Concours #2suiteee
Me voici de nouveau après une courte absence ! Et voici directement pour vous servir de nouveaux participants à notre merveilleux petit concours wattpadien ! Il s'agit bien entendue de nos beaux et talentueux tourtereaux qui m'ont envoyée ce petit texte plaisant de 2869 mots ! (J'ai vraiment cru que vous alliez dépasser ^^') :
"Le souffle court, les poumons en feu, le vent siffle à mes oreilles une rengaine agressive. Nous sommes à l'abri de rien, « surtout pas de la mort », aurait dit Jaka, le vieux du village. Aujourd'hui je suis pourchassée, mais demain ce serait au tour d'un autre, et hier encore quelqu'un fuyait aussi. Les Chasseurs ont faim, et ils ne cesseront pas de nous pourchasser, nous les Coloris.
Une de mes mèches bleue traversa mon visage pour me fouetter la joue, mes cheveux dansent comme des fous autour de mon visage qui affronte les courants d'air dans ma course sans fin. Cette couleur si singulière qui me caractérise, qui me différencie moi et quelques autres des Humains, je la maudis. Ma mère m'a pourtant dit cent fois que mes cheveux sont pareils au ciel, qu'ils sont d'une beauté qui ne connaîtra jamais de rivaux, mais si seulement j'étais brune, blonde, rousse, si mes cheveux étaient noirs, je ne serais pas en train de courir, je serais allongée sur un lit, en lisant un roman à l'eau de rose, ou alors à un cour de musique qui se déroulerait dans le plus parfait des mondes. Ou assise à une table entourée de mes amis et de ma famille. Mais non, non j'ai les cheveux bleus, oui j'ai les yeux mauves et une peau de craie. Oui, une pierre aussi bleue que mes cheveux est incrustée dans mon poignet depuis ma naissance et fait partie de moi, ce n'est pas faute d'avoir tenter de la retirer.
Dans le tournant d'une rue, mes pieds glissent sur le sol de pierre et je manque de me retrouver face contre terre, en jetant un rapide coup d'œil en arrière j'aperçois au loin les chiens et les deux hommes qui me poursuivent, armés jusqu'aux dents, prêts à me tuer s'il le faut. Et pourtant quel crime ai-je commis ? Je suis née ? C'est ça qui relève de la peine de mort ? N'ont-ils pas assez tué des nôtres ?
Rien qu'en y repensant mes yeux me piquent et une brûlure se répand dans mon estomac, une haine sans limite grandit sans cesse en moi.
Alors que j'entrevois ma porte de sortie, l'entrée d'un marché dans lequel je pourrais me perdre, quelque chose saisit ma main et me tire en arrière. Je manque d'hurler mais une main recouvre ma bouche et j'ai tout juste le temps de voir passer mes poursuivants qui s'éloignent, persuadés que je suis toujours devant.
Mon cœur cogne si fort que j'entends tout juste ma respiration bloquée par la main de mon sauveur. La main ne s'étant pas retirée, je la repousse pour signaler que je ne ferai aucun bruit. En me retournant je découvre qui est celui qui m'a évitée une course éreintante, voir pire ; la mort. J'écarquille brusquement les yeux en reconnaissant la mine moqueuse de la personne qui m'est la plus proche, j'observe un instant ses cheveux d'un noir si sombre qu'il pourrait se fondre dans la nuit, ses yeux d'un gris clair transperçant et ses fossettes creusées. Il m'offre un sourire narquois et ouvre la bouche pour prononcer quelque chose mais je ne lui en donne pas l'occasion et plonge en avant pour coller mes lèvres aux siennes, nos bouches s'épousent à la perfection et je passe mes mains sur sa nuque, poussant un soupir de soulagement de le voir en vie. C'est lui qui mit fin à notre baiser, il me recula gentiment en passant ses mains sur mes hanches et passa ses doigts fins dans mes cheveux emmêlés.
-Doucement Kaïla, doucement ma belle... Susurre-t-il sans perdre son sourire taquin. Je prend ça pour un merci. Reprend-il en plongeant ses yeux dans les miens.
