- Hum... ; Grogna doucement le brun en ouvrant avec difficulté ses yeux, agressés par la forte lumière artificiel et la blancheur immaculé de l'endroit dans lequel il venait de se réveiller.

Il avait l'étrange impression d'avoir dormit pendant plusieurs mois tant son corps était lourd et embrumé de toute part par une inactivité évidente.

Pourtant, le brun faisait beaucoups de sport, certes à cause de sa position au seins des rangs de l'armée, mais même avant cela. Il en pratiquait toujours énormément, adorant courir ou faire de la musculation et ressentir le sentiment de douce fatigue qui en découle une fois l'effort finit.

Il essaya de prendre doucement plus conscience de l'endroit qui l'entourait, se concentrant pour chercher le moindre indice qui pourrait lui révéler sa position.

Le brun était sûr de ne pas être dans son lit à lui, puisque son plafond était couleur bois et qu'il partageait sa chambre avec son amant. Mais ce dernier n'était pas là, n'était pas à ces cotés alors que d'habitude c'était lui qui le réveiller de son doux sourir tout les matins.

Il utilisa ses autres sens en supprimant celui de la vue puisque les lumières qui l'aveuglaient devenaient insupportables pour ses pauvres rétines douloureuses.

Il essaya de se redresser mais impossible de bouger le moindre membre. Il essaya d'entendre mais ne perçu aucun bruit. Il fini par essayer de sentir mais rien non plus.

Il commençait à paniquer, à avoir peur, à laisser la terreur prendre possession de son être dans son intégralité.

Il ne voyait plus rien malgré le faite qu'il avait les yeux grands ouverts. Il ne sentait rien, ne percevait rien.

Il était plongé dans un noir et dans un silence complet.

Il avait l'impression d'être mort...

Cette pensée le fit paniquer d'autant plus. Est-ce qu'il était vraiment mort ? Mais comment ? Et pourquoi ? Quand ?

La pénombre sans lumière et la sensation de lourdeur extrême ne firent qu'empirer ses craintes.

Il avait vraiment peur, une grande terreur le noyait et lui prenait la gorge avec force, lui nouait les intestins, lui glaçait le sang jusqu'à la moindre gouttes de son être.

- Il...

Il sentait son propre métabolisme s'accélérer lors de l'entente du bruit. Le brun venait d'entendre quelque chose, il en était certain !

- Il c'est...

Sa vue se réadapta à son environnement, lui permettant de voir des silhouettes floues et blanches se mouvant autour de lui. Il arrivait à voir !

- Il s'est réveillé !

Il sentit une forte odeur d'alcool. Il pouvait sentir de nouveau !

Cette même senteur finit d'ailleurs de lui indiquer qu'il se trouvait dans un milieu de soin, certes c'était là un endroit qu'il n'aimait absolument pas et qui dégageait la mort et la tristesse, mais il était là, là et bien vivant !

Ses yeux mirent quelques temps à s'adapter à la lumière et à la blancheur immaculé de la pièce dans laquelle il était.

Il pût voir deux médecins en tenues blanches se hâter autour de son lit, endroit dans lequel il était allongé. Le brun remarqua aussi une personne habillée dans l'uniforme de l'armée.

Il avait du mal à voir avec précisons, se contentant des silhouettes, mais intérieurement, le brun espérait que se soit là son amant. Son amant si précieux et gentil qu'il avait peut-être attendu son réveil à son chevet.

Il lui fallait encore plusieurs minutes pour sentir le reste de son corps. Commençant doucement par sentir la présence de ses jambes, de son buste qui se soulevait au rythme de sa respiration calme. Sa tête qui était toujours légèrement embrumée, comme sortit d'un interminable rêve et d'un sommeil d'une longueur d'énumérée. Mais il n'arrivait pas à sentir ses bras, du moins sont bras droit.

Le brun ne pouvait pas bouger et sa vue n'était toujours pas revenue à la normale, comme ses autres sens d'ailleurs.

