55.
𝐀𝐋𝐐𝐀𝐌𝐀𝐀𝐑 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒆𝒏𝒕𝒔
⍰
Ban je vais être moins régulière, je posterais dès que je pourrais les filles sorry. 🌙
YÛNOUS
Je sens un morceau de fer me traverser la joue. Sa mère la pute.
J'ai crié involontairement de douleur et la souffrance a fini par me faire ouvrir les yeux.
Luïs : Tu te réveilles enfin p'tite pute ?
Je cligne des yeux à plusieurs reprises en plissant des yeux puis lève la tête vers eux.
Je comprenais rien du tout. Comment ça se fait que je suis encore là ? Et ça fait combien de temps que j'ai perdu connaissance ?
Je baisse lentement les yeux et vois que j'étais toujours attaché et que mon maillot de foot était imbibé de sang.
Moi : ..depuis quand je suis ici ?
Celui qui se nomme Luïs rigole et vient me taper amicalement l'épaule. Putain de merde il m'a fait mal le chien.
Luïs : Ça fait deux jours tu te réveilles pas mi hijo.
Attendez comment ça deux jours ? J'étais censé être libéré moi ça devait pas se passer comme ça wesh !
Moi : Pourquoi je suis encore là ?!
Ricardo : Crie pas sur moi gringo je vais t'arracher la trachée.
Je ferme ma gueule en sentant du sang s'échapper de ma joue. Ce fils de pute m'a frappé avec un putain de poing américain je crois.
Luïs : Tu t'es évanoui avant qu'on ait fini de parler avec toi. Ton petit cul d'arabe a pas dû supporté la douleur. *rire*
Ricardo : Bon maintenant que t'es réveillé reprenons notre conversation là où on l'a laissée.
Il s'avance vers moi et s'agenouille devant mon visage en me souriant.
Ricardo : Alors comme ça, tu prétends que ce « Naïm » veut nous balancer à la police c'est ça ?
Moi : ..ouais.
Ricardo : Donc pendant tout ce temps où on pensait qu'il était mort ou en cavale ce hijo de perra nous vendait au gouvernement ?
J'acquiesce sans rien dire.
Luïs : Et donc tu dis qu'il sort aussi avec ton ex-fiancée ?
Moi : ..oui.
Luïs : Je vois.
Il fait deux pas en arrière en composant un numéro de téléphone.
Luïs : Merci pour ta participation gringo.
Les deux hommes me tournent subitement le dos et s'avancent vers une porte de sortie sans me détacher. Putain.
Moi : Attendez faut me laisser partir maintenant ! C'était notre arrangement !
Ils se regardent simultanément puis éclatent de rire en me regardant. En quoi c'est drôle ?!
Luïs : Tu crois vraiment qu'on va te laisser partir ?
Je ne dis rien et crache le sang que j'avais dans la bouche sur le côté. Ce Luïs rigole puis fait entrer un homme dans la pièce en ouvrant la porte.
Luïs : On doit d'abord vérifier ces informations pendejo.
Moi : Quoi ?
Luïs : Tu restes ici pour le moment.
L'homme qui venait d'entrer se place devant moi et m'enfonce son poing dans la gueule.
SADIQAH
On l'a tous regardé avec des yeux ronds. Ils étaient tous bouche-bée et ne comprenaient absolument pas comment je le connaissais.
Sérieusement il sort vraiment tout le temps de nulle part il est trop fort.
J'allai répondre à sa question mais Nabil débarque soudainement à côté de moi en fronçant les sourcils.
Nabil : Excuse moi mais t'es qui ?
Naïm : Eh déjà vouvoie moi stp, on s'connaît pas nous deux.
Nabil : Vous auriez dû y penser avant d'essayer d'écraser mon employée.
Naïm : *rire* Je sais parfaitement c'que j'fais mon pote, je lui aurai jamais fait de mal consciemment.
Nabil : Ouais bah j'espère pour vous.
Naïm hausse un sourcil et baisse complètement la vitre en riant nerveusement, son bras calé contre la porte.
