Une étrange proposition
Je sors de mon appartement, je descends, pour aller à l’université. J’arrive devant la porte d’entrée, et à peine sortie des paparazzis, me tombent dessus et me bombarde de flashs. Je décide de les ignorer tant bien que mal. En avançant droit devant moi. Décidément, cet homme m’aura vraiment apporté que du mauvais dans ma vie.
Une fois arrivée à l’université, je me dirigeai vers Lindsay je la regardai, désespéré, elle comprit immédiatement, que ça allais mal pour moi, elle s’approcha de moi et dit :
- Les paparazzis ?
- Tu as tout compris. J’eu une seconde de réflexion, puis je continuais. Mais comment tu sais ça ?
- Les photos de toi sont déjà publier.
- Oh ce n’est pas vrai.
- T’en fait pas j’ai une idée pour te sauver la mise, une dernière chance.
- Ah oui et c’est quoi ?
- II doivent aller à un tournage de clip dans quelques jours.
- On n’a déjà tenté de jouer la copine de Zayn.
- Oui mais d’ici là du temps est passé, et même si tu te fais encore refouler à l’entrer, ils devront sortir tu les verras à ce moment-là.
- Tu es un génie.
- Je sais.
J’avais une dernière chance d’arrêter tout ça, et je comptais bien la saisir. J’en avais vraiment marre de cette vie qu’il m’avait imposée et je comptais bien y mettre un terme par tous les moyens.
*Eclipse de deux jours*
J’étais à quelques mettre de la porte ou avait lui le tournage, je m’approchais en tentant tant bien que mal de paraitre sûr de moi, en esquivant un léger sourire au garde, quand il me vit arriver il s’approchait de moi et me dit d’une voix ferme :
- Votre nom ?
- Euh … Sarah. Répondit-je hésitante.
- C’est bon vous pouvez entrer.
Quoi ? Je peux entrez ? Je dois avouer que je ne m’attendais pas vraiment à ça. Pourquoi je pouvais entrez d’abord ? Je m’attendais à le convaincre que j’étais la copine de Zayn mais que je puisse entrer en donnant simplement mon nom, je ne l’aurais jamais pensé. Mais pourquoi mon nom étais t’il sur cette liste ? Bonne question !
Après avoir cherché Zayn pendant un moment, on m’indiqua qu’il était dans sa loge j’étais sur le point de l’ouvrir, quand elle s’ouvrit d’un seul coup et là je vis Zayn, juste derrière cette porte. Il me dit alors :
- Sarah ?!
- Oui, comme tu le vois c’est moi.
- Il faut que je te parle.
Il me prit le bras et m’entraina à entrer dans sa loge. Une fois dedans je dégageai mon bras et je décidais de lui poser une question qui me brulait les lèvres, celle de mon entré dans ce bâtiment :
- Tu peux m’expliquer pourquoi mon nom était sur la liste ?
- Bas parce que je l’ai mis.
- Et pourquoi tu l’avais mis ?
- Car je me doutais que tu reviendrais avec ses histoires comme quoi on sortirait ensemble.
- Et pourquoi tu n’y as pas mis tout simplement à terme ?
- Parce que je …
Je le coupai, d’une brutalité déconcertante.
- Tu ne t’es pas douté une seconde que je voulais que tout ça s’arrête ?
- Si, mais j’avais besoin de te parler.
- Ah oui me parlez a moi ? Mais pourquoi ?
- J’ai une proposition à te faire.
- Ah oui vraiment ?!
- Oui.
- Bas va y que je rigole un peu.
- Sa m’étonnerais que tout ça te fasse rire.
- Dit. Dis-je intriguer, tandis que j’étais en train d’énumérer toute les propositions possibles, mentalement. Mais je dois avouer que ce qu’il allait me demander je ne m’y serais jamais attendu. J’aurais pu m’attendre à tout mais ça, pas du tout, jamais.
- Tu veux bien être ma petite amie ?
A l’écoute de cette parole, je manquai de m’étouffer de près, tout en criant :
- Quoi ?! Mais tu es taré ?!
- Ce serait pour de faux évidement. Tu jouerais ce rôle pendant un ou deux mois, le temps que mon image s’améliore, j’ai fait quelques erreur ses derniers temps et …
- Attend je t’arête tout de suite ! Je n’accepterais jamais de faire ça ! Et pis pourquoi moi d’abord ?
- Tu es la fille idéale, et en plus une rumeur sur notre relation circule déjà, alors le reste sera, un jeu d’enfant.
- Et bas ne compte pas sur moi pour ça, prend qui tu veux mais pas moi. Et puis arrête cette rumeur sur nous. Dis-je en m’éloignant de lui et en me rapprochant de la porte.
J’allais partir quand il dit :
- Sarah je …
Mais un coup de téléphone brutale nous interrompu, je répondis alors :
- Oui allo ?
- Bonjour c’est encore l’infirmière, il faudrait que vous veniez votre mère à ....
- J’arrive tout de suite.
--Point de vue de Zayn--
Elle paraissait paniquer après avoir reçu ce coup de téléphone, je lui demandai alors :
- Quesqu’il ce passe ?
- Pourquoi ça t’intéresse ?
- Je ne suis pas un monstre sans cœur tu sais.