Il pouvait à peine entendre la discussions qu'entretenaient les médecins et le soldat. Le brun entendait certains mots par-ci par-là, mais rien de très claire qui aurait pût lui permettre de comprendre leur échanges.

Tous se qu'il voulait pour le moment c'était voir son amant et qu'on lui explique pourquoi il se retrouver dans un lieu médicale.

Le brun n'arrivait pas à se souvenir d'avant son réveil, du moins juste avant ce dernier. Il se souvenait de ses amis, de sa famille et de son mari. Il se souvenait aussi de sa vie dans son intégralité, mais il manquait simplement ce petit bout avant son sommeil.

Que c'était il donc passé ?

- C'est bon ? ; Entendu clairement le brun, le sortant de ses pensées alors qu'il tentait vainement de tourner sa tête pour voir l'auteur d'être ses dires qui se tenait sur sa droite ; - Il est tiré d'affaire pour de bon ? ; Reprit la même voix.

- Maintenant qu'il est réveillé et conscient il n'y a plus de raison qu'il re-tombe dans le coma ; Sembla le rassurer une deuxième voix.

Le brun avait remarqué qu'il manquait un médecin et la personnes en tenu militaire dans son champ de vision, indiquant clairement que c'étaient ces deux hommes qui discutaient à sa droite.

Il se sentait beaucoups plus rassuré à présent. Il se savait bel et bien vivant et cette simple pensée suffisait empilement à son bonheur actuel. Simplement, un creux dans son cœur lui rappela qu'il lui manquait finalement quelques chose, son mari.  

- Ka.. Kakashi... ; Souffla avec difficulté le brun, faisant immédiatement réagir les deux personnes à ses côtés.

- Obito ! ; S'écria le militaire, se penchant sur le lit du blessé pour qu'il puisse le voir.

L'Uchiwa fut d'abord triste de constater que ce n'était pas son amant, avant de constater avec surprise que c'était son meilleur ami.

- Madara... ; Souffla Obito, ayant soudainement la pressante envie de pleurer à la vue de son ami, ce dernier suivit d'ailleurs bien vite et les deux hommes finirent en pleures.

- Tu m'as tellement inquiété espèce d'idiot ! ; Lâcha l'aîné des deux amis, après avoir essuyé ses larmes d'un geste de main rapide. Puis il se permit d'aider le cadet en lui plaçant des oreillers derrière son dos pour le maintenir assis.

C'est en se faisant placer de la manière ci-dessus qu'Obito remarqua qu'il arrivait finalement de nouveau à bouger, bien qu'il se sentait faible et fébrile, il y arrivait tout de même.

Cependant une chose ne changeait pas. Il ne sentait toujours pas son bras droit, et même si il ne l'avait pas regardé depuis son réveil, il se doutait d'hors et déjà qu'il devait finalement l'avoir perdue...  

- Ça vas ? ; Demanda doucement Madara, attrapant une épaule de son ami pour attirer l'attention de ce dernier sur lui.

Les yeux d'Obito se passèrent sur la silhouette assise de son ami, et il remarqua que celui-ci avait changé.

Ses courts cheveux noirs étaient maintenant de beau et longs cheveux scintillant et son ancienne barbe avait laissée la place à un visage parfaitement imberbe.

- Oui... ; Souffla durement le brun avant de finalement poser son regard sur son épaule droite pour venir confirmer son hypothèse sur son bras en moins ; - Enfin plus ou moins... ; Lâcha-t-il douloureusement en ne pouvant cacher sa peine de devenir handicapé à vie.

Mais en plus de cette mauvaise nouvelle sur son nouveau handicap, Obito était certain qu'il n'était qu'aux début de ses peines. Il ne saurait comment l'expliquer mais il était sûr que la suite serait bien mais rude à encaisser que se "simple" bras perdu.

