle heure ?

- 24h/24h.

- Et...

- En plus, à couper le général, nous avons un système permettant de tirer si un avion a été identifié.

- Vous avez les moyens ?!

- C'est la Corée du sud qui nous a aidé financièrement.

- D'accord. Avaient-ils leur raison. Vous avez souscrit un contrat ?

- C'était en échange de notre alliance envers eux.

- Bien.

- Y a t-il eu des nouvelles recrus ?

- Comment ça ? Ces derniers jours ?

- C'est derniers mois.

- Oui...

- Et quand vous acceptez eu ce contrat ?

- Ca va faire 5 ans.

- D'accord. Donc, ils ne sont peut-être pas suspects...

- D'accord.

Il a pris son micro puis a crier ces mots " Namba 54, njoo ofisini mara moja, hiyo ni agizo ! "

Aussitôt, un homme est apparu, un peu près mon âge.

" - Je te laisse discuter avec cet homme, je vais prendre des notes et je vais faire le tour, ok ?

-Oui.

- Pas sans un de mes hommes. s'est écrit le commandant.

-Pas de souci...

- Vous n'avez pas le choix ! Nambari 120 ! ongozana na huyu kijana... sitaki msaliti.

- Ndio bwana !

Pendant ce temps, du côté de mon père :

" - Habari. Nitakuuliza maswali. Hiyo haikusumbui ?*

*Bonjour, je vais te poser des questions. Cela ne te dérange pas ?

- Hapana unaweza kuanza*

*Non, vous pouvez commencer.

- Jina lako nani ?*

*Quel est ton nom ?

-Sawari

- Unatoka wapi ?*

*D'où venez-vous ?

- kutoka Japon.*

* Du Japon.

- Kwa nini ulichagua nchi hii kulinda badala ya yako mwenyewe ?*

*Pourquoi avez-vous choisi ce pays à protéger plutôt que le vôtre ?

Ni chaguo la kibinafsi* 

*C'est un choix personnel 

- Nzuri.*

* Bien.

De mon côté...

J'ai fait le tour et je n'ai rien remarqué de suspect... Autant chercher une aiguille dans un champs de pailles ! J'espère que mon père aurait trouvé des informations... Alors, je suis revenu au bureau.

" - Alors ? l'ai-je interrogé.

- J'ai une petite piste qu'il va falloir approfondir. 

- C'est...

- Attends un peu. Puis, s'adressant au général , Y aurait-il un camp ou nous pourrions nous reposer pour la nuit ?

- Demander à Gamielle. Gamielle ! Njoo hapa !

-Ndiyo. a répondu un homme .

- Tafuta kambi ya gagini.

-Ndiyo. Venez messieurs...

-Oui.

Avant ça, mon père c'est entretenu avec le chef pendant que je suivais notre guide...

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