39.
𝐀𝐋𝐐𝐀𝐌𝐀𝐀𝐑 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒆𝒏𝒕𝒔
⍰
Genre là je viens de relire toute ma chro et j'ai découvert des trucs que j'avais oublié jui moooorte😭😭 vos commentaires ils me font trop rire w'Allah
Bref j'espère que vous allez aimer. Je posterais plus souvent dès que j'aurai recup assez de vues et de votes. Gros cœur sur vous❤️
J'compte sur vous pour commenter aussi ça me fait tellement plaisir vous savez pas. ❤️
ÇA C'EST MOI QUAND J'AI VU TOUS VOS MESSAGES MDRRR
NAHEMA
Ce gros porc se redresse et enfile son pantalon et sa chemise sous mon regard aguicheur.
Moi : Tu vas où mon grand ?
Nabil : Ma femme et mes enfants m'attendent. Mais si t'as besoin de plus d'infos, j'suis là. *petit clin d'œil*
Il me dégoûte je vous jure. Mais c'est pour la bonne cause hein puisque l'autre Fouad a voulu faire le fou. Il sait pas qu'on s'en prend pas à moi sans qu'il n'y ait de répercussions.
On parie combien qu'il va revenir vers moi comme un petit chien ? En fait un peu comme tous les hommes que je connais. Ils sont devenus accros à mon corps et je comprends tout à fait. Je suis magnifique.
Fin passons, je me redresse doucement du lit en me rhabillant.
Moi : Envoie moi des photos quand t'es là-bas mon poussin.
Il rigole bruyamment puis s'approche de moi et passe une main sur mes fesses. Ses doigts potelés agrippent soudainement ma hanche sous mon cri de surprise.
Nabil : Et toi n'oublie pas de m'envoyer des petites photos coquines.
Moi : Oui oui t'inquiète pas. Au fait.. tu sais si cette Sadiq..-
J'allai continuer lorsque mon téléphone se met à sonner. Ça me soûle clairement, j'allai lui poser une question très importante là.
Quelqu'un veut bien me dire qui est le pendejo qui ose me déranger encore ?
Moi : Quoi ?!
? : Ouais Nahema.. j'ai réfléchis et j'suis désolé. J'étais de mauvaise humeur et j'me suis emporté et tout.. j'pensais pas ce que je disais.
J'é-cla-te de rire. Je vous avais dit quoi ?
Moi : Un chien revient toujours vers son maître hein ?
Fouad : Eh m'énerve pas Nahema. J'peux très bien repartir.
Moi : Nan c'est bon désolé bébé..-
Nabil tourne brusquement la tête vers moi. Il regarde qui comme ça celui-là ?
Nabil : Tu dis bébé à qui là ?
Moi : C'est ma sœur t'inquiète pas mon poussin c'est rien.
Il me regarde un instant sans rien dire puis vient m'embrasser sauvagement.
Nabil : La prochaine fois qu'on s'voit dans ce lit tu pourras plus marcher.
Il me donne des haut-le-cœur. Il a de la chance il possède des infos dont j'ai besoin sinon je l'aurais jeté depuis longtemps.
Urk. Son gros ventre grasseux avait du mal à rester en place dans sa chemise et m'a même chatouillé le nez lorsqu'il s'est redressé.
Je sais vraiment pas comment j'ai passé deux heures avec lui ici. C'est une abomination.
Il attrape sa veste et quitte la chambre en m'envoyant un bisou volant. J'en profite pour lui montrer un sein pour l'exciter encore plus puis ferme la porte.
J'attrape mon téléphone et le recolle à mon oreille.
Moi : Écoute moi bien Fouad. J'ai un plan et t'en est la pièce maîtresse.
Fouad : Ah ouais ? Dis moi tout.
Moi : Prend note mon chou.
SADIQAH
Je ferme ma valise en soupirant. Naïm est parti y'a quelques instants après avoir reçu un coup de fil de Deathstroke. Ça devait être urgent parce qu'il est parti en 2/2 sans même me faire un bisou.
