Chapitre 6 : commune émeraude

La salle commune des serpentards était une salle chaleureuse pour tout ceux qui étaient froids comme la pierre. Elle était situé dans les sous sols du collège vers les cachots. Si vous voulez mon avis c'est un bon endroit pour dissuader tous ces pleurnicheurs des autres maisons de s'aventurer ici. La salle était illuminée d'un splendide vert émeraude et était habillé de meubles en cuivre et pierre. Les soirs j'aimais m'installer sur l'un des fauteuils positionnés face à la fenêtre et voir les poissons nagés dans leurs bulles sans se préoccuper de ce qui les entouraient. C'était un endroit paisible pour moi qui me permettait de m'échapper de ce monde, un instant, en m'enfermant dans ma propre bulle. Aujourd'hui je lisais paisiblement un livre sur les sangs pures intitulé « Pure-Blood dictory ». Crabbe et Goyle étaient comme à leurs habitudes entrain de se goinfrer et Pansy était parti à la bibliothèque pour faire les yeux doux à Théodore Nott espérant qu'il lui fasse son devoir de potion. Au bout de vingts minutes les provisions des deux boustifailleurs avaient disparus, paniqués ils partirent en quête de nourriture en courant comme si leurs fins étaient proches. Cette situation était à la fois amusante et aberrante. Je me replongeai dans mon bouquin quand un grognement retenti. Quand je tourna la tête Granger était là, debout devant moi, les cheveux trempés et le visage aussi rouge que celui du blason de sa maison. « Tu es vraiment qu'un gros abrutis Malfoy ! ». J'etais assez intrigué par ce qu'elle me voulait mais je voulais jouer avec elle. « Je te dirais bien que je suis ravis de te voir mais ce n'est pas le cas ». Ses vêtements étaient également trempés, sa chemise humide se collait à sa peau, ce qui fit apparaître le contour de ses seins. C'est à ce moment que je réalisa pour la première fois que la petite fille qu'elle était, s'était transformée comme toute les autres en femme. « Tu es crétin Malfoy, comment as-tu pu osé envoyer tes deux gorilles nous jeter de l'eau dessus à moi et à Neville et de leur ordonner d'imiter la poule pour nous humilier plus que l'on était déjà ? ». Je m'étais trompé sur le QI de ces deux là, ma compagnie leurs faisait avoir des idées brillantes. Je ne su quoi dire, à la place un petit rictus d'amusement se forma sur mon visage ce qui la fit rentrer dans une colère plus importante qu'avant. Elle parti en bombe en direction des vestiaires des garçons à la recherche de ma chambre. Je n'avais aucune idée sur le moment de ce qu'elle allait faire, mais avec elle ce n'était rien de bon. Je fût un moment paralysé sur le fauteuil sans la moindre possibilité de me lever. Un déclic se fit d'un coup, je posa mon livre sur le fauteuil et me dirigea à mon tour vers le vestiaire des garçons avec la curiosité à mes côtés. Une honte m'envahit d'un coup et me fit légèrement rougir mais elle ne le remarqua pas. Elle était là, avec mes habits à la main, sa chemise sur mon lit, le torse dénudé faisant apparaître sa peau pâle. Seule, sa poitrine était cachée par son soutien-gorge. Elle avait mit ses cheveux en chignon. Cette scène était tellement agréable que même le faite de la voir enfiler mes vêtements ne pus me mettre en colère. Et pour la première fois une douce sensation dans mon ventre se fit pendant une courte seconde. D'un calme absolu je lui dis : « c'est du cachemire, même avec tout la volonté qu'ils mettraient, tes parents moldues ne pourraient s'offrir un quart de la chemise ». Une fois qu'elle eu fini de mettre tout les boutons, elle prit sa chemise trempée à la main et se dirigea vers la sortie. Arrivée à ma hauteur à ma hauteur elle chuchota assez audiblement pour que j'entende et me répondit : « Ça tombe bien ils ne sont pas assez absurdes pour mettre un prix dans une chemise aussi onéreuse! En plus elle est démodée ». Au contact de mes oreilles, le bruit de ses paroles me fit des frissons traversant tout mon corps. Elle disparu en même temps que ces frissons.

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