Chapitre 6 : nuit 1 (partie 2) (version améliorée)

PDV Lucas

Je ferme toute les portes le temps de la préparation, mais Clément reste sur place, tremblotant :

- Lu... Lucas...

Je peux m'empêcher de le serrer comme si il s'agissait d'une peluche, ou encore mieux, de Dumbo !

Dumbo mon petit chat, mon petit chou, mon bébé...

Je crois que je suis en train de tomber amoureux.

- Lucas, me fait-il en relevant la tête, un peu rassuré, j'ai une idée.
- Laquelle ?
- Lorsque l'on part, on laisse la trappe fermée en espérant que l'électricité ne partira pas trop vite. Comme tu as dit, je me méfie de ce qu'il peut s'y trouver.

Je hoche la tête rapidement et l'on prend les sacs.

- Il reste soixante-dix pour-cent d'électricité.
- Okay, je réponds. On prend les lampes de poches et toi, tu ouvre la porte.

Clément s'exécute se colle derrière moi, sa petite la lampe en main. La maison a l'air encore plus sinistre qu'au début. Je commence à trembloter, regrettant la petite partie de FNAF dans ma chambre. Il est clair que mon côté tapette va bientôt ressortir.

- Eh, Lucas, tu as dis que Chica était un acteur, non ?
- Oui pourquoi ?
- Parce que je n'en suis pas sur. Tu te rappelle de ses bras ainsi que de ceux qui t'ont pris dans la salle de bain ? Il étaient clairement mécaniques et non humain. Même le meilleur maquilleur au monde n'aurait put faire cela.

Mon dieu Clément, pourquoi il a fallu que tu réalises ça ?

- Bon, on y va ? Je te protèg...
- Arrête de dire ça. Dans les films d'horreurs, le mec il dit toujours ça à la fille avant de mourir la minute qui suit, la laissant seule... Bon, et puis, on se sépare pas. Ok ?

Je hoche la tête et commence à m'engouffrer, Clément collé à mes baskets, dans l'escalier qui mène au séjour. Nous arrivons en bas, étrangement, sans trop de difficultés. Et à part l'ambiance glauque qui règne dans la maison, rien est à signaler.

Cependant, je retire de suite ce que je dis quand un craquement résonne. Je commence à paniquer, et Clément s'accroche à mon tee-shirt. Le craquement venait de là-haut.

- Soulève le canapé et allons en dessous, il est creux, me murmure mon compagnon.

Nous nous cachons de suite, de minuscules trous à travers l'osier tressé nous permettant de voir à l'extérieur. Soudainement, ma lampe s'éteint.

- C'est moi, me rassure Clément, bien que l'on entende la peur dans sa voix. Comme ça, il ne nous repérerons pas.

Un second craquement suite, puis un troisième. Je frissonne, on descend les escaliers. J'espère juste qu'ils ne vont pas trouver les deux trouillards qui tentent de se rassurer l'un l'autre sous le canapé...

C'est alors sens une main s'accrocher à la mienne :

- T'es plutôt cool comme mec, Lucas, je voulais te le dire si nous sommes destiné à mourir.
- Et toi t'es plutôt mignon comme mec, Clément. Et puis, si ça se passe comme dans les films, on devrai survivre de justesse...

Soudainement, une fine source de lumière éclaire le salon. Au moins une dizaine d'animatronics arrivent, leur yeux lumineux produisant de la lumière. Clément avait raison, ce sont des robots, pas des humains.

Une paire de yeux se met à fixer le canapé. C'est Freddy l'ours.

Non, il ne faut pas qu'il nous voit, sinon on est mort.

Je sais, je vous ai fait attendre. Mais voilà la deuxième partie de ce chapitre, manque plus la troisième et peut être la quatrième.

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