Joyeux noël beau démon.
(f/n) prénom
(l/n) nom de famille
(e/c) couleur des yeux
(h/c) couleur des cheveux
(l/h) longueur des cheveux
PDV du lecteur
Il neigeait sur l'académie de la Croix Vraie. J'étais tranquillement installée dans mon canapé en face de la fenêtre, ma tasse de chocolat dans les mains et un châle sur les épaules. Je sirotais mon chocolat en silence, quand j'entendis quelqu'un prononcer eins zwei drei. J'ai soupiré en sachant très bien qui venait de rentrer. Mephisto Pheles. Ou bien Samaël, le deuxième baal et roi de l'espace et du temps.
Il s'approcha de moi et s'assit sur le canapé. Je décide de ne pas le regarder. Il remarquât que je ne lui prêtait pas attention. Il s'approcha encore un peu plus près. J'ai commencé à en avoir marre. J'ai terminé mon chocolat et je me suis levée, faisant voler mes (l/h) cheveux (h/c), pour mettre ma tasse dans l'évier.
Je sentais le regard de Samaël sur moi. J'ai pris mon manteau, mon sac à main et j'ai mis mes chaussures. Je suis sortie de mon appartement. Samaël ne mit pas longtemps pour me rejoindre.
« Alors comme ça, tu essayes de m'éviter (f/n) ?
- Non. Comment tu as deviné ? Tu es vraiment intelligent !
- Tu le penses ?
- Non. »
J'ai avancé un peu plus vite, et une fois dans la rue commerçante, je me suis mêlée à la foule. Les boutiques avaient des vitrines colorées, les lumières avaient de plus en plus d'intensité au fur à mesure que la nuit tombait sur le campus. Et je fût seule pendant environs une demi heure.
J'étais entrée dans la confiserie. Là-bas, je reconnue Amaimon et Lisa choisirent des sucreries. Au fond de moi, je les enviais. Ils formaient un jolie couple. Même si Amaimon était un démon et Lisa une humaine. J'ai choisi quelques bonbons avant de partir tout aussi discrètement que j'étais rentrée, de peur de me faire voir par le couple.
Mes yeux commençaient à se voiler de larmes. Je n'arrivais pas à les endiguer, et je ne savais pas où mes pieds me conduisaient. Je me suis arrêtée net. J'ai essuyé les larmes de mes yeux (e/c) pour mieux voir où j'étais.
Mephi Land. Son parc d'attraction. Il était encore ouvert même à cette saison. J'ai soufflé de déception et j'ai voulue repartir. Mais je fut bloquée par un obstacle devant moi. Il sentait parfum pour homme. Non. Ce ne pouvait pas être lui. J'ai levé mes yeux et je le vu. Il me regardait avec une pointe d'inquiétude.
« Est-ce que ça va (f/n) ? »
Je ne répondis pas, de peur que les larmes que j'avais effacé de mon visage ne reviennent. J'ai baissé mon regard et il me prit par le menton pour me forcer à le regarder dans les yeux. Ses yeux vert forêt m'enivrais à chaque fois que je les voyaient. Samaël attendait toujours une réponse, et il commençait à perdre patience.
« Je vais bien Samaël.
- Tu es ... Attend ! Comment vient-tu de m'appeler ?
- ... Samaël. Pourquoi ?
- Tu es la première personne qui m'appelle comme ça depuis bien longtemps.
- Oh ! Et ... Ça te déranges ?
- Non. Pas venant de toi (f/n). »
Il me prit dans ses bras, et nous sommes resté ainsi pendant une petite demi-heure. Je commençais à trembler de froid et je sentie quelque chose de chaud sur mes épaules. Il s'agissait de la veste de Samaël. Je l'ai regardé, un peu confuse. Il me prit ma main droite et il me raccompagna jusqu'à mon appartement. Il m'embrassa sur le front avant de me quitter. Mais avant, il se retourna et me fit un sourire doux.
« Je te verrais demain soir à 18 h, à la place devant l'académie.
- Hum ... D'accord. »
Il disparu dans le noir, me laissant seule dans le couloir. C'est aussi à ce moment la que j'ai remarqué que j'avais encore sa veste sur mes épaules.
