Chapitre 8 : cours de métamorphose


Les jours suivants les gens avaient fait des pins à l'effigie de Cédric et de Potter. C'était vraiment quelque chose de très délectant à regarder. On pouvait voir le pins changer, la première seconde il y avait la tête de diggory mais cela est peu important et la seconde d'après celle de Potter accompagnée d'un mot qui le caractérisait exceptionnellement bien « looser ».  Le plus amusant c'était le trio qui s'était éclaté après la tricherie de ce looser. Pas faute de l'avoir prévenu en première année dans le train de ces traîtres à leurs sangs. C'était un rassemblement de bonne nouvelle qui m'emplit d'une satisfaction telle que je pouvais supporter Pansy se coller un peu trop à moi. La gloire de Potter avait pris un révère et avait été cogner le plus loin possible de la même façon qu'un cognard. Il avait glissé de son piédestal et tout le monde se moquait de sa chute, moi le premier. J'ai réussi à monter sur l'arbre de la cours et observait le spectacle devant moi. Je jubilais de voir Potter faire de la lèche à Cédric pour remonter un peu plus dans l'estime de chacun mais en vain. Je voyais de loin que leur conversation, si on peut appeler ça comme ça, prenait fin. Je voyais bien aussi qu'il s'approchait de là où j'étais, il était impensable de le laisser passer sans lui avoir craché mon venin avant. « Je te sens un peu à cran Potter. Nous avons pariez mon père et moi. Je ne crois pas que tu tiendras 10 minutes dans ce tournoi. Il n'est pas d'accord, lui crois que tu ne tiendras pas 5 ». Je su que mon venin était parvenu à lui car il fit directement volte-face pour me répondre. « Je me fiche éperdument de ce que pense ton père, Malfoy ». Tout en me poussant il continua à me cracher : « il est vile et cruel, toi tu es pathétique ». A ce dernier mot mon sang ne fit qu'un tour.  Comment osait-il me parler ainsi alors que c'était qu'un pauvre sang-mêlé. Je m'apprêtais à lui jeter un sort, quand, sorti de nul part Maugré me métamorphosa en Fouine. Il me fit virevolter par ci par là dans les airs. Puis me fit faire un passage dans le pantalon de ce moins que rien de Goyle. Une haine qui était égale à une rage montait en moi. Je me sentais tellement impuissant, je n'avais aucun contrôle, j'étais là manipulé comme un pantin alors que j'avais toujours été à la place du manipulateur en règle générale. Et ce Potter qui rigolait de la situation m'était encore plus insupportable. Si il avait pu être métamorphosé en blaireaux, je l'en aurait fait qu'une bouchée. En attendant mon père en entendrait parler, ça je pouvais le jurer. Quand Macgonagall arriva pour me libérer de se sort, je prévînt Maugré d'être sur ses gardes et parti avant que ce vieux fou riposte.

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