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𝐀𝐋𝐐𝐀𝐌𝐀𝐀𝐑 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒆𝒏𝒕𝒔
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OH ON EST ARRIVÉ A PLUS DE 600 COMMENTAIRES LES FILLES J'HALLUCINE ! Je vous aime de fou ❤️
TRÈS LONGUE PARTIE LES FILLES POUR ME FAIRE PARDONNER DE L'ATTENTE.
Eh aussi celles qui me disent ce genre de choses :
J'aimerais mettre les choses au clair avec vous.
Je ne mendie pas les votes. Quand vous votez, ça me fait plaisir et ça me montre que vous aimez, point. Moi, je vous fait plaisir en me cassant les fesses à écrire une bonne chronique mais franchement, y'en a vous avez pas de respect du tout.
Donc maintenant, si j'ai pas envie de poster, je poste PAS. T'as bien compris ?
Mais bon, j'écris et j'arrêterai pas pour les VRAIS teletubbies. Celles qui me soutiennent à fond, franchement MERCI. ❤️ (vous vous reconnaîtrez.)
Bref... bonne lecture les teletubbies ❤️
C'EST UN PEU BEAUCOUP FLIPPANT QUAND MÊME MDRRRR
DJAFAR
Les magnifiques résidences défilaient à une vitesse fulgurante. Je pensais à cette petite Sadiqah tout le long.
Vous me prendrez sûrement pour un fou mais c'est extrêmement facile pour moi de jouer un rôle. Sadiqah me prend sûrement pour un pervers complètement fou à lier (bien que ce soit plutôt vrai) mais il ne faut pas tout le temps croire à tout ce que je fais.
J'aime jouer des rôles. C'est divertissant.
En réalité je suis moins n'être autant importun. Je suis très calme. Même un peu trop. C'est bien pour cela qu'il faut bien que je me divertisse en me moquant des autres.
Surtout lorsque mon jouet est convoité par mon petit frère, alias Joker.
Il me l'a bien fait savoir la dernière fois lorsque j'ai annoncé à Sadiqah qu'il avait un lien de sang avec moi, devant sa porte.
Il m'a pété le nez le con. Mais la seule chose que j'ai retenu de tout ça c'est que monsieur n'a pas aimé que je m'accapare Sadiqah.
« On touche pas à ce qui m'appartient Djafar et surtout pas à elle. Tu risquerais de m'énerver. »
C'est pas le Naïm ni même le Joker que j'ai connu ça. Mais c'est... plaisant.
Des jouets en plus ? Quoi de mieux pour un fou de jeu ? Après tout, il n'y aura jamais de Djafar pour Jasmine.. mais pourquoi pas une Sadiqah ?
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La limousine qui m'attendait à l'aéroport me dépose devant la résidence de mon père.
San Diego. Ma ville natale, celle de mes frères et sœurs aussi.
Je descend de la voiture et m'avance devant le portail doré du palace de mon père. Ça me rappelle énormément de souvenirs tout ça. C'est aussi ici que j'ai découvert que Nahema, ma sœur, vendait son corps pour de l'argent.
Depuis que notre père lui a coupé les vivres lorsqu'il a apprit qu'elle faisait tout cela, elle vise plus haut avec des hommes riches. Elle peut se le permettre, elle est aussi belle que Kendall Jenner de toute façon.
Elle est vicieuse et sournoise avec ses clients alors imaginez avec les membres de sa famille. Je ne l'aime pas. Mais elle... est plutôt amusée par Naïm. Elle le trouve... divertissant et différent.
Elle est extrêmement manipulatrice. Elle tient ça de notre père.
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J'entre dans le salon et remarque que mon père a changé le sol et l'a fait refaire en marbre. J'ordonne à une des servantes de m'appeler mon père.
Il arrive dans la minute, habillé d'un simple peignoir en velours à moitié ouvert. Mon père est mexicain mais a toujours vécu aux États-Unis. Il parle assez bien le français le vieux.
Papa : Ah mon fils !
Moi : Bonjour Papa.
Il me prend dans ses bras et attrape un verre de champagne qu'il avait posé sur la table de cristal.
