Chapitre 6

Soudain ses lèvres se retrouvèrent sur son front. Lui-même surpris, il s'allongea en regardant cette fois le mur, puis tomba de someil.

C'est ainsi que Jack et Elsa passèrent leur première nuit ensemble.

On continue...

***

Ce fut Elsa qui se réveilla la première. Un bras lourd entourait sa taille, mais ne l'empêcha pas de rester encore un peu entre songe et réalité ; la lumière qui glissa entre les rideaux elle le pu. Désireuse de ne pas bouger, de rester dormir encore quelques heures et certaine de l'identité de la personne à côté d'elle, la blonde se cacha dans la couverture en marmonnant.

- Ferme les rideaux Anna.

Pourquoi ce nom sonnait aussi bizarrement ? À contre cœur, Elsa ouvrit les yeux et sortit légèrement de la couverture, juste assez pour détailler la chambre. Encore endormie, elle remarqua simplement l'emplacement étrange de la fenêtre puis se tourna en enlevant sans ménagement le bras qui reposait sur sa hanche pour fermer les yeux à nouveau. Si ses sens étaient en sommeil, l'odeur qui lui parvenait alluma doucement son cerveau. Elle ne connaissait pas cette odeur...

Tentant de savoir d'où elle provenait sans trop bouger, Elsa avança simplement la tête et le nez, celui-ci attérit dans les cheveux de sa sœur. Il était différent dans d'habitude, peu lui importa et Elsa laissa sa tête sur celle de sa voisine de lit, légèrement remontée sur le lit par rapport à Anna, assez pour que sa sœur soit au niveau de son torse. La plus grande passa un bras autour d'elle.

Pourquoi Anna était-elle si musclée ce matin ? Et ce parfum... Anna ne mettrait jamais ça ! Ce fut lorsqu'un bras l'entoura à nouveau qu'Elsa ouvrit entièrement les yeux, soudain paniquée, le plus grand qu'elle le put lorsqu'elle réalisa avec qui elle avait dormi et qui elle enlaçait. Retirant son bras comme si elle s'était brûlée, Elsa chercha une sortie avant de s'extirper du bras du Jack. S'étant redressée, Jack avait finit par entourer ses cuisses, sa tête posée sur celles-ci.

Il ne le saurait jamais, Elsa se le promit.

Avec toutes les précautions du monde, elle sortie sans bruit et retourna dans la chambre - elle ne pouvait pas l'appeler "sa" chambre - d'ami où se trouvait ses affaires. Elle s'habilla, car sans vêtement de rechange, elle n'avait pas vraiment le choix et descendit les marches pour aller déjeuner, tandis qu'elle s'insultait, se haïssait d'être allée Le voir dans ce moment de faiblesse qu'elle savait pourtant passager et elle Le détestait encore plus de l'avoir accueilli, de ne pas l'avoir renvoyée dans sa chambre comme il aurait dû le faire.

Et cette nuit avait un prix, malgré le dénie total dont elle ferait preuve, Elsa voulait toujours respecter ses promesses, les adultes l'avaient toujours bien trop déçue pour ne pas l'avoir fait. Elle chercha tout ce qu'il fallait pour faire un petit déjeuner et se préparer mentalement à la confrontation qu'elle savait arriver. Sucre, farine, œuf, lait, un peu de bière, sa pâte à crêpes était parfaite ; huilant une poêle, Elsa sortie une assiette et prépara le petit déjeuner qu'elle avait promis.

Jack tournait dans son lit depuis quelques minutes déjà lorsqu'il se décida à ouvrir les yeux. Il s'étira sans gène et se frotta les paupières en baillant avant d'examiner la pièce, il lui semblait qu'il manquait quelque chose... ou quelqu'un ! Après un nouveau bâillement, il se remémora la veille, comment Elsa avait débarqué, leurs altercations, leur plus que baiser et, alors qu'il allait dormir, Elsa toquant à sa porte et dormant avec lui, il occulta complétement sa dernière action.

Où était-elle ? La place à côté de lui était vide... Y posant la main, il sentit que c'était encore chaud, non pas glacé comme à l'accoutume : elle avait dormi là, mais avait disparu en espérant qu'il oublierait, très certainement, ce qui n'arriverait pas. Jack se leva et s'étira, prit son temps pour faire le tour de la chambre, ouvrit les fenêtres puis retrouva son armoire. Il choisit ses vêtements avec soin, espérant dans un sens faire réagir sa colocataire, de quelque manière que ce soit. Un sourire sinique sur les lèvres, il sortie de sa chambre et huma le doux parfum qui remontait à l'étage. Elle lui faisait quand même son petit déjeuner, il semblait qu'elle n'était pas si inutile qu'elle semblait l'être et qu'elle respectait sa promesse.

Il prit son temps sous l'eau chaude en chantonnant, rêvant des crêpes chaudes qu'il allait pouvoir déguster devant un bon feuilleton. Le point négatif aurait été les cours le lendemain, mais comme Elsa allait y participer à sa place, il n'avait finalement pas à s'en faire ; tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Sentant le propre et ses idées redevenues claires, il descendit en s'arrêtant en bas des marches. Il remarqua la musique qui sortait du téléphone de la blonde et qui lui semblait familier, puis Elsa, dos à lui face au plan de travail. Ses cheveux relevés laisser libre sa nuque dont Jack détourna rapidement les yeux. Il trouva une assiette déjà bien remplie et remercia la solitude qui avait touchée Elsa la veille. Sans bruit, il se rapprocha de sa colocataire et se placa juste derrière elle pour regarder par dessus son épaule, il remarqua alors qu'elle fredonnait et qu'elle ne l'avait pas remarqué. Redevenu enfant, il attendit qu'elle le remarqua en observant chacun de ses faits et gestes.