Naïm : Sinon quoi ?
Nabil : Comment ça sinon quoi ?
Celui-ci s'approche lui aussi en croisant les bras. Moi je les regardais converser sans rien dire, tout comme les autres.
Nabil : Vous essayez de me menacer là ?
Naïm : Ça se voit pas assez p't'être ?
Nabil : Bon je sais pas ce que vous voulez concrètement mais si vous souhaitez prendre une chambre faudra passer de l'autre côté. Maintenant disposez.
Naïm : Eh l'chauve regarde moi vite fait.
Nabil : Quoi ?
Naïm : Tu vois ce visage là ?
Nabil : ...
Naïm : Il appartient à celui qui baise ta mère la pute tous les soirs.
J'ai écarquillé les yeux et Nabil n'a même pas eu le temps de répondre qu'il avait déjà démarré au quart de tour en riant sournoisement. Vous voyez le genre de rire maléfique là ?
Eh bah il avait même résonné dans tout le parking.
Nabil : Sadiqah comment tu connais ce connard hein ?!
Moi : C'est une longue histoire tonton.
Naïm fait de nouveau un drift agressif en faisant crisser les pneus puis s'arrête subitement sur le côté et sors de la voiture en claquant la porte.
Il s'avance vers nous en jouant avec ses clés, souriant toujours aussi méchamment.
Nabil : Éloigne toi. Ton père voudrait pas que je te laisse avec ce malade.
Lily : Attends tu connais vraiment cet inconscient Sadiqah ?
J'allai répondre mais Naïm arrive pile devant moi et baisse la tête pour me regarder dans les yeux. Il était tellement beau aujourd'hui j'en croyais pas mes yeux : il avait pas mal bronzé entre-temps et son haut noir le moulait parfaitement. Bref il a fait chavirer mon petit cœur.
Christian se détache subitement de Fouad et vient s'interposer entre nous.
Christian : Eh recule avant que j'm'énerve poto.
Nabil : *en reculant* je vais chercher la sécurité.
Naïm pousse brutalement Christian sur le côté et allait m'adresser la parole lorsque Fouad m'attrape d'un seul coup par le poignet et me tire sèchement vers lui.
Waw faut se calmer aussi je suis pas un objet non plus.
Fouad : On t'a dit de reculer si t'veux pas avoir de problème igo.
Naïm tourne lentement les yeux vers lui en riant puis baisse le regard sur sa main qui me tenait le poignet. Oh oh.
Naïm : Putain si tu savais combien de temps j'attends c'moment enfoiré.
Fouad : Quoi ?
Il s'approche de lui et colle son front au sien.
Je les regardais en silence et putain, ce que c'était tendu. Vraiment Naïm c'est une de ces armoires à glace w'Allah. Sa main doit bien faire la taille du visage de Fouad.
Il lui met une seule gifle et sa tête se détache de son corps sérieux.
Naïm : Je vais te faire tellement mal Fouad.
Fouad : Comment tu connais mon blaze toi ?
Naim : ..t'as vraiment cru qu'j'allai oublier qu'tu l'avais embrassée ?
Fouad tourne brusquement la tête vers moi en fronçant les sourcils.
Fouad : Comment il sait ?
J'allai lui répondre mais Naïm l'attrape par le cou sous les cris des personnes présentes. Tout le monde était affolé et tentait de calmer la situation. Vraiment toujours la violence avec lui j'y crois pas.
Naïm était donc sur le point de l'étrangler lorsque je pose ma main sur son avant-bras en le tirant un peu vers moi. Fouad asphyxiait sérieusement.
Faut que je calme la situation sinon ça va dégénérer et c'est vraiment pas le moment.
Moi : Naïm. S'il te plaît.
Il détourne lentement la tête vers moi, me regarde fixement quelques secondes sans bouger puis relâche finalement ses muscles.
Je soupire. Je sais pas comment je vais expliquer tout ça à mon équipe quand il sera parti w'Allah.
Naïm : T'as de la chance j'suis pas venu ici pour toi baltringue.