Papa : Viens sur la terrasse, nous allons parler sérieusement.
Moi : Sérieusement ?
Papa : De Juan.
Je soupire longuement.
Moi : Tu veux plutôt dire Naïm ?
Papa : C'est le nom que sa mère lui a donné ça. *pose son verre*
Moi : Passons... qu'est-ce qu'il y a ?
Papa : C'est grave. Très grave.
Moi : Hein ?
Papa : Juan pourrait avoir de sérieux problèmes.
SADIQAH
Je me réveille doucement et ouvre un œil puis l'autre et j'allai me lever lorsque je me cogne fort contre le dos de quelqu'un.
Je me frotte les yeux et me rend compte que c'est Naïm. Je souffle fort et me recouvre de ma couette parce que je n'avais juste que des sous-vêtements sur moi. Je suis chez moi je vous rappelle ! Je dors comme je veux et en plus il fait presque 28 degrés sérieusement.
Moi : Tu peux pas attendre 10 heures pour sonner comme tout le monde ?
Naïm : J'suis tout le monde oim ?
Moi : Non mais..-
Naïm : Alors ta gueule.
Je lui lance un mauvais regard. Roh c'est bon j'ai pris l'habitude avec monsieur qui s'introduit tout le temps chez moi. Limite si je le considère pas comme mon animal de compagnie. (no respect xptdrrr)
Moi : T'es chiant de bon matin.
Naïm : T'es moche de bon matin.
Moi : Merci, je penserai à ne pas ressembler à Booder au réveil la prochaine fois.
J'allume ma lampe de chevet et jette un œil à l'horloge : 7h21. Pas possible ça : on est dimanche putain !
Moi : T'as pas de vie, pas de maison ou quoi ?!
Il rit bruyamment puis se lève de mon lit.
Naïm : *rire* Si, mais j'aime bien venir gâcher la tienne Sadiqah.
Moi : C'est énervant.
Naïm : Faut pas m'en vouloir. *rire*
Il me regarde longuement et croise les bras en me voyant enroulée dans ma couette.
Naïm : Eh Sadiqah ?
Moi : Quoi encore ?
Naïm : J'te fais une confidence ?
Moi : Hm ?
Naïm : Dors plus jamais en soutif, j'risque de pas pouvoir m'contrôler.
Moi : Quoi ?
Naïm : T'as pas compris ? La prochaine fois j'te bais..-
Je pousse un cri extrêmement aigu et lui lance la lampe dans le torse. Mes joues rougissent d'un seul coup.
Moi : COMMENT TU PARLES NAÏM ?!
Naïm : Vexée ? *rire*
Moi : Sors d'ici de suite je veux me changer !
Naïm : Hm... nan.
Moi : Naïm ! Tu casses les couilles !
Il me regarde dans les yeux tout en s'adossant contre l'encadrement de la porte pour me provoquer.
Moi : Naïm, sors.
Naïm : Alors tu me donnes quelque chose en retour ?
Moi : On verra quand tu seras sorti.
Il me regarde quelques secondes, amusé, puis sors de ma chambre en traînant des pieds. Je ferme à clé derrière lui et me douche en vitesse juste avant d'enfiler une vieille robe de plage et d'aller dans le salon.
J'ouvre les rideaux et trouve Naïm en t-shirt, affalé sur ma table en verre, la tête dans les bras comme un gosse qui boude.
Je souris inconsciemment et m'avance vers lui.
Moi : Eh Naïm ?
Il ouvre doucement les yeux et tourne la tête vers moi au ralenti. Il est trop mignon ! On dirait un enfant qui vient de se réveiller.
Il baille puis s'étire en me regardant de haut en bas.
Naïm : J'ai eu l'time de taper un somme wesh.
Moi : *rire* Roh c'est bon.
Naïm : Ah mademoiselle est plus vénère ?
Je tourne la tête de droite à gauche pour lui dire que non et m'attache les cheveux en hauteur.
Moi : Tu veux quoi alors ?
Naïm : Hm... *sourire* Tu fais tout ce que je veux, c'est ça ?
Moi : Mouais.