PDV de Samaël
J'avais réussi à attraper froid hier soir. J'avais laissé ma veste sur les épaules de (f/n).En plus, j'étais aussi très fatigué. Je n'arrivais pas à dormir. J'avais trop de choses en tête : les bêtises de mon demi frère Rin, les problèmes administratifs liés à l'académie, le Vatican. Ainsi que (f/n). Je pouvais voir ses (l/h) cheveux (h/c), ses yeux (e/c) qui brillaient d'une rare intelligence, sa petite taille, sa peau douce. Mais le sommeil ne venait toujours pas.
Les heures passaient lentement et je fini par m'endormir aux alentours de cinq heure. Mais ce ne fut pas de tout repos. Je n'avais pas arrêté de faire ce cauchemars, qui me hantait depuis plusieurs mois. J'avais toujours eu peur de la réaction qu'aurait (f/n) si je lui demandais. Dans ce cauchemars, nous étions entrain de marcher dans le parc bordant l'académie. On s'arrêtait à un banc, et je lui faisais ma déclaration. Mais à chaque fois, elle me rejetait. Et (f/n) partait en courant, elle me fuyait.
Comme d'habitude, je me suis réveillé en sueur. Mon petit frère Amaimon, veillait sur moi. Il avait toujours une sucette dans la bouche. Il me dévisageait. Je me suis effondré et j'ai calmé ma respiration.
« C'est encore à cause d'elle Anuie ?
- Oui Amaimon.
- C'est pour ça que tu es malade ?
- Non. J'ai juste pris froid hier soir.
- C'est vrai que tu n'avais pas ta veste hier. »
Je me suis allongé de nouveau. Je me sentais pas mieux. Je me suis tourné vers mon frère. Amaimon me regardait toujours.
« Je peux te demander une chose Amaimon ?
- Dis toujours Anuie.
- Peux-tu prévenir (f/n) que je pourrais pas la voir ce soir ?
- Hum ... Pourquoi pas. Et qu'est-ce que j'aurais en échange ?
- Un paquet de bonbon.
- Marché conclu. »
Amaimon disparu et j'ai fermé les yeux. Le sommeil me gagna petit à petit.
PDV du lecteur
Il était 17h55 quand je suis arrivée devant l'académie. J'attendis cinq minutes avant de me faire interpeller par quelqu'un. Mais ce ne fût pas Samaël. À la place, ce fût Amaimon que je vu venir vers moi.
« Amaimon ? Que me veux-tu ?
- Juste te dire que mon frère ne veux pas te voir.
- Hein ? Mais pourquoi ? »
Il disparut sans un mot, me laissant seule. Les larmes commençaient à perler aux niveaux de mes yeux. Je suis partie en courant et je me suis enfermée chez moi à double tour. Les larmes coulaient de plus en plus. J'ai passé ma nuit à pleurer. Je me sentais idiote d'avoir cru que Samaël avait de quelconques sentiments pour moi.
Deux jours étaient passé depuis que Samaël avait annulé notre rendez-vous. J'étais toujours mal, et ma meilleure amie l'avait remarqué. Lisa avait tout essayé pour me remonter le moral. Mais cela ne changeait pas l'état de mon cœur. Brisé. En mille morceaux.
Je marchais dans les couloirs de l'académie. Et c'est là que je le vue. Et lui aussi. J'ai rebroussé chemin, mais Samaël me suivit. Il me rattrapa et me prit par le poignet. Je voulue me défaire de son emprise, mais sa poigne était trop forte. Il me regarda avec inquiétude.
« Il y a quelques chose qui ne vas pas (f/n) ?
- Laisse moi Samaël.
- Quoi ?
- Je ne veux plus te voir.
- Mais qu'est-ce que tu dis ?
- Je n'ai aucuns sentiments pour toi Samaël. Tu ne m'apportes que du malheur. »
J'ai réussi à enlever mon poignet de son emprise et je suis partie le plus loin possible de lui. Je ne voulais pas le voir. Je suis allée faire cours de démonologie, mais le cœur n'y était pas. Lisa me raccompagna, en me parlant de son couple avec Amaimon.
Ils allaient être ensemble ce soir. Comme tout les soirs. Mais ce soir, c'était la veille de noël. Elle me laissa dans le hall de mon immeuble. Je suis rentrée dans mon appartement, et j'ai essayé d'allumer la lumière. J'ai grogné et je me suis dirigée dans ma cuisine pour regardé le compteur électrique. J'ai rallumé la lumière et je vu un chapeau haut de forme dépassé de mon canapé.
