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𝐀𝐋𝐐𝐀𝐌𝐀𝐀𝐑 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒆𝒏𝒕𝒔













sorry⏰⏰⏰

Eh juste pour vous donner un aperçu les filles je veux trop vous montrer c'est bon je tiens plus😭😭😭




Voici ma réécriture de « Mariée à celui que je déteste le plus au monde, mon Kidnappeur » (2015), que je renomme en « Même en enfer, je te veux ».

  [Je sais je sais vous aimez pas les histoires pleines de clichés comme le kidnapping mais je sais ce que je fais les gurls. Et j'en ai marre de voir des filles massacrer ce genre d'histoire juste parce qu'elles font toutes la même chose. Ça a un certain potentiel quand on y pense.
Fin bref vous serez pas déçues (enfin j'espère xptdrrrrrr).]







aperçu :


hehehe alors ? j'vous ai donné envie ? 😭






J'VOUS SOUHAITE UNE BONNE LECTURE (et une bonne nuit si vous dormez toujours pas mdrrr) MES 𝕋𝔼𝕃𝔼𝕋𝕋𝕌𝔹𝕀𝔼𝕊. ❤️

















SADIQAH

Le lendemain. 8h.

J'enfile des vêtements assez légers après avoir attaché mes cheveux en vitesse et met des claquettes pour descendre prendre mon petit-déjeuner.

   La plupart étaient déjà tous réveillés et avaient presque fini. J'avais pas vu Nabil par contre.
   Bref je prend un croissant et me cale sur une table seule en soupirant. J'ai grave mal à la tête w'Allah. Voir la tête de Yûnous ça m'a foutu une de ces migraines c'est incroyable.

   Et même quel genre d'homme débarque dans un pays étranger juste pour venir te voir ? C'est vraiment pas normal. Et le pire dans toute cette histoire c'est que même au tout début de notre relation il aurait jamais montré autant d'obstination à mon égard.
   Je balaye ces pensées inutiles de ma tête et avale un verre de jus d'orange.

Nabil : Bonjour ma petite fée.

Hahaha bah voici notre petit fuckboy. Vous savez pas comme je le vois plus du tout de la même façon maintenant w'Allah.
  Je me retourne vers lui et lui adresse un petit sourire.

Moi : Bonjour Nabil tu vas bien ?

Nabil : Oui, j'ai plutôt bien dormi cette nuit. Enfin j'en avais bien besoin vu la grosse soirée qui nous attend.

Il s'assied en face de moi en remuant une cuillère dans sa petite tasse de café.
   De quelle soirée il parle..? Ah merde j'allai presque oublier l'offre du samedi soir.

Moi : Ah ouiiii j'avais complètement oublié. *rire* Ça va être dur de rester aussi tard franchement.

Nabil : Si t'as du mal tu peux très bien te reposer et nous laisser faire le reste hein.

Moi : Nan nan t'inquiète pas, j'ai assez de force pour ça. Et puis c'est mon travail après tout.

   Je dépose mon verre sur la table en glissant ma mèche derrière mon oreille.
   Quant à Melissa, une de mes collègues, elle vient s'asseoir à notre table en nous saluant juste avant d'entamer son verre de lait.

  Je détourne finalement le regard vers Nabil.

Moi : Au fait tu devrais pouvoir récupérer ton téléphone dans la journée Nabil.

Nabil : Oh ils ont fait vite à ce que je vois.

   J'acquiesce et allait répliquer lorsque Fouad vient soudainement se joindre à nous. D'habitude il est toujours dans son coin avec un renoi et il dit jamais rien.
Sérieux il va quand même pas commencer de bon matin ?

Fouad : Oh patron tu savais qu'elle accueillait des gars tard le soir dans sa chambre ?

   Vous voyez ? J'en étais sûre.
   Nabil lève la tête vers moi en haussant sourcil.

Nabil : C'est vrai ça Sadiqah ?

Moi : Oui et non. Cet homme s'était juste trompé d'étage.

Fouad : *rire* Il était presque 1h du matin grosse, il aurait pas osé toquer sans vérifier.

   Je lui lance un regard noir. Je sais pas il essaye de faire quoi mais il m'exaspère de plus en plus.

Moi : Tu sais quoi Fouad ? Même si j'ai envie d'inviter un homme dans ma chambre ou d'en inviter dix je le fais et j'ai pas de compte à te rendre.

   Il lève subitement les mains comme pour montrer qu'il était innocent et ricane.

Fouad : Ah moi j'ai pas demandé d'explications hein. Je constate c'est tout.

Moi : Bah la prochaine fois garde tes constats pour toi personne n'en a quelque chose à foutre ici.

Anus : Si, moi.