Pff j'avais la mort vous savez pas comment.
Bref j'étais en FaceTime avec ma psychologue depuis quelques minutes et j'en avais profité pour faire mes valises pour le voyage.
On part pour une semaine ou deux tout au plus, donc pas la peine de prendre des tonnes de truc.
Laura : Du coup pendant deux semaines je ne vais pas pouvoir te parler c'est ça ?
Moi : *rire* Désolée encore Laura.. mais c'est pour le travail.
Laura : C'est rien, je peux comprendre ne t'inquiète pas.
Moi : J'essaierai de t'appeler de temps en temps.
Laura : C'est comme tu le souhaites. Profite de ce voyage pour te reposer surtout.
Moi : Ouais je compte bien en profiter comme jamais. C'est pas tout le temps que j'ai l'opportunité d'aller aux States.
Laura : En effet. En tout cas.. ça me fait plaisir de te voir comme ça.
Je tourne la tête des l'écran en haussant les sourcils, un mini sourire collé aux lèvres.
Moi : Tu veux dire quoi par « comme ça » ?
Laura : *rire* Je sais pas je te trouve beaucoup plus joyeuse ces temps-ci. T'aurais pas quelqu'un dis moi ?
Un petit rire timide m'échappe et mes joues virent au rouge.
Laura : *rire* J'ai visé juste à ce que je vois. C'est quoi son petit prénom dis moi ?
Je souris en bouclant ma valise.
Moi : J'te dirai rien parce que j'ai pas envie que tu me le voles. *rire* Il est à moi.
-
Le lendemain. 7h.
Je m'assieds sur un des bancs du hall de l'aéroport avec mes collègues. J'avais de ces cernes mon Dieu. J'ai dormi hyper tard, j'arrivais pas à fermer l'œil tellement j'étais excitée je vous jure.
Mon téléphone se met soudainement à sonner. Je décroche, c'était ma mère.
Moi : Coucou ma petite maman.
Maman : Salut benthi tu vas bien ? T'es à l'aéroport ? T'as rien oublié ?
Moi : Nan nan t'inquiète, j'ai la tête sur les épaules tu sais hein.
Maman : *rire* Ma fille quand on a la tête sur les épaules on se fait pas surprendre par son frère dans une situation ambiguë.
Oh putain de merde ce petit morveux lui a raconté pour l'histoire des vestiaires. Quand je rentre je vais le massacrer hmmm.
Fin c'est comme si elle avait pas vu Naïm me faire un bisou hein.
Moi : Jure w'Allah ce gamin t'as tout raconté ?
Maman : *rire* Je l'ai menacé de lui raser la tête. Ça a plutôt bien marché.
Moi : Waah je suis choquée je peux pas lui faire confiance à celui-là.
Maman : Roh c'est bon c'est pas comme si c'était avec un homme que je n'approuve pas.
Je hausse soudainement les sourcils.
Moi : Attends quoi ? T'as bien dit que tu l'approuvais ?
Maman : Oui et ?
Moi : Mais tu l'as jamais rencontré maman ! Je t'en ai juste parlé et..-
Maman : *rire* Je m'en fous, je sais reconnaître le comportement d'une personne qui est bienveillante à ton égard. Et ce Naïm il n'a pas l'air de te vouloir du mal. Au contraire.
Moi : Hm.. et tu l'as raconté à papa ?
Maman : J'attendrais que tu le fasses toi-même ma fille. En plus on dirait que votre relation est un peu confuse non ?
J'allai répondre mais j'entends une hôtesse annoncer que mon avion est arrivé.
Moi : Je te rappelle plus tard maman je t'aime.
Maman : On a pas fini cette discussion.
Je souris et raccroche puis suis Nabil et l'équipe pour aller s'enregistrer.
-
J'étais assise dans l'avion et allait fermer les yeux dans le but de m'assoupir lorsque je sens quelqu'un me tapoter le bras.
Fouad : Je peux m'asseoir ici ?