Au bout de son épaule enroulée dans plusieurs couches de bandages, se trouvait un prothèse qui pendait mollement sur le lit. Obito comprit alors que sa serait là le seul moyen pour lui de pouvoir faire mine qu'il n'avais pas été amputé d'un membre, chance qu'il allait évidemment tenir et ne plus lâcher.

- Madara. Je veux savoir la vérité alors répond moins honnêtement ; Il ne suffit que de se début de dialogue par que son ami ne se tende ; - Dit moi depuis combien de temps je suis là et qu'est-ce qu'il c'est passé pour que je finisse à l'hôpital, et enfin, où est Kakashi ? ; Le cerveau du brun avait finalement reprit du poil de la bête et maintenant qu'il était opérationnel, Obito ne se retient plus de questionner Madara sur les faits qu'il devait évidemment connaître pour s'être tendu à ce point. 

Lui n'avait toujours aucun souvenir qui lui remontait, rien, pas même une bride d'une action ou d'une pensée qu'il avait pût avoir, seulement un grand vide dans sa mémoire qui l'angoissait autant qu'il le perturbait.

Madara prit une profonde inspiration avant de demander aux médecins si ils pouvaient les laisser seuls, ce qu'ils acceptèrent rapidement et laissèrent la salle libre aux deux amis.

- Obito... Tu es sûr de vouloir tout savoir maintenant ? Alors que tu viens de te réveiller ? ; Demanda't-il, réellement soucieux du bien-être de son cadet.

Le brun eu un petit rire nerveux en entendant ça, prouvant bien qu'il n'allait surement pas apprécier la suite.

- Je préfère connaître la cerise maintenant plutôt que de me faire des films en attendant, surtout que c'est clair que ce qu'il c'est passé ne doit pas être simplement un simple petit accident ! ; Tenta de rigoler le cadet, essayant de cacher son stressé qui montait de secondes en secondes et qui lui prenait la gorge.

Il savait au il n'allait pas aimer, mais il devait savoir. 

- Très bien... ; Souffla Madara avant de venir encrer son regard dans celui d'Obito. Ses yeux affichaient un sérieux inébranlable et semblaient chercher les mots justes pour pouvoir commencer les révélations ; - Pour commencer, de quoi est-ce que tu te souviens ?

- De rien du tout justement, et c'est bien ça le problème ! ; Plaisanta le brun en se grattant l'arrière de la tête avec son bras valide ; Je me souviens de tout jusqu'à un point donner, puis après c'est le tour noir. Je me souviens m'être réveillé un matin et d'avoir entendu la sirène d'alarme de la base et après... ; Obito avait adopté à son tour une mine sérieuse, mais le faite de tenter de se souvenir lui provoqua une forte migraine qui le fit grimacer.

Il fit un petit air désolé à Madara pour lui indiquer que c'était là ces derniers souvenirs.

- Est-ce que tu te souviens du contexte de la situation avant que tu ne sois réveillé à cause de l'alarme ? ; Questionna doucement l'aîné en lui souriant chaudement.

Obito ferma les yeux et essaya de se concentrer un maximum. Déjà il se souvenait que lorsqu'il c'était réveillé il était seul dans son lit, donc soit son amant c'était levé avant lui, ce qui l'étonnait puisque d'habitude ce dernier l'attendait toujours ; soit il avait été envoyé en mission.

Son esprit tilta sur cette dernière pensée pour lui confirmer qu'elle était juste. Le brun se re-concentra donc sur le mot mission et finalement tout lui revient :

Son amant avait été envoyé une nouvelle fois en mission avec son escouade sur le front, et cela faisait maintenant une semaine qu'il était partit lorsque l'alarme l'avait réveillé un beau matin.

- Je me souviens que Kakashi était en mission, mais ça s'arrête là, après je ne souviens de rien... ; Soupira Obito en prenant une nouvelle fois un air désolé. Sa tête lui faisait à présent vraiment mal, lui faisait surement comprendre qu'il lui était pour le moment impossible de forcer sur sa mémoire.