Fouad apporte ses deux mains à son cou en grimaçant tandis que Christian revient de nouveau à la charge.
Christian : Tu veux quoi à Sadiqah ?!
Naïm me lance un regard puis attrape fermement la main que j'avais posé sur son avant-bras et en profite pour glisser un bras sous mon ventre et me jetter subitement sur son épaule.
Mais il fait quoi encore ?!
Naïm : Ça t'regarde ap.
Lily : Mais lâche-la ! Ça va pas ou quoi ?!
Naïm : Arrête de crier toi j'vais te gifler bêtement.
Lily : Tu te prends pour qui pour faire ce genre de choses hein ?!
Il rigole puis resserre son étreinte autour de ma taille en faisant deux pas en arrière. Putain il me serre trop fort.
Naïm : Pour le Roi de Gotham. Et elle, la Reine.
Il fait volte face et se hâte de marcher en direction de son bolide qu'il venait de faire sonner avec la clé dans sa main gauche.
Lily était en train de crier et d'appeler de l'aide pendant que moi j'essayais de me détacher de lui. Je peux très bien marcher toute seule hein, il me l'aurait demandé gentiment je l'aurais suivi sans aucun problème.
Mais bon c'est Naïm. Il prend, lui, il demande jamais.
Moi : Mais Naïm sérieux tu peux pas me laisser descendre ? Je peux marcher tu sais.
Naïm : Nan. Comme ça j'peux toucher tes fesses. *rire*
Moi : NAÏM !
Naïm : Roh c'est bon je rigole. *petit rire moqueur*
Moi : Dans ce cas lâche-moi et laisse moi au moins leur expliquer que tout va bien Naïm ! Ils seraient capables d'appeler la police et tu vas te retrouver dans une belle merde tu verras.
Il soupire puis après quelques secondes, revient sur ses pas et se place devant Nabil qui était revenu avec un agent de sécurité.
Il éclate de rire en baissant le regard sur l'homme en question. Le gars était plus maigre que moi w'Allah, Naïm en aurait fait qu'une bouchée.
Naïm : Vas-y il m'fait trop de la peine dis lui de retourner dans la chatte à sa daronne sinon je vais le gifler lui aussi.
Je pince son ventre. (ou plutôt ses abdos)
Moi : Ton langage Naïm.
Naïm : Orh t'as l'habitude maintenant.
Moi : Oui mais pas eux.
Il soupire et me relâche en faisant attention à ne pas me faire mal. Je descend de ses bras et réajuste mon haut en levant la tête vers Nabil qui était complètement affolé.
Nabil : Tu m'expliques tout ça Sadiqah ?! Je comprends plus rien !
Moi : ..t'inquiète pas tout va bien tonton, il est inoffensif.
Nabil : Et ça c'est quoi hein ?
Il me montre du doigt Fouad qui avait des traces bleuâtres autour du cou. Putain de merde.
Moi : Écoute c'est vraiment une longue histoire je te la raconterai plus tard. Là c'est pas trop le moment Nabil.
Nabil : Non moi je veux tout savoir MAINTENANT. Et puis c'est pas comme si on avait pas le temps, on est bloqué ici jusqu'à nouvel ordre donc parle.
Moi : Tonton j..-
Nabil : Et c'est pas la peine de me mentir, dis moi tout ou j'appelle immédiatement ton père Sadiqah.
Moi : Tonton..
Je le regarde en mordant nerveusement ma lèvre. Putain c'est pas le moment sérieux.
Naïm soupire d'agacement et m'attrape subitement par la main juste avant de prendre en main ma valise.
Naim : Bon j'sais pas pour vous mais nous, on doit rentrer chez nous.
Moi et Nabil : Quoi ?
Il rigole et me tire vers lui sous le regard perdu de mes collègues.
Naïm : Vous avez pas dit que y'avait un problème avec l'hôtel ?
Moi : Si.
Naim : Bah voilà, on a une maison nous deux donc on rentre chez nous.
Lily : Et depuis quand hein ?
Il lui lance un regard dédaigneux juste avant de passer un bras autour de mon cou.
