La danse des mains
Qu'attendons-nous ?
Tes cheveux ne boivent plus le clair de lune
Je ne sais pas ce que nous faisons
Ici encore moins
Tu ne pourras pas garder plus longtemps ce sourire de fou
Ne pense pas que tu y arriveras
Mes plus grands pardons pour ces similaires feuilles de braise que je ne peux que te donner
Je pense que nous serons beaux dehors, aux yeux de tous
Luisants comme la pluie robuste aux feux de mille cieux
Jolis comme le printemps de tournesol tourne tourne jusqu'aux yeux
Je manque de fantaisie je ne suis qu'une harde de faux semblants aux couleurs d'abandons
Forte de fièvre au cœur de glaive mon amour je ne volerai plus jamais
Voile tes prières
Bouche particulièrement le gel qui les empêchent de penser
Il a tout mangé
Ne crois pas qu'ils le laisseront faire
Tu n'as plus un sou sur ta nuque
Tu n'iras sans doute pas plus loin que la dune au frais de la rosée
Fleurs encore dansent de ses centaines de libellules
Parole rasée et frêle ne trouve pas la porte close
Qu'il vienne hâte tes mouvements au plus haut que tu le pourras
L'apogée ne se fait pas écouter
Écriture automatique
blnchae
21/06/18
(j'avais envie de réessayer l'écriture automatique et de publier tel quel contrairement à Penser doucement qui a eu le droit à une petite rectification)
Musique : Prune, you talk funny - Gus Dapperton
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