-Mais qu'est-ce que tu faisais là ?! Je te croyais parti ! Avec tes parents ! Et ta sœur ! Si jamais ils te prennent avec moi tu...
Il ne me laissa pas finir ma phrase qu'il réitéra le baiser avec encore plus de passion. C'est moi qui le repousse cette fois, les sourcils froncés, pour lui montrer l'urgence de la situation.
-Tu ne sais pas te mettre en colère ma douce. Marmonne-t-il en prenant mes mains dans les siennes.
-Owen s'il te plaît... Je suis une Coloris...
-La plus belle de toutes. Rajouta-t-il en me caressant de nouveau les cheveux.
Je soupire en fermant les yeux, un peu agacée par ses paroles entêtées.
-Peut-être que je ne te suffis pas ? Tu ne veux pas de moi ? Reprend-il en plissant les yeux, comme si ça l'aidait à lire en moi.
Il avait resserré son emprise sur mes mains, comme s'il redoutait que la réponse le blesse. Je l'observe quelques secondes avant de me laisser tomber le front contre son torse.
-Bien sûr que non, je t'aime et tu le sais... Mais je dois fuir.
-Je fuirai avec toi, mais s'il te plait ne me rejette pas. Murmure-t-il en prenant mon menton entre ses mains.
Je plonge de nouveau mes yeux dans les siens, et je peux y voir toute la sincérité de ses propos, je lui accorde alors un sourire timide avant de lui répondre :
-Je ne te rejetterai pas.
***
Voilà deux jours que je suis retournée au village, cachée sous une cape pourpre, passant ainsi pour une simple étudiante de Blue Valley, la vallée du ciel. J'aurais pu dire que ma vie redevenait normale , pour peu que je sois avec ma famille. Mais la seule personne qui m'est proche c'est Owen et lui semble distant depuis hier. Il fait nuit et je n'arrive pas à dormir. Je décide de sortir de la chambre que j'emprunte sous un faux nom pour aller prendre l'air. En sortant, je prends soin de glisser ma dague sous ma cape et j'enfile la capuche pour cacher mon chignon bleu et mon regard violacé. Quelques rares échoppes sont encore éclairées pour quelques veilleurs qui boivent bienheureusement sans se soucier des maux de ce monde. Des chats fouillent les rues en quête d'un quelconque morceau de viande à se mettre sous la dent et des rongeurs parcourent les caniveaux le long des maisons sans peur de se faire prendre.
Personne ne se trouve dehors, sous la nuit et la Lune trop effrayante pour les villageois. Chaque enfant est terrorisé avec soin par les parents qui leur racontent d'affreuses histoires sur des monstres difformes et cruels, des monstres sans foi ni lois, aux milles couleurs et sans espoir de rédemption ; les Coloris. Aucun Chasseur ne patrouille dans ce village, car les Coloris sont tous morts ici, on peut voir à l'entrée du village, des coupes remplies de leur sang « impur » qui accueillent les habitants. Le sang des Coloris, notre sang n'est pas rouge et sombre comme celui des Hommes, il varie en fonction de notre rang, de nos capacités. Je ne contrôle qu'une chose : l'eau, et mon sang est d'un bleu plus clair encore que mes cheveux azurs. Il est donc préférable que je ne me coupe pas devant un humain qui pourrait aussitôt me faire arrêter pour être celle que je suis ; Kaïla Lilywhite.
Mes pas me guident jusqu'à la falaise de Red Line, la falaise que les Hommes n'approchent jamais en temps normal. L'herbe y est constamment colorée comme en automne, d'un rouge brun, tout comme les feuilles des arbres qui poussent et tombent continuellement, comme si l'automne était ici immortel. Je me laisse tomber dans l'herbe et glisse mes jambes dans le vide, les balançant d'avant en arrière pour ressentir l'air frais qui s'engouffre dans le précipice qui trône sous la falaise. Mes yeux se perdent au loin, vers d'autres contrées aux couleurs chatoyantes. Je soupire en commençant mon questionnement intérieur, pourquoi les Coloris sont rejetés et tués alors que le monde même est recouvert de couleurs ? Ne sommes-nous pas ses enfants ?