   J'ouvre la bouche mais la referme immédiatement. Vous savez quoi ? C'est même pas la peine que je lui réponde w'Allah. Elle est totalement obnubilée par lui cette fille et je peux rien y faire.

Fin bref, j'attrape le verre et le dépose sur le plan de travail en verre sur le côté en jetant un coup d'œil à l'heure.

Moi : On part dans combien de temps au fait ?

Nabil : 30 minutes. Au fait je sais pas si vous êtes au courant mais demain c'est champ libre pour vous les jeunes.

Abdul : Toute la journée ?

Nabil : Oui. Comme ça vous pourrez un peu profiter du soleil et de la ville.

Waw mais c'est parfait ça. Je vais enfin pouvoir me relaxer parce que franchement j'en avais bien besoin.
   J'entends certains exprimer leur joie mais je n'y prête pas trop attention et monte dans ma chambre pour ranger un peu.

   Une fois que c'est fait, j'attrape mon téléphone et fait des snaps pour les envoyer à Mahrez.
    Ce petit morveux décline tous mes appels depuis qu'il a parlé avec Naïm mais ouvre quand même mes snaps tss. Quand je vais rentrer je vais le frapper d'une manière il est totalement pas prêt.

Bref je me redresse du lit et décide d'appeler ma maman pour avoir un peu de ses nouvelles.









-

18h.

   La journée s'était passée assez vite et j'avais passé le plus clair de mon temps à rattraper les bêtises de Fouad qui avait la tête un peu ailleurs aujourd'hui.
   Les gens commençaient déjà à affluer donc je devais me dépêcher et m'appliquer comme jamais.
   Et pendant tout ce temps, mes seules pensées se dirigeaient vers cette « période » et cette « Ayline ». Putain qu'est-ce qui a bien pu se passer pour que Naïm soit encore touché par cette histoire hein ? Et surtout c'est qui cette fille pour lui ?

   Fin bref. Je lui poserai toutes ces questions lorsqu'il sera un peu plus enclin à me répondre.

Lily : Vous avez pas vu Nabil ?

Moi : Il est parti récupérer son téléphone, il devrait bientôt revenir.













NAHEMA

J'étais en train de me faire faire les ongles dans un salon mexicain que je connais depuis des années et discutais avec des mexicanas qui parlaient des gringos qu'elles ont sautés la nuit dernière.
D'ailleurs si jamais vous voulez vous faire une manucure digne de ce nom c'est ICI.

J'étais donc en train de discuter en espagnol avec la patronne qui rigolait lorsque mon téléphone se met à sonner.

   Je décroche en voyant le numéro de Nabil apparaître sur l'écran. Mierda, je commence vraiment à me lasser de lui.

Moi : Hm ?

Nabil : Coucou ma puce.

Moi : Salut mon grand.. au fait je t'ai appelé plein de fois mais tu n'as pas répondu.

Nabil : Ah oui c'est une longue histoire.. je viens juste de récupérer mon téléphone c'est pour ça que j'ai pas pris tes appels.

Moi : Il s'est passé quelque chose ?

Nabil : Si tu veux je peux te la raconter à l'hôtel ?

   Je rigole nerveusement en retenant mon dégoût. Heureusement qu'il me sers un minimum sinon je l'aurais même pas touché avec un bâton.

Moi : Je peux pas. J'ai mes règles.

Nabil : Oui et bien tu sais très bien que si la rivière est ensanglantée, on peut prendre la voie boueuse. *rire*

   C'est bien gentil tout ça mais j'ai vraiment pas envie là.
Fin de toute façon, je vais l'utiliser encore un peu et le manipuler en lui envoyant quelques photos puis je me débarrasserai de lui.

Moi : ...je suis encore un peu fatiguée du voyage. Mais on se voit plus tard si tu veux ?

Il soupire longuement.

Nabil : D'accord.

Moi : Sinon mon grand.. tu as du nouveau de ton côté ?

Nabil : Je pense que oui.

Moi : Je t'écoute.

Nabil : La petite Sadiqah a utilisé mon téléphone la nuit dernière pour passer un coup de fil.

Moi : Elle a sûrement dû appeler ses parents.. je vois pas où est le problème ?

Nabil : Sauf que je connais très bien le numéro de son père et ce n'est pas du tout lui.

Je me suis redressée brusquement sur ma chaise en manquant de faire bouger la résine sur mes ongles que la femme en face de moi appliquait.

Moi : Envoie le moi tout de suite.

Nabil : Pourquoi ? C'est qui ?

Moi : Envoie moi juste le numéro.

Nabil : Et tu comptes faire quoi avec, ma puce ?

Je touche nerveusement mon collier en ricanant dans ma barbe.

