Kyubi et Oni
Petite info : Je trouvais que les deux thèmes d'aujourd'hui étaient vraiment inintéressants. Travestissement c'est un peu un concept transphobe je trouve et cockwarming, bah ça allait être un peu compliqué d'écrire 1500 lignes ligne sur une bite qui reste dans un cul. J'ai donc décidé de prendre des libertés et prendre un autre thème. Voilà des bisous.
P.O.V. Kakyoin
Âge : Jotaro et Nori : plus de 500 ans
Je m'étais logé dans une petite maison, loin de la ville. Les paysans qui y habitaient avaient arrêté d'y vivre il y a très peu de temps en se rendant compte de mon activité ici. Je n'avais donc plus personne pour s'occuper de ma demeure et j'allais encore devoir changer de logement. La prochaine fois, je ferai plus attention pour les forcer à rester ici. Je sautais sur une poutre en hauteur sous ma forme de renard et fis mes griffes sur le bois dur. Je m'allongeais et posais ma tête sur mes pattes dans l'optique de me reposer. J'entendais seulement le bruit du cours d'eau qui passait près de la maison, puis un petit oiseau piailla. Je rouvris les yeux et le regardais. Il n'avait pas peur du prédateur qui se trouvait pourtant à quelques mètres au-dessus de lui. Je me léchais les babines. Un petit goûter ne me ferait pas de mal. Je me mis sur mes quatre pattes et m'étirai un peu. Il sautilla un peu, picora le sol, se rapprochant un peu de moi puis je lui sautais dessus et le tuai d'un coup de patte. Je ne me fis pas attendre et le manger. La viande humaine avait franchement meilleur goût mais on n'allait pas se priver d'un petit moineau. J'entendis des pas dehors et relevais ma tête. Je courus dans la chambre, pris forme humaine et mis un kimono. Ils allaient sans doute se demander ce que je faisais là, en kimono, dans une maison abandonnée, mais ce n'était pas si grave. J'aurais largement le temps de les embobiner et ça sera plus simple que s'il voyait un énorme renard à neuf queues. Je soignais mon apparence et retournai dans le salon. Il était rentré. Un oni. Et c'était encore lui. Nos regards se croisèrent et on soupira ensemble. À croire qu'on était obligé de tout le temps se voir. Il prit la parole, avec sa voix sombre et profonde.
"Tu es encore par ici toi ?
- Je comptais partir. Comme tu peux le voir, il n'y a plus personne ici.
- Si tu étais un peu plus discret, peut-être que tu arriverais à garder un endroit où habiter plus de deux semaines."
Je grognais un peu et il ricana.
"Tu es vexé ?
- Et toi ? Tu as l'air de crever la dalle."
C'était à son tour de prendre un air grincheux. Il posa son arme sur le mur et s'assit en tailleur sur le sol. Je passais derrière lui et posais mes mains sur ses épaules. Il soupira et je pris la parole.
"Alors... Tu as faim ?
- Dans le sens que je veux un truc dans mon estomac. Pas dans ton sens.
- C'est même pas ma bonne odeur qui t'as fais venir ici ?
- Mh... Ce soir si tu veux."
Je souris et m'assis à côté de lui.
"Tu le veux vraiment ?
- On verra ce soir mais normalement oui."
Je passais ma langue sur mes canines et posais ma tête sur son épaule. Il caressa mes cheveux, puis mes oreilles de renard et en embrassa une. Je pris la parole.
"Allez guerrier. Va trouver quelqu'un à manger et ramène-m'en un bout.
- Je ne suis pas ton serviteur.
- Un petit bout ?
- Non.
- Allez."
Il soupira.
"Non. Chasse toi-même, tu es meilleur que moi en plus.
- Ouais c'est vrai. On se retrouve ce soir quand la lune est presque au milieu du ciel d'accord ?"
Il hocha la tête, prit son kanabō et sorti. Je partis chasser peu de temps après lui.
Je rentrais, satisfait d'avoir mangé. J'avais quand même ramené quelque chose pour lui, au cas où ça n'est pas été fructueux du tout de son côté. Il arriva, un peu en retard. J'étais allongé sur la même poutre que tout à l'heure. Il me regarda.
"Jotaro, je t'ai amené quelque chose à manger.
- Moi... Aussi.
- Eh bien, je pensais que tu ne voulais pas."
Il râla.
"Descends un peu. Tu es loin de moi."
