!! 🅂🄿🄾🄸🄻🄴🅁🅂 🄿🄰🅁🅃🄸🄴 1 !!
(Je suppose lol)

ᴘᴏᴜʀ ʟᴇ ᴘʟᴀɪꜱɪʀ
): ǝɥɔuɐlq ǝɓɐd ɐl ǝp ǝɯoɹpuʎs un ıɐ,ɾ ǝnb ǝɔɹɐd ʇǝ
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Ça se passe pendant l'enfance de Jonathan et Dio
(≈940 mots)
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(T/n) PDV :

J'ai toujours un peu été perdue, je n'ai jamais vraiment su ce que je voulais.
Et je n'appréciais que trop peu de choses aux goûts de mon père.

Mon éducation ne m'intéressait pas, m'amuser non plus et l'amour encore moins.
L'une des seules choses que j'appréciais réellement était lire. Lire était une activité qui ne nécessitait rien de spécial et qui pouvait être effectuée partout.

Ne trouvant rien qui me plaisait, cela a finit par agacer mon père qui m'envoya chez l'un de ses amis, Georges Joestar en tant que servante. Il a dit, je cite : "Je ne veux plus te voir avant que tu ais appris ce que c'est de travailler et eu des centres d'intérêts communs aux filles de ton âge !"
Qu'importe. C'était les paroles d'un vieux fou.

Je fut néanmoins, accueillis convenablement.

Je fis connaissance avec les autres servantes et le maître des lieux, Georges Joestar et son fils, Jonathan Joestar. Ils avaient tout de l'air de bonne personne, mais ils n'étaient pas intéressant.
Il me dit alors qu'un nouvel occupant devrait arriver dans quelques jours. Cela attisa ma curiosité au début avant d'en perdre tout intérêt.

On me fit visiter les lieux, les seules pièces réellement importante était ma chambre, celles de mes maîtres -y compris le prochain nouvel occupant-, la cuisine et.. la bibliothèque. Ils avaient une bibliothèque incroyable.

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Les jours étaient passés et je prenais mes marques plus rapidement que ce que d'autres auraient pu croire. Cet endroit n'était pas mauvais, mais rien ne m'intéressait à part la bibliothèque. Je me sentais toujours ennuyée peu importe les tâches que l'on me donnait. Perdue aussi. Mais pas pour les mêmes raisons.
Le nouvel occupant était d'ailleurs arrivé. Je n'avais pu le croiser étant de corvée de marché le jour même. Monsieur Joestar m'expliqua qu'il s'appelait Dio Brando et qu'il devait être traité comme un membre de sa famille. D'après ce que j'avais entendu dire par les servantes, il avait frapper violemment le chien de Jonathan, Danny. Je n'aime pas les chiens non plus.

J'étais en cuisine lorsqu'une servante rentra dans la pièce pour préparer du thé. Mais je ne sais comment, elle se blessa. Et étais donc inapte à apporter le thé à quiconque l'avait réclamé. C'est alors que je la regarda -sans vraiment me préoccuper de son état- et lui demanda :

- « À qui devais-tu apporter le thé et où ? Je vais m'en occuper à ta place.

- J-je devais en apporter au jeune maître Dio.. Il était dans sa chambre..

- Bien.. Je te remercie. »

J'ai donc continuer, à la place de cette servante, de préparer le thé.

Une fois terminer, je pris un plateau, posa le tout dessus avant de me diriger vers la chambre de Dio.
Je toqua une fois mais aucune réponse. J'essayais alors une seconde fois, toujours rien. J'ouvris alors la porte en m'excusant de mon intrusion mais je ne vis personne dans la chambre.
Je m'interrogeai alors.. M'étais-je trompée de pièce ? Non. Sûrement pas. Et ma mémoire ne me faisait pas non plus défaut.
Je me rappela alors de M. Joestar qui avait mentionné rapidement la bibliothèque en parlant de Dio, peut-être était-il là bas ?

C'est d'un pas sûr que je me dirigeais vers la bibliothèque.
J'y vis alors un jeune homme blond aux yeux ambrés lisant un livre. Il avait l'air concentrer par sa lecture jusqu'au moment où je suis rentrer dans la pièce. Il détacha ses yeux et son attention des pages pour me regarder.

- « Ce n'est pas trop tôt. , Dit-il avant de froncer les sourcils, Tu n'es pas la servante à qui j'ai ordonné de me servir du thé.

- Veuillez m'excuser de mon retard, jeune maître. J'ai dû remplacer la servante qui s'est blessée durant la préparation de votre thé.

- Je vois. Approche et sers moi. » A-t-il dit avant de retourner à sa lecture.

Je fis ce qu'il demanda et m'approcha pour lui servir son thé. Je m'inclinais alors légèrement avant d'entamer une marche pour sortir mais il me fit signe de rester. Je m'arrêta donc pour attendre, si il avais besoin de moi de quelques manières.

Durant plusieurs heures il lisait le livre, je le regardais tourner les pages. Ses yeux bougaient de droite à gauche et de haut en bas, pour signifier sa lecture. Je voyais parfois ses yeux exprimer de façon légère des émotions comme la surprise, la colère ou l'agacement. Mais je n'avais encore pu distinguer de la joie. Il buvait aussi son thé, et quand la tasse était vide, il me demandait de la remplir.
Il me regardait aussi, par moment. Et par moment, je le regardais en retour. Parfois je regardais mes pieds ou détournais le regard. C'était un jeu pour nous deux.

Quel drôle de jeu.

Alors que je scrutais les étagères, j'entendis un lourd "Clap". Le bruit d'un livre qui se fermait. Je tourna alors mon regard vers Dio, qui venait -non sans surprise- de terminer son livre. Il me regardait aussi.

- « Tu aimes lire ? »

C'est ce qu'il me demanda. Je les sentais regarder à travers tout mon être. Ses yeux.
Je lui répondis sans hésiter.

C'est pendant cette conversation que je compris quelque chose. Dio était un être incroyable. Il me passionnait comme jamais aucun humain n'avais pu le faire auparavant. Chacun de ses mots, chacune de ses phrases. Tout. Tout me passionnait chez lui. J'étais fascinée.

J'ai souvent prié Dieu en espérant qu'il me permettrait de me trouver.
Je comprends maintenant ne pas avoir prié le bon.

Je n'étais plus perdue.
Je m'étais trouvée.
IL m'avait trouvé.

Et il le voyait très bien.