Moi : Rendre les choses un peu plus drôles.

   Je lui raccroche au nez et compose le numéro. Je suis sûre et certaine que c'est celui de Naïm. Et dire que je l'ai cherché pendant des mois et que je le trouve enfin.
   J'avais un de ces sourires collés aux lèvres. Ça fait près de 8 ans que j'ai pas eu l'occasion de le voir ou même de lui parler et c'est enfin le moment.

    Il répond enfin après quatre sonneries.

Moi : Holá Juanito.

Naïm : ...

Moi : Comment tu vas depuis le temps hermanito hein ?

Naïm : ...

Moi : Tu comptes m'ignorer longtemps Juan ?

Naïm : Naïm.

Moi : Juan c'est aussi ton prénom.

Naïm : Je veux pas d'un nom donné par un fils de pute.

Moi : C'est pas très gentil ça.

Naïm : T'as 20 secondes avant que j'raccroche.

Moi : Et bah.. ça fait 8 ans qu'on s'est pas parlés et c'est comme ça que tu me salues ?

Naïm : Plus que 16.

Moi : Bah je vais faire vite alors. J'ai fait la connaissance d'une certaine Sadiqah.

Je savais qu'il montait en pression rien qu'à sa respiration.

Naïm : Nahema t'as pas intérêt à t'approcher d'elle.

Moi : Sinon quoi hein ? *rire*

Naïm : Tu sais pas encore de quoi j'suis capable.

Moi : Si je le sais très bien. Et c'est bien pour ça que je vais tranquillement aller voir cette Sadiqah et que tu ne pourras strictement rien y faire.

Naïm : Je vais pas rester patient longtemps.

Moi : Dis moi tu penses qu'elle va réagir comment quand je vais lui dire quel genre de personne tu es hein ?

Naïm : Nahema, je te jure que si j'te croise je t'égorg..-

Je raccroche en riant. Ce que j'aime le voir dans cet état vous savez pas.

Je dépose mon téléphone et retourne tranquillement à ma manucure en l'imaginant fulminer seul dans son coin. Putain je jubile là.
   Il sait pas ce que j'ai en tête concernant sa protégée et c'est ça le plus drôle dans l'histoire.
















SADIQAH

19h12.

   J'étais posée sur la terrasse en train de boire un verre d'eau avant de reprendre le travail lorsque mon téléphone se met à sonner.

Moi : Oui ?

Nahema : Je te dérange ?

Moi : Non non dis moi ?

Nahema : J'ai beaucoup hésité avant de t'appeler Sadiqah..

Moi : Ah oui ?

Nahema : Oui.. j'avais honte de te demander de me faire faire un petit tour du coin vu que je connais pas grand chose..

Moi : *rire* Ah mais faut pas être gênée pour ça. Ça me dérange pas du tout, au contraire.

Nahema : C'est vrai ?

Moi : Oui. D'ailleurs si tu peux demain je te montre un peu vu que je suis libre.

Nahema : Oh mais c'est parfait demain.

Moi : Alors c'est ok ?

Nahema : Oui. À demain dans ce cas et merci encore de prendre du temps pour moi.

Moi : C'est rien. *petit rire*

Je raccroche et dépose mon téléphone. En me retournant, je croise le regard de Djafar qui était assis seul à une table éloignée de toutes depuis un moment et qui me fixait sans rien dire. Il va pas commencer à faire comme Fouad quand même ?

Bref j'allai retourner en cuisine lorsqu'il crie subitement mon prénom. Je fais volte-face à contre-coeur et reviens vers lui.

Moi : Oui je peux vous aider ?

Djafar : Tu me dis pas bonjour ?

Moi : Non.

Il rigole en posant sa tête sur sa main.

Djafar : Si tu continues à être aussi froide je vais vraiment finir par ne jamais te dire tout ce que tu te demande sur Naïm.

Je me retourne vers lui en fronçant les sourcils.

Moi : Parce que tu sais tout toi ?

Djafar : Ouais.

Vous savez quoi ? Je préfère le demander moi-même à Naïm. Si il ne me l'a pas encore dit c'est qu'il est pas encore prêt, point.

Moi : C'est bien pour toi mais je m'en fou.

Il me regarde quelques secondes sans rien dire puis éclate de rire.

Djafar : T'es sûre de ton choix Sadiqah ?

Moi : Absolument.

Djafar : Et si je te disais que Naïm a commis un double homicide ?

Double quoi ?













Ban la partie était bof mais c'était nécessaire pour la suite.
Et je vais peut-être être moins régulière pour les suites parce que je bouge au bled.
Disolé😕

-

Oubliez pas d'aimer les filles.❤️


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