Naïm : Fais moi à graille comme dans ton resto'.
Moi : T'es sûr ?
Naïm : Ouais. J'en veux de suite.
Je hausse les sourcils, enfile mon tablier et me lave les mains sous le regard de Naïm.
Moi : Tu veux m'aider ?
Naïm : J'préfère te regarder.
Moi : Comme tu veux.
Je sors ce qu'il me faut et entame la préparation de l'entremet au chocolat qui est le dessert principal que l'on faisait.
Je battais les œufs lorsque Naïm m'interpelle.
Naïm : Eh Sadiqah.
Moi : Hm..
Naïm : Tu ferais quelque chose pour moi ?
Moi : Ça dépend. *me retourne vers lui*
Il pose ses pieds sur la table et croise les bras en me fixant avec son regard rieur.
Naïm : Cuisine sans rien sous l'tablier.
Je ne dis rien à cause de la surprise. Naïm se lève de la chaise et s'approche de moi en riant.
Moi : Tu rigoles ?!
Naïm : Ouais.
Je soupire et met la farine dans le récipient et j'allai glisser le chocolat fondu dedans lorsque Naïm me le prend des mains et le met en hauteur.
Moi : Naïm, ça va rater si je laisse la crème retomber !
Naïm : C'est vrai ?
Moi : Oui, c'est vrai !
Naïm : Vraiment vrai ?
Moi : OUI PUTAIN !
Naïm : Vraiment Sadiqah ? *sourire*
Je saute et tente d'attraper le bol mais je fais bouger Naïm et tout le chocolat se retrouve sur mes vêtements et mon visage. Il y en avait partout dans la cuisine.
Je pousse un cri étouffé tandis que Naïm explose de rire en se tenant les côtes.
Moi : T'ES SÉRIEUX NAÏM ?!
Il rit sans même me répondre. Je l'insulte de tous les noms et souffle fort en retirant un maximum de chocolat de mon visage et de mes cheveux.
Une fois que Naïm arrête enfin de se tordre de rire, il s'avance vers moi sauf que je recule.
Moi : T'es un bouffon Naïm ! UN GROS CON !
Naïm : T'es énervée Sadiqah ?
Moi : PUTAIN J'AI ENVIE DE TE TUER !
Il s'avance vers moi avec toujours cette mine moqueuse puis une fois coincée contre la table, il m'attrape par le bras et me tire vers lui.
Moi : LACHE MOI !
Naïm : Sadiqah.
Moi : QUOI BORDEL ?!
Naïm : T'as du chocolat sur la bouche.
Moi : Je m'en fout !
Il rit dans sa barbe puis s'approche de ma tête et m'embrasse doucement. Je le pousse brutalement et le frappe sur le torse.
Moi : DÉGAGE !
Naïm : *rire* Hmm... chocolat blanc.
Moi : Putain...
Je me détache de lui et me dirige vers la salle de bain. Je retire mes vêtements et me glisse une nouvelle fois sous la douche. J'ai pris tout mon temps pour décompresser.
Une fois fini, je j'enfile de nouveaux vêtements et me sèche les cheveux juste avant de retourner dans le salon où je trouve Naïm, allongé sur le canapé en train de dormir.
Je vais dans la cuisine et vois que c'est tout propre et qu'il a tout nettoyé. En tournant la tête vers la table en verre je vois l'entremet posé sur un plateau.
Attendez... attendez... il a fait le dessert tout seul ?!
Je retourne dans le salon et vois qu'il est en train d'enfiler sa veste. Je le regarde un petit instant puis lorsqu'il remarque ma présence, il tourne la tête vers moi en souriant.
Moi : Pourquoi tu m'as demandé de te faire un gâteau alors ?
Il ne répond pas et me regarde juste.
Moi : Je te parle Naïm.
Naïm : J'voulais juste dahak (rire). T'es mignonne quand tu t'énerves.
Je ferme les yeux pour me calmer et lève la tête vers lui.
Moi : Tu me fais monter la tension pour rien putain.
Naïm : *rire* C'est pour ça que tu m'aimes.
Je ne dis rien et le fixe sans bouger.
