J'avais nargué Zabini toute la semaine suivante au vu des scores qui m'emmenaient la victoire sur un plateau d'argent. Mais en retour, lui se moquait bien de moi car j'avais finalement demandé à la Parkinson de m'accompagner au bal. Ce qui l'avait rendu hystérique et folle de joie, bien entendu elle s'était pas gênée pour se venter à tout Poudlard que s'était elle que Malfoy avait choisi pour être sa cavalière. Ce qui m'avais bien irrité puisque j'aurais voulu que cela reste discret jusqu'au jour j.
Le cavalier mystère de Granger continuait à m'obstiné. J'avais eu la confirmation qu'elle en avait trouvé un mais son identité restait encore secrète. Je savais que ce n'était ni le roux ni le looser, vu que, d'après des échos, ils avaient du mal à trouver des filles qui veulent les accompagner. Ce qui ne me choquait pas le moins du monde. Je me dirigeai en cours de potion, quand, à l'abord d'un couloir, j'entendu une conversation qui allait donner réponse à mes questions et libérer mon esprit de cette énigme. Deux filles, de Poufsouffle d'après leurs robes, comméraient sur les amours de Granger. Je n'entendais pas très bien mais des brides de phrases venaient s'aventurer au creux de  mon oreille.
Krum!
Elle avait choisi Krum pour aller à se foutu bal. Un noeud se forma à l'entente de cette révélation sans comprendre pourquoi. J'avais ce quelque chose au fond de moi qui me dérangeait comme si cette nouvelle me faisait un truc mais encore une fois la raison était inconnue.

En tendant un peu plus l'oreille je remarqua que les deux filles y allaient de bon train et s'y donnaient à cœur joie pour descendre Granger.
« Et comment est-ce possible qu'il s'intéresse à elle? »
« Voit-il trouble ? »
« Miss-je-sais-tout-coincée-comme-tout »
« Il va s'étouffer avec sa touffe quand il va vouloir danser avec elle »

Plus elles en rajoutaient, plus ce noeud dans mon estomac se transformait en boule de nerfs. Et leurs rires qui s'apparentaient à des hyènes fut la goutte de trop. Je sorti de ma cachette et d'un coup de baguette je transforma ses deux pestes en blaireau. Au moins elles représenteraient aux poiles leurs maisons. Quel défoulement et satisfaction ça m'avais fait de les voir disparaître à l'intersection d'un autre couloir. À ce moment là j'aurais voulu avoir un groupe entier d'élèves avec comme occupation de lyncher Granger juste pour les transformer à leur tour en petite bête aussi ridicule et abjecte que leur personne. Mais le boule de nerf dans mon ventre ne s'était pas dissipé et j'avais ce besoin de m'en prendre à la terre entière. Alors je partis en chasse, cette fois ci de première année sur qui je pouvais me défouler à ma guise. En pleins dans mes réflexions je ne vis l'énorme pot de glu se diriger vers moi. « DRAGOUNEEEET » fut la claque qui me fit revenir à la réalité. Cette Pansy presque aussi irritable qu'une sang de bourbe. Était-ce vraiment possible qu'elle soit de sang pur? Le seul avantage de sa venu était de me faire rappeler le cours qu'on devait avoir d'ici peu. Je devais malencontreusement remettre ma petite vengeance à plus tard.