Je le regarde d'un air indifférent et le laisse s'asseoir. J'ai l'impression qu'il me colle depuis un petit moment et je trouve ça hyper dérangeant.
Je sentais son regard pesant sur moi mais j'avais décidé d'en faire abstraction et de dormir. J'ai besoin de sommeil.
-
19h23.
Je met enfin un pied sur le sol américain, des lunettes de soleil Dior sur le bout du nez et des claquettes aux pieds. Je tourne la tête la tête à droite et vois tous mes collègues en train de se réjouir.
Seule Anus fais la moue et colle aux pattes de Fouad. Comment ça me fait rire je vous jure !
Je ne vous dis pas comment ça a été dur de me séparer de Naïm...! J'ai même versé des larmes mais même lui ne le sait pas. Je ne le dis pas forcément mais je suis très attachée à lui. Même beaucoup trop.
Nabil, mon patron, nous demande de le suivre vers la sortie de l'aéroport. Comment c'est magnifique franchement ! Ça change des quartiers et des banlieues françaises.
On sort enfin et nous nous retrouvons devant plusieurs voitures dans lesquelles nous devons monter. J'allai grimper dans l'une d'elles lorsque mon regard croise celui de quelqu'un de familier. Lorsque l'information me monte au cerveau je tourne à nouveau la tête vers cette personne et vois qu'elle n'est plus là.
J'en suis sûre et certaine, c'était Luïs en face de moi. C'était bien ce Luïs en face de moi. Mais qu'est-ce qu'il fout ici ?
Un frisson me parcourt le dos. Ça doit être une hallucination sûrement.
Je monte dans l'engin et me retrouve dans une berline noire avec Fouad et Anus. Je vous dis pas l'ambiance ! À mourir de rire je vous jure.
Fouad était en train de me parler lorsqu'Anus pose soudainement sa main sur sa jambe.
Fouad : *se retourne vers elle* Eh tu fous quoi là ?!
Anus : Bah ça se voit pas ?
Fouad : Bouge de là crasseuse.
Je sais pas pourquoi mais depuis un petit moment, Fouad est très froid et agressif avec Anus alors qu'au début il la draguait comme jamais.
Anus : C'est pas ce que tu disais lorsque tu me bais..-
Fouad plaque sa main sur la bouche d'Anus et réplique froidement :
Fouad : Si t'ouvres encore ta te-cha pour dire de la merde j'te fais bouffer le siège.
Anus : *se détache de lui* Si c'est toi qui le fait y'a pas de problème. *sourire*
(range tes chicos jaunes de là crevette)
Il allait faire je ne sais quoi avec sa main lorsque je l'arrête brutalement.
Moi : C'est pas le moment Fouad.
Il me regarde quelques secondes puis soupire en baissant la main.
Fouad : *tourne la tête vers Anus* T'as de la chance qu'elle soit là.
Anus détourne la tête vers moi et me dévisage longuement. Ah, j'ai une nouvelle fan.
Anus : T'es comme ça parce qu'elle est là hein ?
Fouad : Nan c'est parce que t'es une pute c'est tout.
Anus : Je crois pas non et toi *à moi* va crever en Enfer sale pouffiasse.
Je jette un œil vers elle puis détourne la tête. Hm elle mérite même pas le quart de mon attention ce trou de balle.
Anus : Ouais c'est ça ferme ta gueule.
Fouad : Anus rest..-
Moi : Laisse. J'ai pas le temps pour ce genre de chienne.
Il éclate de rire, ce qui a le mérite d'envenimer encore un peu plus la situation.
Anus : On en a pas fini nous deux.
La berline noire s'arrête subitement.
Moi : Bah finis toute seule, j'ai pas ton temps.
Je descend de la voiture avec ma valise puis avance vers l'hôtel, suivi de mes collègues et de Nabil.
Nabil : Alors voici l'hôtel où nous allons résider jusqu'à notre départ pour San Diego. Rendez-vous à 20h pour le départ. Le propriétaire nous attend dans son restaurant. Jusque là, quartier libre.