Je m'exécutais de manière gracieuse. Il alla allumer la cheminée et on s'assit près d'elle. Je lui donnais mon bout de chair et il me donna le mien qu'on se dépêcha de manger. Pendant qu'il mangeait, je le regardais. C'était un oni de couleur bleu, avec deux grosses canines qui lui sortaient de la bouche et un oeil au milieu. Il avait deux cornes sur le front dont une était cassée. J'avais vite compris qu'il n'était pas là depuis longtemps, vu comment il pouvait être incompétent. Mais j'aimais passer du temps avec lui. J'essuyais le sang qu'il y avait sur ma bouche et le regardais sur ma main. Il la prit et la caressa.
"Alors Kakyoin...
- Oui ?
- On peut ?
- Bien sûr."
Je m'assis sur ses jambes et enlevai mon kimono, le laissant voir mon corps et mes queues de renard. Il m'embrassa et je passais mes mains derrière son dos que je griffa lentement. Il geint un peu et me mordilla la lèvre pour qu'il puisse passer sa langue à l'intérieur. Il arrêta de jouer avec ma langue et prit mon visage dans sa main et passa son pouce sur ma canine ce qui le blessa légèrement. Je léchais son sang et il sourit. Je pris la parole.
"Dis-moi quand tu étais en vie, tu n'aurais pas été un peu en chaleur?
- Tu racontes quoi ? C'est toi la pute."
Je le frappais et il lâcha un son de douleur.
"Pute n'est pas une insulte. C'est un métier, sale rustre.
- Mh.
- Dis pardon.
- Quoi ?!
- Tu as bien compris."
Il se crispa un petit peu et souffla.
"Désolé Kakyoin.
- Non pas moi. Désolé d'avoir insulté le métier de pute."
Il soupira.
"Je suis désolé d'avoir insulté le métier de pute. Tu es content ? On peut continuer ?
- Oui on peut."
Je l'embrassais doucement et roulais doucement mon bassin contre le sien. Une friction se créa entre nos deux érections, nous faisant soupirer d'aise. Il commença lui aussi à bouger mon bassin contre le sien. Il griffa ma cuisse et pris de l'huile qu'il en mit sur ses doigts. Il mit rapidement un premier doigt qu'il bougea doucement. Je lui embrassais doucement le cou et lui mordis la clavicule. Il rajouta un second doigt et je me mis à secouer lentement mes queues. Il parla.
"Bah alors ? Tu as l'air bien content de ce qu'on fait.
- Pourquoi je ne le serais pas ? Encore heureux que je montre quelque chose. Toi tu as l'air blasé.
- Mh."
Il m'embrassa et je griffais sa nuque. Il rajouta encore un troisième et continua de faire ses mouvements en moi. Je pris son sexe en main et commençai à le masturber lentement. J'appuyais sur son gland, passais tout autour et tapotai doucement sur la longueur. Je glissais doucement mon doigt jusqu'à la base de son sexe que je pris en main et que je serrais doucement. Il enleva ses doigts et je lâchais son sexe. Il le colla à mon entrée et me fixa pour parler.
"Je peux y aller ?
- Oui vas-y."
Il prit mes hanches en main et me pénétra lentement. Il lâcha un râle et je soufflais. Je commençais des mouvements de hanches et me collais à lui. Il passa une de ses mains dans le creux de mon dos et me cambra un petit peu et commença à embrasser mon torse. Il lécha un de mes tétons et le suçota. J'accélérais mes mouvements de hanches et sortais parfois un petit gémissement pendant que lui se retenait à chaque fois. Je me rapprochais de son oreille pour murmurer.
"Tu sais que tu peux gémir, non ?
- Tais-toi. Je n'ai pas envie.
- J'aimerais les entendre moi."
Il donna un coup de rien et je me mordis la lèvre. Je passais ma main sur sa gorge et plante un peu mes ongles, le faisant un peu saigner. Il continua à donner des coups de bassins en appuyant en même temps sur mes hanches. Je balançais ma tête en arrière et passais une main dans mes cheveux. Il avait l'air hypnotisé. Il devait vraiment me trouver magnifique, ce que je comprendrais. Je passais ma langue sur mes canines, pris mon sexe en main et commençai à faire des mouvements dessus. Il m'embrassa tendrement avant de jouir. Il haletait et je lui demandai.
"Tu me laisses finir ?
- Tu veux de l'aide ?
- Vas-y, je veux bien."
Il prit mon sexe main et me masturba assez rapidement et je finis par venir dans sa main. Je l'embrassais tendrement et il se retira de moi et je pris mon kimono pour le mettre et m'assit à côté de lui. Il se rhabilla un peu et me regarda pour discuter.
"Tu vas bien Kakyoin ?
- Super. Et toi ?
- Super."
Il se colla à moi et je posais ma tête sur son épaule en fermant les yeux, afin de profiter tranquillement de la soirée.
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