« Samaël, que fais-tu ici ?
- Je suis venue te parler.
- Et de quoi ?
- De ton comportement. »
J'ai enlevé mon manteau et mes chaussures, pour les ranger avant de revenir dans la cuisine. Je me suis fait une tasse de thé à la menthe et je me suis assise dans le fauteuil en fasse de Samaël. J'ai remarqué qu'il avait enlevé sa cape et son chapeau et il me regardait. J'ai frissonné, et j'ai regardé ce qu'il se passait par la fenêtre. Il me parlait, mais aucuns de ses sons ne me parvenaient.
Je vu Amaimon et Lisa dans la rue heureux. Ils s'embrassèrent langoureusement. Et ce fut trop pour mon cœur. J'étais jalouse du bonheur de ma meilleure amie. Les larmes coulaient et ma vision se brouillait de plus en plus. Quelqu'un m'enleva la tasse que j'avais dans les mains. J'ai relevé la tête et effacé les larmes de mes yeux pour voir le regard inquiet de Samaël.
« Est-ce que ça va (f/n) ? »
J'ai essayé de répondre, mais aucuns sons ne sorti de ma bouche et j'ai recommencé à pleurer.
PDV de Samaël
(f/n) s'était mise à pleurer d'un coup. Elle s'était repliée sur elle même et ses cheveux (h/c) la recouvrait. J'ai soupiré et je l'ai prise dans mes bras. Elle sursauta et se laissa faire. Nous sommes restés ainsi pendant plusieurs minutes. Elle releva la tête et me regarda avec des yeux triste.
« Pourquoi me consoles-tu ?
- Et bien ... C'est que ...
- ...
- Je t'aime. »
(f/n) se redressa et détourna son regard du mien. Les souvenirs de mon cauchemars me revinrent. J'ai frissonné de peur. Ma gorge se noua et elle se libéra de mon étreinte. Elle avait mit une de ses mains contre sa vitre et elle regarda la rue. Mon cœur battait de plus en plus vite.
Elle se retourna et me regarda dans les yeux avec ses yeux (e/c). (f/n) baissa la tête avant de la relever et de se rapprocher de moi.
« Qu'est-ce qui me dit que tu ne me ment pas ?
- Rien. Mais fais moi confiance.
- Confiance ! Alors que tu n'est pas venue à notre rendez vous il y a deux jours !
- J'avais une bonne raison !
- Et c'était une raison pour m'envoyer ton frère me le dire ! Tu n'ai même pas capable de me dire en face que tu ne veux plus me voir !
- Comment ça plus te voir (f/n) ?
- C'est ce que ma dit Amaimon !
- Amaimon, mais qu'est-ce qu'il a fait comme bêtises. »
(f/n) me regardais toujours sévèrement. J'ai soupiré légèrement et je me suis approché d'elle. Je lui pris sa main et elle frissonna à mon contact.
« Amaimon ne t'a pas tout dit.
- Hein ?
- Quand je t'ai ramené il y a trois jours, j'ai pris froid. Le lendemain et la journée d'après, je suis resté chez moi, car j'étais malade. J'avais demandé à Amaimon de te dire que je ne pouvais pas venir. Mais je me rend compte qu'il un peu déformé ce que j'ai dis. »
(f/n) baisse les yeux. Elle se rapprocha de moi et m'embrassa sur mes lèvres. Elles avaient goût de chocolat et de thé à la menthe. J'ai fait glisser ma langue contre ses lèvres et elle les ouvrit. Nos deux langues se rencontrèrent, une sensation de chaleur se développa en moi. Nous nous sommes séparé car (f/n) commençait à manquer d'air. Je la regardais amoureusement, et elle avait la tête contre ma poitrine.
« Je suppose que tu me crois. »
Elle hocha la tête, qui était toujours contre ma poitrine. La sensation de chaleur se développait toujours en moi. J'ai mis ma main dans son dos, sur son t-shirt. Je sentis son dos frissonner à mon contact. Je me suis assis dans le canapé, (f/n) sur les genoux. J'ai commencé à lui frotter le dos, et j'ai eu l'impression qu'elle ronronnait.
« Samaël ?