- C'est déjà un bon début ! ; Lui affirma gentiment l'aîné, avant de prendre à nouveau une grande inspiration ; - Bon, je vais donc te dire ce qu'il c'est passé après que l'alarme ait retenti dans toute la base :

Déjà, l'alarme c'est enclenchée et toi et moi avons été convoquées dans le bureau du général en chef, le général Denart.

Le général t'as donné l'ordre de partir avec ton escouade pour praires main forte à celle de Kakashi qui était en difficulté sur le front. Moi, il m'as ordonné de partir pour une base dans le nord, soit disant elle aussi attaquée et en besoin de renfort.

Nous sommes chacun partit avec notre escouade pour affecter notre mission de soutien.

De mon côté, j'arrivais à la base qui l'avait été demandée de rejoindre dans la soirée du même jour, simplement en arrivant là-bas, je n'ai rien vu qui pourrait faire croire à une quelconque attaque. Je suis donc allez demander des explications au commandant de l'endroit qui m'a affirmer que tout allait pour le mieux.

J'imagine que tu peux comprendre un peut dans quel état je me trouvais à ce moment là. Je ne comprenais plus rien à la situation et je n'arrivais donc pas à agir en conséquence, en somme j'étais complètement perdu.

J'ai évidemment tenté de contacter le général en chef ou la base pour avoir des informations sur cette histoire mais je n'ai rien eu, simplement un blanc et le répondeur.

Sachant qu'il était déjà tard, j'ai pris la décision de faire dormir mes hommes sur place et d'aller élucider cette affaire le lendemain.

Après que nous nous soyons tous réveillés et préparés, nous sommes repartit vers la base principal vers l'heure du midi, nous faisant arriver là-bas en fin de soirée.

A peine arrivé, et en tant que bon commandant, je suis parti chercher les informations qu'ils me manquaient et que moi et mes hommes attendions depuis la vieil, mais en arrivant devant la porte du général en chef... ; Sa voix commença à vaciller et il baissa soudainement la tête vers le sol, incapable de regarder son ami dans les yeux ; Quand je suis arrivé, je l'ai entendu dire que ce chien d'Hatake, soit Kakashi, aller enfin quitter les rangs de l'armée, et que il même si il avait dût sacrifier son commandant favori, le jeu en valait la chandelle... ; C'étais maintenant tout le corps de Madara qui tremblait et plusieurs gouttes salées vinrent se loger dans le creux de ses yeux.

Obito, lui, c'était complètement figé. Il se souvenait, les souvenirs précis de tout ce que Madara avait mentionné lui revenaient à l'esprit à présent, bien que ce ne soit que son réveil et la convention devant leur majeur, le commandant en chef.

La suite ne venait pas, ou plutôt le brun ne voulait pas qu'elle lui revienne. Il avait sentit ses tripes se serrer lors des dernières phrases de son aîné, et son cerveau avait d'hors et déjà comprit à qui faisait référence "commandant favori" et donc du dialogue en entier.

Mais il refusait d'y croire, il se refusait aussi à se souvenir. C'était peut-être lâche et égoïste puisque c'était là ça demande première, mais maintenant il souhaitait à nouveau tout oublier.

Quelques secondes supplémentaires se passèrent dans une atmosphère de peur et de tristesse avant qu'Obito ne se reprenne finalement.

- Qu'est-ce que tu veux dire pour là exactement ? ; Questionna-t-il doucement en portant sa main valide sur la tête baisée de son meilleur ami.