Naïm : Depuis qu'on est en couple.
Je me suis étouffée avec ma propre salive. Eh il vient d'officialiser notre relation ou je rêve là ?
Mes joues ont viré au rouge en une fraction de seconde.
Nabil : Cou..couple ?
Naïm : Ouais « cou..couple ». Espèce de triso.
Lily : C'est une blague c'est ça Sadiqah ?
Nabil : *s'approche* Eh Sadiqah t'as pas intérê..-
Naïm ne lui laisse même pas le temps de parler qu'il m'entraîne avec lui jusque la voiture, jette mes bagages dans le coffre et me pousse à l'intérieur.
Il monte ensuite côté conducteur en ignorant les cris de Nabil.
Naïm démarre ensuite à la va vite et sors du parking en faisant crier le moteur.
Il accélère un peu plus en obliquant sur l'autoroute et tourne la tête vers moi. J'étais encore choquée par ce qu'il venait de se passer w'Allah je savais pas quoi dire.
Naïm : Tu m'fais même pas de bisou ? Vilaine.
Je tourne la tête vers lui en riant.
Moi : C'est toi tu me prends au dépourvu là t'es distant et d'un seul coup t'apparais pour m'embarquer comme si de rien n'était.
Naïm : Orh Sadiqah tu sais très bien qu'j'étais occupé.
Moi : Ah ouais ? Et occupé à quoi hein ?
Naïm : Tu verras quand on y sera. *petit rire*
Moi : .. t'es toujours aussi mystérieux à ce que je vois.
Il me lance un petit regard rieur puis pose doucement sa main sur ma cuisse. J'ai frissonné.
Naïm : C'est pour ça que tu m'aimes.
On se regarde mutuellement pendant quelques secondes puis il rigole moqueusement en glissant sa main sur ma joue qui était brûlante.
Naïm : Eh t'es trop hloua quand tu rougis.
Je rougis encore plus, ce qui le fait éclater de rire. Mais il a une telle emprise sur moi c'est fou.
Moi : Maaaais arrête Naïm c'est pas drôle là.
Naïm : *rire* je te fais toujours autant d'effet à ce que je vois.
Il s'arrête à un feu rouge et tourne la tête vers moi. J'en profite pour plonger mon regard dans le sien.
Moi : Bien sûr que oui tu me fais de l'effet Naïm.
Naïm : ..ah ouais ?
Moi : Ouais. Et t'es le seul à me faire rougir comme personne d'autre ne l'a fait jusqu'ici.
Il esquisse un adorable petit sourire juste avant de prendre ma main et de l'embrasser en me regardant dans les yeux.
Naïm : Sadiqah.
Moi : Hm ?
Naïm : Maintenant que t'es près de moi j'vais jamais te lâcher.
Il serre un peu plus ma main en se remettant à rouler.
Naïm : J'te le jure.
Il détourne le regard après m'avoir scruté un instant. Je souris inconsciemment : il joue avec mon cœur là sérieux.
J'en profite pour l'observer longuement. Sa main droite était serrée en bas du volant et je pouvais facilement voir ses veines traverser son bras bronzé. Il regardait droit devant lui et son cou était un peu crispé.
Vraiment il a un de ces charmes j'arrive pas à y croire.
Je regarde un peu par la vitre et vois qu'il faisait déjà noir dehors et qu'on était arrivés en ville. Malgré le trafic, Naïm s'était subitement mis à accélérer de plus en plus.
Il s'arrête brutalement à un nouveau feu rouge en me regardant.
Naïm : Quoi ?
Moi : Naïm, tu vas trop vite là.
Naïm : Tu crois ? *rire*
Il me regarde d'un air innocent et passe en 3 secondes de 0 à 100.
-
Il ralentit soudainement après une vingtaine de minutes de route puis roule un peu plus doucement une fois qu'il arrive près de la baie.
On était dans un quartier extrêmement luxueux en bord de plage et j'étais émerveillée par la beauté des maisons présentes.