Je soupire en fermant les yeux un instant, je n'ai pas envie de me prendre la tête ce soir, je m'inquiète déjà assez pour mes parents et pour Owen. J'ouvre de nouveau les yeux et tend une main au bord de la falaise, j'attend un instant puis une gerbe d'eau jaillit devant moi, en tournant la main, le liquide ondule comme je le souhaite puis se met à exécuter des arabesques élégantes avant de prendre la forme d'un colibri qui agite frénétiquement ses petites ailes d'eau. Je souris devant mon œuvre et fais tourner l'oiseau autour de moi, l'observant avec admiration, ne comprenant toujours pas la source de mon pouvoir.
Soudainement, l'aile gauche de l'oiseau prit une teinte verdâtre, je crois d'abord à un jeu de lumière, mais les deux ailes se colorent lentement avant de finir dans un dégradé de rose. La queue de l'oiseau prit aussi cette teinte, chaque plume de liquide se colore ainsi rapidement, puis vient son ventre qui se pigmenta d'un vert plus clair et sa tête d'un rose plus sombre, son bec d'eau se colora lui aussi en un jaune délicat rappelant le pollen aimé des abeilles. Les yeux de l'oiseau devinrent noirs et il continue de voler selon mes ordres, à en voir la texture je devine qu'il est toujours d'eau, mais comment expliquer cette soudaine coloration ? Un bruit de craquement se fait brusquement entendre derrière moi, mon attention brisée, l'oiseau tombant en fine gouttes pour disparaître au fond du précipice, un peu déçue je me retourne vers le bruit et découvre un homme d'une trentaine d'années. A voir ses cheveux bruns je prends peur et mon cœur s'accélère soudainement, je me relève et glisse une main sous ma cape, prise au piège entre l'homme et le ravin. La peau bronzée de son visage s'étire en un sourire rassurant mais je reste méfiante et apeurée, connaissant la cruauté des Hommes pour l'avoir testée.
-Tu n'as pas besoin de cette arme avec moi jeune Coloris.
Sa voix est grave mais chantante et rien de néfaste ne s'échappe de lui, pourtant je me sens mal à l'aise et je ne bouge pas d'un cil.
-Vous êtes humain. Répliquais-je comme simple réponse.
-Et c'est en ton droit de te méfier. Mais es-tu sûre que je sois humain ? Reprend-il posément sans plus avancer.
Il porte un long manteau noir qui se découpe dans la nuit et ne semble pas armé mais je ne parviens pas à me détendre.
-Tes cheveux n'ont pas de couleur et tes yeux sont ceux d'un humain. Répondis-je, hésitante en voyant ses yeux verts.
-Le brun n'est pas une couleur ? Bleus ou marrons qu'importe la différence tu ne crois pas ? Les couleurs de ton oiseau, elles viennent de moi, suis-je humain alors ? Mais suis-je un Coloris ? Et toi ? Es-tu plus Coloris que moi ? Es-tu moins humaine que moi ?
Je ne comprends plus rien à son discours et je ne comprends pas où il veut en venir. Il a tout d'un humain mais ce pouvoir est propre aux Coloris et non aux hommes qui ne possèdent aucune capacité magique.
-Tu vas me dénoncer ? demandais-je alors en resserrant la prise sur ma dague.
-Bien sûr que non, je ne souhaite pas ta mort, pas plus que celle d'un Humain.
-Qui es-tu ? Marmonnais-je en détendant un peu les muscles de mes bras, sans pour autant lâcher ma vigilance.
-On m'appelle le Destin, le Tragique, bien des noms me sont donnés vois-tu. Mais aucun d'eux n'est le mien.
Il se recule alors d'un pas, comme pour me montrer que je peux relâcher mon arme. Je m'avance d'un pas, certainement de peur de tomber dans le précipice, mais je ne lâche pas le curieux individu du regard.
-J'apparais seulement lorsqu'une âme est perdue.
-Mon âme n'est pas perdue, elle est bien ici ! Lançais-je menaçante en plaquant mon poing contre mon cœur.