Ce dernier se redressa fébrilement en tentant de sourir un minimum avant de reprendre avec une grimace mélangeant la douleur et le dégoût ;

- Ce que j'essaye de te dire c'est que l'ancien commandant en chef Denart à monté un complot contre Kakashi pour qu'il quitte l'armée, et pour ça, il t'a utilisé toi... ; Il regarda tristement son cadet, mais celui-ci lui sourit, lui assurant qu'il pouvait continuer ses explications. Alors il reprit, toujours avec une voix triste et oscillante sous l'émotion, mais il se força à raconter les tristes événements à son ami ;

- Denart à fait en sorte de donner des informations sur les techniques de combats de l'escouade de Kakashi pour que ces derniers soit prit au piège par leurs ennemies. Puis ensuite il t'a missionné pour aller leur porter ton aide mais vous a fait vous prendre  en tenaille avec un autre groupe d'ennemie près d'une falaise.

Entre temps tu avais appelé Kakashi pour lui demander de te faire un résumé de la situation mais en entendant que ta propre situation n'allait absolument pas et était pire que la sienne, Kakashi c'est jeté dans une nouvelle bataille pour aller t'aider. Mais alors qu'il venait d'arriver la où vous combattiez, un ennemie déclencha des bombes qui avaient été posées en haut de la falaise vous surplombant, et l'explosion vous enseveli tous sous ses débris.

J'imagine que tu dois bien comprendre que Kakashi n'aurait rien  pût faire contre ça, même avec son immense courage et sa bonté sans borne. Lui avait évité les débris et était ressorti presque indemne, mais malgré tout ses efforts il n'arriva pas à te sortir des rochers qui te retenaient et son escouade fini par l'appeler pour lui demander de l'aide puisque vos ancien opposant étaient partit les combattre.

Kakashi dût donc vous abandonnez et pour suivre sa mission alors qu'il était tiraillé par le faite qu'il pensait t'avoir perdu.

La bataille se fini avec de très lourdes pertes et Kakashi fut être amputé d'une jambe.

Mais alors qu'il souffrait le martyre de ta perte et de celles de tous ses amis, Denart fit une proclamation disant qu'il avait failli complètement à sa tâche en laissant ainsi son escouade et qu'en conséquence de cause, il était banni des rangs de l'armée pour toujours.

Kakashi a donc quitté l'armée jusque après cette annonce, et toi, tu fut finalement tiré des décombres, et depuis cet acte immonde que l'on appelle tous aujourd'hui : l'Évennement ; le majeur Denart à été envoyé en prison pour complot, à présent remplacé par un autre.

Et de ton côté, tu étais plongé dans un coma dont tu viens à peine de te réveiller, après sept longs mois ! ; Tenta de rigoler Madara. Il avait bien vu comme Obito c'était figé en l'écoutant, mais c'était bien normal vu l'horreur et et le complot malsain qu'il venait de dévoiler.

- Kakashi... ; Souffla d'abord le brun, surprenant l'aîné ; Kakashi ! Où est Kakashi maintenant !? ; Paniqua Obito d'un seul coup.

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Voilà pour ce nouveau chapitre ! Il vous plaît ?  N'hésitez pas à me le dire ! ^○^☆

Pour clarifier un peut l'ensemble, ce chapitre et le prochain seront le "passé" d'Obito. ( bien que je ne vais parler là que de ce qu'il a vécu pendant depuis son réveil du coma jusqu'à se qu'il apparaisse dans l'histoire principale qui se passe à un peut moins de deux ans dans le futur )

L'évennement qui a fait que Kakashi à quitter l'armée c'est passé de ceux ans avant le début de cette fanfiction. Obito à donc perdu sept mois pendant lesquels ils étaient dans le coma pendant que Kakashi était en rééducation pour sa jambe dans l'hôpital de Jiraya. Ce dernier ne vas devenir que le nouvel amant de Kakashi que dans un peut moins d'un an, faisant que le couple Jirakaka ne soit formé que depuis un an lors du début de cette fanfiction 😁

J'espère avoir était un peut plus claire, ou d'un moins j'espère ne pas vous avoir embrouillé plus qu'avant 😂😅☆

Sinon j'espère que tout vas bien pour vous et sur ce, je vous dit à bientôt pour la suite ! ☆