Souriez, vous êtes photographiez

Alors, voilà, après, cette aveu de Matthew, au début, certes, j’étais assez surprise mais nous avons décidé d’essayer ce que "nous" pourrais donner, et je dois avouer que j’étais vraiment bien avec lui. Aujourd’hui cela fait exactement une semaine que nous sommes ensembles, mais aussi, une semaine que je joue le rôle de la petite-amie de Zayn, et je dois dire que tout cela est loin d’être facile tous les jours, entre les  rumeurs, les paparazzis, et tout ce qui en suis, mais je dois avouer, que dans cette histoire, il y a une chose qui me touche particulièrement, ce sont tous ses insultes que je peux me prendre chaque jour. 

Mais enfin, Zayn m’as promis que tout cela cesserait dès qu’on aura mis fin à toute cette mascarade, après tout il me restait, plus que 3 semaines à tenir, dans ce qu’on pourrait appeler un travail. Quant à Zayn et moi ? Disons que notre relation est assez électrique, en fait rien à changer depuis le premier jour où nous nous sommes rencontré, tout simplement.

Pour le moment, je suis dans la loge de Zayn, en train de faire défiler mon écran de portable, tout en observant à qu’elle point les gens se donnais à cœur joie, en parlants de moi.

- Et oh ! Me dis Zayn, en claquant des doigts pour tenter de retenir mon attention, et me sortir de mes pensées.

- Euh oui quoi ?

- Tu m’écoute ?

- Je t’écoute jamais vraiment, mais là je t’écoutais pas du tout tu disais ?

- Ok … Bon oui je disais, ce soir je viens te chercher chez toi ? Il faut que tu viennes avec moi à un concert histoire d’être vu ensemble.

- Euh oui fais comme tu veux.

- Soit prête pour 19 heures.

- Oui oui.

Je e prêtais, pratiquement aucune attention à ce qu’il pouvait me dire, j’étais totalement obnubilé par ses message sur moi, qui me faisais sentir très mal.

- Je te ramène ?

- Oui.

Je pris ma veste, au passage sortie, et alla en direction de la voiture de Zayn. Une fois que j’étais rentré chez moi, je passai environ deux heure à essayer de travailler sur mes leçon quand la sonnette de la porte d’entrer, me donna le prétexte pour arrêter, j’allais ouvrir, c’était Matthew, à peine était-il rentré que je l’embrassais passionnément puis je dis :

- Pourquoi tu es venu ?

- Parce que je voulais te voir ce n’est pas une raison suffisante ?

- Ah si, bien plus que suffisante.

- Tu veux aller quelque part. 

- Oui bien sûr laisse moi deux minutes.

Deux minutes qui me servir à prendre ma veste, mon sac et mes clef puis je sortis de mon appartement.

--Point de vue de Zayn--

Je montais les marches quatre à quatre pour aller chez Sarah, il ne me restait plus que quelques marches, mais je me stoppai net quand je vis Sarah embraser un mec que je ne connaissais pas. A ce moment, je ne comprenais pas vraiment pourquoi, mais je me sentais mal, oui après tout elle devait être avec moi, je sais bien que c’était pour de faux mais comme même, si tout ça allais à s’apprendre ma réputation en prendrais un sacré coup et je ne parle même pas de ce que tu dirais les directioners sur elle.

Je m’approchais d’eux et fit comme si je toussais, oui ce toussement qui brise beaucoup de situation comme celle-là. Lorsque Sarah me vit elle s’exclama directement :

- Zayn, j’avais complètement oublié

- Oui je vois ça. Mais ça ne vas pas !

- Moi aussi, ravie de te connaitre. Intervenue ce mec qui étais avec elle.

- Toi tu vois tu n’as rien à faire ici, alors si tu pourrais te taire ca m’arrangerais.  Et toi tu es inconsciente ou quoi ?

- Mais non pas du tout.

- Oui bas ce que je viens de voir, me dis le contraire.

- C’est bon reste zen, on ne s’affiche pas en public, tu devrais faire du yoga, ça te ferais du bien tu sais, ta l’air tout tendu. Dit-elle sur une ironie certaine. 

- C’est ça fou toi de moi mais en attendant ses paparazzis son partout, et même ici je te garantis qu’ils peuvent prendre des photos.

Elle ne répondit rien, et eu seulement un air, de "Je suis désolé", puis je lui dis :

- Aller viens il faut qu’on y aille, on va être en retard sinon.

Elle se contenta d’un "o revoir Matthew" avant de partir.

Pendant le trajet, je commençais à parler :

- Tu ne dois plus le voir pas temps que notre accord ne sera terminé.

- Je ne peux pas.

- Ah oui pourquoi ?

- Parce que il est dans mon université et ne plus le voir est techniquement impossible.

- Ne te moque pas de moi tu sais très bien de quoi je parle.

- Oui ok je ne le verrais plus. 

Une fois arriver, dans la loge après un très long chemin. Je dis :

- Salut les gars !

Et ils me répondirent, tous en cœur :

- Salut.

Quand à Sarah à peine, arriver, elle lançait un simple petit "salut"  et quand elle vue la nourriture qu’il y avait dans la loge, elle y alla directement. A sa vue les gars tournais leur regard, en sa direction, et quand, elle, elle vue  le regard qu’elle leur portait elle dit :

- Quoi ? Je n’ai pas eu le temps de manger.

En la voyant, J’eu un léger rire, accompagner d’un grand sourire, c’est alors qu’elle me dit :

- Quoi ? Pourquoi ce te fais rire ?

- Rien c’est juste que rien.

- Mais parles.

- Non rien. Dis-je encore le sourire aux lèvres.

A ce moment Niall intervient dans notre conversation :

- Vous savez que vous avez vraiment une relation très étrange.

- Non tu te trompes de mot pas "étrange" mais  "inexistence".

- Waouh ! Mais elle est tout le temps comme ça ?

- Tu sais tu peux me poser directement la question, et oui je suis tout le temps comme ça, enfin seulement avec les chanteurs prétentieux.

J’interviens :

- On ne si fait jamais vraiment.

- Oh tout de suite comme si j’étais la seul à te lancer des pics.

- Mais personne ne le fais avec tant de … technique, et surtout ne le fais autant de fois  que toi.

- Oh merci c’est trop gentil.

- Mais de rien. Dis-je le sourire en coin.

Harry intervenu :

- Waouh sa devient  trop bizarre pour moi là.

C’est à ce moment-là qu’une voix se dit entendre :

- En scène dans cinq minutes.

J’allais prendre la parole quand Sarah m’interrompu :

--Point de vue de Sarah--

- Je sais je fais comme chez moi et tu reviens dès que tu peux.

Il avait du me dire cette phrase je ne sais combien de fois a chaque fois qu'il devait me laisser seul.

- Je suis si prévisible que ça ?

- Tu n’imagines même pas à qu’elle point.

- Bon bas à toute à l’heure.

- Oui c’est ça.

Et ils partirent … Je n’avais plus qu’à attendre deux heures, je sentais que tout cela allais être très long.

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