Il eut un rire léger avant de reprendre :
-Mais tu ne sais pas où est ta place, je me trompe ? Tu es perdue ?
Je ne réponds pas, qui est donc cet homme qui prétend tout savoir ? Je n'arrive pas à déterminer si je dois le prendre pour un ennemi ou un allié.
Il tend soudainement sa main devant lui et la bague argentée qu'il porte s'illumine. Je sors brusquement ma dague prête à me défendre mais un éclat de lumière jaillit de la bague et je suis aveuglée.
Lorsque ma vision revient je reconnais l'endroit où je me trouve, je ne suis plus sur Red Line mais dans un champs aux multitudes de fleurs parfumées. Et je me vois, moi, plus jeune d'un an, aux côtés d'Owen. Nous sommes tous deux assis au milieu des fleurs, je le vois saisir ma main mais je ne suis pas celle à côté de lui, je suis en retrait, et l'homme aux drôles de paroles est juste à côté de moi, les bras croisés sur son torse.
-Que vois-tu ? Me demanda-t-il calmement.
-Je... Owen et moi... J'avais seize ans et lui dix sept, c'est notre premier rendez-vous... Murmurais-je en observant mon ancienne moi poser sa tête sur l'épaule d'Owen.
-Et que ressens-tu ?
-J'étais heureuse, si bien, je me sentais légère et libre, aimée et amoureuse...
-Je ne t'ai pas demandé comment tu te sentais je t'ai demandé comment tu te sens maintenant. Reprit-il.
Je repose ma dague sur ma hanche en fixant de nouveau l'étui puis regarde une nouvelle fois le couple que je formais à cette époque.
-Triste, mon cœur me fait mal... Répondis-je en plaçant main sur mon cœur, plus douloureusement que lorsque je voulais prouver que mon âme était là.
-Et tes pensées ? Comment sont-elles ?
-Confuses... Je n'arrive pas à penser réellement...
-En fait, tu dois apprendre à ne pas penser. Tu dois savoir faire taire ton mental, tu dois te concentrer pour ne plus rien entendre et juste voir.
Je ferme les yeux et essaie de faire comme il le dit, je ne sais pas pourquoi je l'écoute mais mon instinct me dicte de le suivre. Je commence à faire le vide dans mon esprit, en balayant les blessures du passé, en laissant les doutes s'en aller. C'est alors que dans le noir de mes paupières fermées, un éclat de couleur rouge apparut.
J'ouvre brusquement les yeux.
-Tu as vu quelle couleur ?
-Le rouge...
-La couleur de la réflexion. Ferme les yeux et concentre toi. Que vois-tu ?
-Du bleu ! Non, du vert maintenant. M'exclamais-je en admirant les spirales et la danse des couleurs qui s'affiche devant mes yeux.
-Le bleu est signe de pureté, contrairement à ce qu'on pense ce n'est pas le blanc qui joue ce rôle. Le vert est synonyme de certitude. Ton chemin commence à se tracer, tu vas voir qu'elle est la chose à laquelle tu dois te rattacher pour avancer et comprendre le sens de ta vie.
-Je vois de nouveau du rouge, mais plus clair, il vire au rose et à l'orangé.
-Ta réflexion commence à prendre forme, elle est basée sur un sentiment puissant, l'orange est le symbole du doute.
J'ouvre les yeux brusquement, nous nous retrouvons sur Red Line. Je fixe l'individu dans les yeux sans plus aucune peur.
-Le doute, le sentiment fort... L'amour ! Je doutais de l'amour...
-C'est une émotion compliquée mais pourtant la plus puissante.
-Je... Je dois parler à Owen.
L'homme sourit et tendit une main en arrière, dévoilant le concerné qui m'offrit un sourire hésitant.
Je m'apprête à remercier l'homme mais lorsque je retourne les yeux je ne le vois plus.
-Mais où est-il ?
-Qui ça ? Demanda Owen en s'avançant, cherchant mes yeux pour y plonger les siens.
-L'homme qui...
Je compris soudainement. L'homme c'était l'ange dont ma mère m'avait tellement parlé, celui que l'on ne voit qu'en cas de trouble, celui que seul soit même peut voir, chacun à le siens, et moi je viens de rencontrer le miens... Je soupire avant de poser mes yeux sur Owen qui semble embarrassé.