Moi : Naïm ?
Naïm : Quoi ?
J'hésite un instant mais m'avance vers lui, glisse mes bras autour de son corps et le serre fort contre moi.
Il est d'abord surpris puis lui, à son tour, enroule ma tête avec ses deux bras et me colle contre lui.
Au bout d'un petit moment, il se détache de moi et sort son téléphone puis le range automatiquement.
Naïm : J'ai un truc à régler. Azy prend soin de toi Sadiqah.
Je lui souris timidement et le regarde sortir de l'appartement par la porte. POUR UNE FOIS OH MA GAD.
Je reste quelques secondes plantée là mais me ressaisit et part ranger l'entremet au frigo et appelant ma mère au passage. Je la préviens que je vais passer lui déposer un morceau de gâteau et au passage leur dire bonjour.
Elle me dit que c'est bon.
Je range quelques petits trucs et me pose sur le canapé en regardant la télé.
NAHEMA
Je sors de la douche et trouve une enveloppe de Walid sur le lit à baldaquin. Je me pose dessus en avalant la pilule. Il est hors de question que je tombe enceinte dans mon métier.
J'ouvre l'enveloppe et vois qu'il m'a laissé une somme de 8000 euros à peu près. Hm ça peut aller. D'habitude j'ai plus mais je n'était pas au mieux de ma forme hier.
Je retire mon peignoir et m'habille d'une robe moulante et d'une veste en fourrure. J'enfile mes Dior, me maquille et sors de la chambre d'hôtel en appelant Fouad.
Fouad : Ouais Nahema ?
Moi : Tu as ce que je t'ai demandé ?
Fouad : Oui. Je t'envoie ça par la poste en express. Et pour Naïm... je trouve pas grand chose.
Moi : Comment ça ?
Fouad : Rien sur ce qu'il s'est passé depuis ce fameux meurtre. Je ne trouve absolument rien. Il a disparu de la circulation.
Moi : Oh je vois... alors essaie sous le nom de Joker.
Fouad : Joker ?
Moi : Hm..
Fouad : Et pour mon payement ? *rire*
Moi : On se voit dans le même hôtel que la dernière fois.
Fouad : Demain ?
Moi : À bientôt Fouad. Et fais attention à ne pas te faire remarquer.
Fouad : T'inquiète.
Il me raccroche au nez tandis que je me dirige vers les plus beaux magasins des Champs Elysées.
Cette somme je compte bien la dépenser dans du luxe. Après tout, j'ai ce que je veux quand je veux.
Et cette fois-ci, je veux voir mon petit frère coûte que coûte.
20h39.
SADIQAH
Je viens tout juste de sortir de chez Maman et Papa. Mahrez n'était pas là vu qu'il est en voyage scolaire avec sa classe. Je sens que le petit va se taper une ou deux petites de sa classe mais bon.
Je salue la voisine et descend du bâtiment. Je prend mes écouteurs et me dirige vers chez moi.
-
J'allai prendre la rue où mon appartement est lorsque j'entends de forts gémissements et mon prénom résonner fort.
Je me retourne et vois une silhouette qui m'est familière. Je m'approche et me rend rapidement compte que c'est ce petit connard des Yûnous.
Il titubait et avait le front en sang. Il s'approche lentement de moi en grimaçant de douleur.
Mon sang ne fait qu'un tour.
Yûnous : *halète* S'il te plait Sadiqah ils vont me tuer !
Moi : Quoi ?!
Yûnous : AIDE-MOI !
Il trébuche et s'affale sur le capot d'une voiture en pleurant silencieusement. Je m'approche de lui et vois qu'il est blessé de partout.
Il tourne doucement la tête vers moi et serre les dents.
Yûnous : Je t'en supplie Sadiqah..
Je ne suis pas un monstre. Pas à ce point.
Il est extrêmement amoché... et c'est contre ma personnalité ça. Je ne peux pas le laisser !
Mais d'un autre côté, tout ce qu'il m'a fait me revient en tête. C'est tellement douloureux d'y repenser.
Putain. Qu'est-ce que je devrais faire ?!
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