Jour 10

L'école est pour moi un centre de bourrage de crâne.

Qui, sur cette Terre, est sortit de ses études en ayant retenu tout ce qu'on lui ai apprit après quinze longues années d'études?

Qui même à retenu toutes les formules, équations, règles de grammaire, conjugaison et toutes autres choses inutiles que l'on nous apprend?

Croyez-vous vraiment que des notes définissent notre intelligence?

Pensez-vous que même en étant le meilleur dans toutes les matières vous finirez par trouver le travail qui vous correspond?

D'ailleurs, est-ce que le travail qui vous correspond existe vraiment?

Voilà ce que la société veut nous faire comprendre.

Que plus vous travaillerez dur plus vous aurez un travail qui comblera votre manque affectif par de l'argent.

L'argent fait-il réellement le bonheur?

Je voudrais que vous vous arrêtiez dans votre lecture un instant afin de réfléchir à cette question.

Pour moi, la réponse est vraiment indécise.
Je m'explique, la société dans laquelle nous vivons actuellement est fondée sur l'argent.

Peut-on vraiment l'irradier sans conséquences sur notre avenir?

Si nous cherchons bien, dans un sens, si il n'y a plus d'argent, il n'y aura plus de crises.
Si il n'y a plus de crises, le taux de chômage s'anéantirait.
D'ailleurs, il ne sera plus nécessaire de travailler sans argent.
Le monde sera enfin libéré de cette monarchie.
Le monde pourra enfin être libéré de cette emprise monétaire.

Les plus hauts classés clameront à l'anarchie, mais sans argent, ces hommes sans intérêt seront réduits à néant.

Plus rien ne pourra contrôler l'Homme car la seule chose qui lui prenait son temps à été anéanti.

La vie serait sans doute plus heureuse sans argent.

On dit souvent que l'argent ne fait pas le bonheur, alors à vous de l'appliquer!

Seriez-vous capable d'abandonner tout vos biens les plus précieux ne serait-ce qu'une journée et vivre la vie d'un pauvre, d'un clochard.

Rien qu'une journée.

Vous croyez que ce sans abris est malheureux, moi je ne pense pas.

À vrai dire, il doit être heureux!

Je dois me l'avouer, je l'envie.

Lui, vit sans aucunes faiblesses économiques.

Sans aucunes contraintes, mise à par la faim.

Il mourra pauvre mais avec des valeurs.

Si un jour, mon tour était à venir,je voudrais mourir comme lui, heureuse.

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