Il s'arrête subitement devant un portail gigantesque qui s'ouvre, entre à l'intérieur puis fais marche arrière sur le côté en posant sa main derrière mon siège.
Waw je peux mourir pour ce geste les filles il a fait palpiter mon cœur comme jamais.
Il coupe le moteur puis débloque les portières en me fixant.
Moi : Je me pose la question depuis toute à l'heure.. tu l'as vraiment volée cette voiture Naïm ?
Naïm : *rire* bah ouais tu crois quoi ? On change pas les bonnes habitudes.
Il attrape son téléphone et sors de la voiture sous mon rire. Après tout c'est un cambrioleur hein.
Je sors donc à mon tour et c'est avec une incommensurable stupéfaction que mes yeux tombent sur la maison qui se trouvait juste devant moi.
J'étais tellement éblouie w'Allah j'en croyais pas mes yeux.
J'avais jamais vu quelque chose comme ça de ma vie je vous jure. C'est digne d'un film Hollywoodien tellement la façade était magnifique. Et je parle pas de l'arrière de la maison que je pouvais entrevoir et qui donnait sur une superbe plage privée.
Voyant mon regard admiratif, Naïm rigole puis sors la valise de la voiture en la fermant à clé.
Naïm : Ça te plaît ?
Moi : Je suis choquée w'Allah.
Naïm : Pourquoi ? T'aimes pas ?
Moi : Tu te poses vraiment la question sérieux ? C'est tellement beau que j'en ai pas les mots je te jure Naïm.
Naïm : Content que ça te plaise.
Il me sourit puis avance vers l'entrée en trainant ma valise. Je le rattrape en regardant autour de moi. C'était trop beau, vraiment.
Moi : Ça a dû coûter une fortune Naïm.
Naïm : 17 putains de millions de dollars.
J'ai ouvert la bouche juste avant de la renfermer immédiatement. C'est une blague ?
Moi : T'es pas sérieux ?
Naïm : *rire* Eh j'ai braqué Cartier ma belle, pas une épicerie.
Moi : Alors pourquoi tu continues de voler hein ? *rire*
Il s'arrête devant le palier puis m'adresse son sourire sournois.
Naïm : Parce que j'ai ça dans le sang. Et que ça changera jamais.
Il pousse la grande porte dans un crissement, me laisse entrer dans le hall magnifique puis me suit à l'intérieur.
Naïm : Bienvenue chez toi Harley.
Je me retourne vers lui en souriant. Il est trop adorable j'y crois pas.
Il cale négligemment mes bagages dans un coin puis se retourne lentement vers moi. Je ne lui laisse pas le temps de parler et me glisse subitement entre ses bras pour l'enlacer.
Putain je l'aime tellement c'est indéniable.
Il est d'abord surpris mais passe très vite ses deux bras autour de ma tête et me serre fort contre son torse. Waw il sent toujours aussi bon mon Joker à ce que je vois.
Naïm : J'aime quand tu fais ça putain.
Je rigole légèrement et allait lui faire un petit bisou sur la joue lorsque mon téléphone se met subitement à sonner.
Je décroche sans regarder l'interlocuteur et porte le téléphone à mon oreille en regardant Naïm, qui fronçait légèrement les sourcils.
Moi : Oui ?
? : SADIQAH PAPA VA TE TRUCIDER.
Moi : Il se passe quoi Mahrez ?!
Mahrez : Tonton Nabil a appelé et il..-
Le téléphone change brutalement de mains et la respiration saccadée de papa vient couvrir tout bruit.
Papa : Tu m'expliques c'est quoi cette histoire encore ?!
Moi : Attends laisse moi t'expliquer papa. Nabil a dû tout amplifier je te jure c'est rien de grave.
Papa : Tu..-
Naïm m'arrache brutalement le téléphone des mains en souriant puis pose sa main sur mon épaule en me faisant un petit clin d'œil.
Naïm : Il est temps que j'me présente non ?
Il apporte le téléphone à son oreille.
Naïm : Wesh Mustafa bien ou quoi ?
J'espère que vous avez aimé. ❤️
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top