- C’est ma mère … elle est à l’hôpital et il m’on demander de venir … je …
- Tu veux que je t’y emmène ?
- Ca ne te dérange pas ?
- Non, ne t’inquiète pas.
- Oui bas je veux bien alors, Lyndsay, n’est pas la et …
- Ok alors ne perdons pas de temps.
Je ne l’avais jamais vue comme ça, le fait que sa mère devait beaucoup l’affecter, car, elle me parlait un peu près correctement, et cela faisait du bien, je dois l’avouer.
Après quelques minutes de route nous étions enfin arrivé à l’hôpital, je décidais de l’accompagner pour ne pas qu’elle soit seul, personne n’aimerais être seul dans ses moments-là.
Un médecin était très rapidement venu vers nous, pour rassurer Sarah sur l’état de sa mère, elle n’avait rien eu de grave.
Elle alla donc dans la chambre de sa mère, et elle y resta un bon moment, quant à moi j’avais décidé de rester et de l’attendre, après tout elle aura besoin de quelqu’un pour la ramener. Je m’étais assis sur une chaise de la salle d’attente et j’avais finis par m’endormir, jusqu’à ce que Sarah vienne vers moi et qu’elle me réveille pour me parler:
- Tu m’attendais ?
- Oui je ne voulais pas que tu te retrouves seul. Et puis je me suis dit que tu aurais besoin que quelqu’un de ramène donc …
- C’est gentil. Dit-elle en esquivant un jolie sourire.
- Donc, tu veux que je te ramène ?
- Euh … oui je veux bien.
Je l’avais reconduit jusqu’à la porte de son immeuble, elle était sortie en me disant un simple o revoir. Je restai quelques minutes à me demander comment j’allais faire. Elle avait refusé ma proposition quand, j’eu peut-être une idée qui pourrait la convaincre. Je dois avouer, que c’était loin d’être une de mes meilleurs idées, mais cela ne coutait rien d’essayer, je décidais d’aller la voir pour essayer de la convaincre du mieux que je pouvais du moins.
Je regardais les noms des occupants de l’immeuble, malheureusement pour moi, seul les noms de famille y était indiquer, et je n’avais aucune idée du sien. Je décidais alors de faire le tour de l’immeuble, et après avoir sonné dans 8 appartement dont 3 restait sans réponses, je tombai sur une femme qui eut la gentillesse de m’indiquer, qu’elle habitait au dernier étage, comme par hasard ! J’aurais dû m’en douter et commencer directement par le dernier étage.
Une fois arrivé devant son appartement je sonnais, et attendais quelques secondes, avant qu’elle vienne ouvrir la porte. A ma vue elle dit :
- Non pas encore toi.
Et elle referma la porte, mais je pris les devants en bloquant celle-ci, et lui dit :
- J’ai sonné à tous les appartements, pendants 2 étages avant de savoir où t’habite, je mérite au moins d’être écouté non ?
Elle revint sur ses pas et m’ouvris la porte en me fessant signe d’entrer.
- Alors quesque tu as à me dire qu’ont en finissent ?
- J’imagine que les frais d’hospitalisation de ta mère sont chers.
- Et ? En quoi ça te concerne au juste ?
- Si tu accepterais ma proposition tu pourrais les remboursé facilement.
- Tu ferais vraiment tout pour avoir ce que tu veux toi !
- Ecoute ça nous rend service à nous deux non ?
- Je crois que je n’ai pas vraiment le choix il me semble, ma mère a besoin d’aide mais on est d’accord toute cette mascarade doit juste durée un mois ?
- C’est d’accord, juste pour un mois. Mais tu es bien consciente à ce que tu t’expose ? Les médias et tout ce qui s’en suit …
- Ne t’inquiète pas pour ça. De toute façon ce n’est que pour un mois.
- Oui tu as raison.
- Ok. Mais je peux te poser une question ?
- Evidement.
- Pourquoi tu veux tellement que je joue ce rôle ?
- Je t’ai déjà répondu à ça, c’était plus simple comme ça.
- Vraiment y’a juste ça ? Dis-je étonner.
- Ya peut-être aussi le faite, que tu es l’une des seules à me dire vraiment ce que tu penses de moi.
- C’est sûr que personne n’oserait toucher la sensibilité du pauvre Zayn !
Je soupirai un bon coup, je savais, qu’en un sens, elle avait raison, mais ma raison me poussa à répliquer :
- Oui mais parfois faut mieux savoir se taire que trop parler.
--point de vue de Sarah--
Si j’aurais pu je l’aurais foutu dehors en lui claquant la porte au nez mais, il avait raison, sur un point j’avais besoin de lui, pour rembourser les frais de l’hôpital.
J’étais donc contrainte à accepter, tout ça. Pendant un mois entier, ça promet, vue, nos quelques conversations qu’on avait déjà pu avoir.
- Bon tu peux partir maintenant. Dis-je dans le but de le foutre dehors.
- Mais bien sûr, mais avant …
- Mais avant ?
- J’ai besoin de toi demain soir.
- Demain soir tu plaisante là ?
- Absolument pas.
- Ok bas va pour demain soir.
Et il partit, quand il ferma la porte derrière son passage, je me demandais, comment j’avais fait pour finir comme ça, coincer à ce point. Mais je devais aider, ma mère et tout cela était le seul moyen que j’avais trouvé.
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