Nous entrons dans l'hôtel et sommes tous submergés d'admiration et d'excitation face au paysage.
Nabil nous indique nos numéros de chambres et nous laisse nous installer. Je monte dans la chambre n.37, c'est à dire la mienne et commence à ouvrir mes valises.
J'étais en train de ranger mon ordinateur portable lorsque mon téléphone se met à sonner : numéro privé. Je décroche.
Moi : Oui allô ?
? : T'es bien arrivée ?
Moi : Tu sais pas dire bonjour Naïm ? Et puis comment t'as fais pour m'appeler alors que j'ai changé de numéro ?
Naïm : J'ai mes sources.
Moi : Ouais comme d'habitude quoi.
Naïm : T'as pas répondu à ma question.
Moi : Eh bah moi j'ai pas envie d'y répondre.
Naïm : *rire* Tu boudes ?
Moi : T'es trop mystérieux, ça m'agace.
Naïm : C'est pour ça qu'tu m'aimes nan ?
Moi : *rire* Ouais si tu le dit. Bon, t'es où la ?
Naïm : Chez toi.
Moi : Tu blagues j'espère ?
Naïm : J'suis venu prendre tes soutifs mais t'inquiète je te les rendrai plus tard.
Moi : SORS DE CHEZ MOI NAÏM !
Naïm : *fou rire* J'rigole j'rigole j'ai juste zappé un de mes t-shirts c'tout.
Moi : *soupire* Tu vas me tuer un de ces jours.
Naïm : J'ai pas dit que j'avais pas regardé.
Moi : NAÏM !
Naïm : SADIQAH ! *rire*
Moi : Dès que je rentre je porte plainte contre toi sois en sûr.
Naïm : *rire* Ouais ouais d'accord.
Je soupire de nouveau et m'assieds sur une des chaises présentes sur le balcon.
Moi : Naïm ?
Naïm : Ouais ?
Moi : Tu vas me manquer.
Eh j'ai fait un gros effort là vous pouvez vraiment rien dire.
Naïm : Rien qu'pour ça j'décale aux States.
Moi : Arrête de blaguer.
Naïm : J'suis sah (sérieux) là... ça m'fait bizarre de pas t'taquiner.
Une personne toque subitement à la porte de ma chambre.
Moi : Hm, bon Naïm je vais te laisser.
Naïm : Ouais mais si jamais y'a heja (quelque chose) tu m'appelles, j'arrive.
Moi : *rire* J'appellerai la police Naïm.
Naïm : C'est moi qui t'protège, personne d'autre. L'oublie pas.
Moi : *petit rire* Je m'en souviendrais. Je t'appelle toute à l'heure Naïm.
Naïm : Hmm.
Je raccroche et vais ouvrir la porte. C'est Fouad, les cheveux complètement mouillés et torse nu qui se tenait devant la porte.
Moi : Oui ?
Comparé à Naïm, Fouad c'est une baguette de riz franchement, Naïm il est inégalable sur ce point.
Fouad : Désolé de te déranger Sadiqah mais t'aurais pas un sèche-cheveux s'teuplait ? J'en ai pas dans ma chambre.
Moi : T'as pas demandé à la réception ?
Fouad : Si mais ils peuvent rien faire pour moi.
Moi : Hm d'accord, entre je vais te le chercher.
Il entre et ferme derrière lui puis s'assied sur mon lit en attendant que j'aille trouver le sèche cheveux. Je l'attrape et ressort de la salle de bain. Fouad était en train de s'étirer.
Moi : Tiens.
Il se lève puis viens à mon encontre.
Fouad : Merci. *sourire*
Je lui souris en retour et j'allai l'accompagner jusqu'à la porte lorsque celui-ci m'interpelle.
Fouad : Ah au fait Sadiqah..
Je me retourne vers lui et c'est alors que celui-ci passe une main derrière ma nuque, m'attire soudainement vers lui et pose ses lèvres sur les miennes.
Vous voulez bien m'expliquer il joue à quoi là ?
Alors vous avez aimé les filles ?
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