-Personne Owen. Je... Je t'attendais.
-Et moi je te cherchais... Il fallait que je te parle.
Je le regarde d'un air interrogateur.
-J'étais distant ces derniers temps, et je le regrette tellement... Commença-t-il. Mais c'était pour te protéger. Désormais tu n'as plus besoin de te cacher.
Il passa une main dans mes cheveux, mon chignon se défit et ma capuche tomba dans mon dos.
-Tu veux dire que...
-Oui, le Conseil a été renversé, maintenant les Coloris sont nos égaux. Même si certains ne vous accepterons pas facilement la majorité ont fait de vous un peuple libre.
Je me rapproche de lui et pose mes mains sur son torse.
-Owen je...
-Chut.
Il glissa ses bras autour de moi et posa son front contre le mien en fermant les yeux.
-Je t'aime Kaïla et il n'en sera jamais autrement. Il ne se passe pas une heure, pas une minute ni même une seconde sans que je pense à toi, sans que je t'aime.
-Moi aussi. Lui soufflais-je en fermant à mon tour mes yeux.
-Mon destin est auprès de toi...
Cette phrase m'interpella mais je ne réagis pas et me laissais aller contre lui, comme si le temps n'avait plus d'emprise sur nous.
-C'est un ange qui me l'a dit. Rajouta-t-il."
Doloris, by CalypsoSun
Mes corrections :
''Nous ne sommes'', parce que c'est plus joli... Et que nous le valons bien !
"Je la maudis. Ma..." La phrase était trop longue, j'ai coupé !
"Ou je serais assise'' pas besoin de ''serais'' ça évite les répétitions donc je l'ai viré ^^
''Red Line'' ça me fait penser à One Piece !
''ondula comme je le souhaite et se mit" ici tu utilise présent et passé dans la même phrase ce qui ne va pas du tout ! Du coup j'ai tout mis au présent.
''puis vient son ventre qui prit'' il y avait trop de prit dans la même phrase. Trois précisément, j'ai remplacé par le verbe pigmenter et j'en ai supprimé un autre.
Trop de temps différents ! Choisis en un et tiens-y toi ! C'est présent OU passé pas les deux :)
''Et rien de néfaste s'échappe de lui'' ce n'est pas beau, il faut utiliser la négation ''ne''.
''ce que tu dois apprendre c'est à ne pas penser'' ce n'est pas une très belle forme. tu peux dire : Tu dois apprendre à ne pas penser
Orthographe :
bleue / courants / maudis / serais (conditionnel) / allongée / assise / partie / prêts / commis / nôtres / pourrais / poursuivants (pourchassants ça n'existe pas :,) ) / entends / retirée / évitée / soupir / suffis / resserré / plait / aurais / nom / prends / accueillent / testée / comprends / mien / allié / parfumées / tous / assis / murmurais / prouver
Bilan : Que bello ! (je ne sais pas parler italien mais on s'en fou j'ai envie de dire :,) ) Bravo pour ce magnifique texte ! Il n'y a pas tant d'erreurs sur la formation des phrases par contre il va falloir s'améliorer en orthographe ; j'ai cru décéder ! ARG ! Ô lettres imparfaites que vous êtes cruelles à mes yeux ; vous en percez la prunelle avec la vigueur d'un pieux ! C'étaient deux magnifiques hexamètre (vers composé de 16 syllabes) avec une belle rime en prime ! Quand je suis inspirée ça devient tout de suite beau à voir ! :')
Bref. Pour ce concours, le sujet est parfaitement respecté dans une histoire originale et très plaisante qui a une fin malgré tout un peu brusque je trouve. Mais bon... il fallait bien finir ! Cela aurait aussi pu être un prologue pour le début d'une nouvelle œuvre ! L'univers des Coloris est très intéressant en tous cas !
Bravo encore à ce mignon petit couple !
Tout de suite... Les résultats du concours !
Rendez-vous à la prochaine partie !
Bisous mes saccharoses,
Shugar.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top