- Oui (f/n).
- Je sais que c'est peut être un peu tôt, mais ...
- Mais ?
- J'aimerais que l'on ... Couche ensemble. »
LEMON ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR
Je fut un peu surpris par sa demande, mais je savais bien au fond de moi, que j'en avais envie. Je l'ai pris comme une mariée et je l'ai amené dans sa chambre. Je l'ai doucement déposé sur son lit. J'ai enlevé mes chaussures et je me suis placé au dessus d'elle.
Elle avait mit ses deux petites mains sur mon torse. J'ai commencé à l'embrasser tendrement. (f/n) voulue approfondir notre baiser. J'ai souri et j'ai décidé de l'embêter un peu. J'ai gardé mes lèvres scellés, ce qui la fit grogner. Elle me donna un petit coup dans les cotes et j'ai ouvert mes lèvres. Quand ma langue toucha la sienne, je sentie encore cette sensation de chaleur. J'ai commencé à glisser mes mains contre son dos. Elle frissonnait de plus en plus.
« Tu as froid (f/n) ?
- Non. C'est plutôt l'inverse.
- Alors laisse moi t'aider. »
Je lui ai enlevé son t-shirt, me faisant découvrir son soutien gorge en dentelle mauve. Ses tétons commençaient J'ai commencé à embrasser sa poitrine, et elle gémissait de plus en plus. J'ai relevé la tête et je la vu. Elle respirait de plus en plus rapidement.
Elle se releva et enleva doucement, très doucement ma chemise. (f/n) commença à embrasser mon torse. Ma bosse gonflait dans mon pantalon. (f/n) le vu et commença à la masser. J'ai émis un grognement. Elle avait l'air contente de la scène. J'ai enlevé sa main avant de me dévêtir, ne laissant que mon boxer noir.
PDV du lecteur
Je vu Samaël se déshabiller. Je fis de même, sentant son regard décrire mes courbes. Je me suis rapprochée de lui. Il me pris dans ses bras, et avec sa main droite, il commença à masser mon clitoris. J'ai gémi, et je sentais son sourire carnassier sur moi. Il enleva mon soutien gorge et commença à titiller mes tétons. J'ai gémis de plus belle. Je sentais son pénis durcir contre ma cuisse.
Il me mit sur le dos et enleva ma culotte. Samaël commença à lécher mes lèvres et mon clitoris. Je me suis tordis sous cette vague de plaisir. Il s'arrêta et prit un petit paquet. J'ai vite deviné ce que c'était.
« (f/n), tu veux toujours le faire ?
- On va se protéger, et toi comme moi, on en a envie.
- Je sais mais j'ai surtout peur de te faire mal.
-Ne t'inquiètes pas. »
Je l'ai embrassé et j'ai pris le préservatif qu'il avait dans les mains. Il a enlevé son boxer et je l'ai fait glisser le long de son pénis. Il me rallongea et doucement, il le mit dans mon vagin. J'ai souffert et Samaël le vit. Il attendit un peu avant de continuer. Pendant tout l'acte, je n'ai pas arrêté de gémir son prénom. Il enleva son pénis de mon vagin et me dit qu'il était sur le point de jouir. J'ai enlevé le préservatif et j'ai sucé goulûment. Il éjacula dans ma bouche et j'ai avalé son sperme.
FIN DU LEMON
Nous nous sommes allongés sur les draps, ou du moins ce qui étaient encore sur mon lit. J'avais la tête contre la poitrine de Samaël. Sa respiration me calmais et j'ai commençais à dériver vers le sommeil. Samaël me caressait les cheveux. Il remonta les couvertures pour nous couvrir.
« Bonne nuit ma puce.
- Bonne nuit Samaël. »
Le lendemain matin, j'étais seule dans mon lit. J'étais nu sous les draps. La porte de ma chambre s'ouvrit et je vu mon démon. Il ne portait que son boxer et avait deux tasses dans les mains. Il s'assit sur mon lit et me tendit une tasse.
« Bonjour ma jolie.
- Bonjour beau démon.
- Tu te sens comment ?
- Plutôt bien. Et toi ?
- Très bien. »
Je me suis approché de lui et je l'ai embrassé. Il me regarda et me caressa les cheveux.
« Joyeux noël ma chérie.
- Joyeux noël beau démon. »
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