Elsa murmurait l'opening de kimi no na wa qu'elle connaissait par cœur tout en étant très concentrée sur ses crêpes. C'était son réconfort pour ce qu'il se passait ici et elle ne voulait pas en brûler une seule, pour profiter du miel et de la confiture qu'elle avait pu trouver en fouillant un peu partout. Cette recette avait toujours était son petit plaisir lorsque rien n'allait, quelque chose qui réussissait à la rassurer, peu importe les circonstances.

Soudain, elle sentit un souffle dans son coup et se retourna vivement, poêle dans la main. Elle fut surprise de trouver Jack aussi prêt et fit en sorte de retrouver toute sa préparation mental pour son déni et la confrontation qui suivrait ; elle était déjà épuisée.

- Jack, qu'est-ce que tu fais là ? L'interrogea-t-elle dans un reflexe.

- Je suis chez moi, lui fit-il remarquer.

- Je veux dire juste derrière mon dos, pauvre idiot !

Elle le fit s'écarter pour renverser la crêpe sur son assiette déjà bien remplie et se dit qu'il y en aurait suffisamment pour elle.

- Bah j'attends que tu finisse mon petit déjeuner et je contrôle que tu le fasse bien.

C'était maintenant que tout commençait.

- Pardon ? Ton petit déjeuner ? Répétât-elle dans l'incompréhension.

- Bah oui, tu m'as promis de me faire mon petit déjeuner si je te laissais dormir avec moi. Ma part est faite, donc je récupère ce qui m'est due

Il s'installa sur le comptoire de la cuisine et attira l'assiette à lui. Trop occupée par la dispute, Elsa oublia d'éteindre les plaque.

- Je ne vois pas de quoi tu parle, continua-t-elle en faisant glisser l'assiette jusqu'à elle. Si tu veux des crêpes, il reste de la pâte. Tu peux te les faire toi même !

- Tu ne vois pas de quoi je parle ? Vraiment ? Lanca-t-il accusateur en récupérant son petit-déjeuner que la blonde refusa de lâcher. TU es venue hier soir pour ME demander de baisser la musique et pour dormir avec moi dans une tenue sacrément provoquante alors ne viens pas me dire que tu as oublié !

- On dirait bien que monsieur fait déjà des rêves bizarres. Ce n'est pas parce que tu semble fantasmer sur moi que je vais faire ton petit déjeuner ! C'est hors de question, surtout que la poêle est chaude, tu n'as pas grand chose à faire.

- Tu crois vraiment que je pourrais fantasmer sur ça ? Excuse moi chérie mais ne te fais pas trop d'idées. Ce n'est pas parce qu'on s'est embrassé hier que ça veut dire quelque chose ! Tu étais là, et quand on a faim, on prend ce qu'on a sous la dent, que ce soit des sardines ou de la langoustine !

Le ton était monté et à chaque réplique, l'assiette passait d'un côté à l'autre du comptoir, la sueur commençant à leur faire lâcher prise. 

- Très élégant de comparer des femmes à de la nourriture. Tu sais ce qu'on dit chez moi ? Mange ta main et garde l'autre pour demain ! Alors tu peux te débrouiller tout seul, pas besoin de sardine, de homard ou je ne sais quoi d'autre ! Ne vient pas m'embrasser à nouveau, je te l'interdis !

- À PARCE QUE C'EST MOI QUI T'AI EMBRASSÉ ? JE VOULAIS JUSTE QUE TU LA FERME !

En disant cela, Jack se désigna de la main : une force moins grande tenait désormais l'assiette et Elsa, en tirant à nouveau, fit voler les crêpes et ses pieds glissèrent pour la faire tomber. Jack avait récupéré l'assiette, sans un regard pour elle. Son petit déjeuner était sacré et ce n'était pas une simple gamelle qui allait blesser la blonde ; elle avait survecue à une chute dans les escaliers après tout. De l'autre côté du comptoir, Elsa se rattrapa à ce qu'elle put, une main sur le meuble et l'autre sur le plan de travail. Plus exactement sur la plaque de cuisson encore brûlante. Fier d'avoir récupéré les crêpes, le jeune homme les posa plus loin prêt à s'en vanter lorsqu'un cri retentit.

La blonde hurla en se laissant tomber sur le sol et en collant le dos de sa main blessé à son torse, comme pour la protéger, l'autre venant le recouvrir. Les larmes ne mirent pas longtemps à apparaître tandis qu'elle regardait sa main brûlée se parsemer de cloques.

Jack se retourna en cherchant Elsa puis baissa les yeux ; recroquevillée, elle tenait sa main, assise sur le sol, le dos contre les placards. Il mit une seconde à comprendre ce qu'il se passait : brûlure. Ses reflexes de premiers secours dus à ses deux mamans fonctionnèrent avant qu'il ne puisse réellement réfléchir et il lui prit le poignet pour la forcer à coopérer - Elsa semblait vouloir garder la douleur pour elle, la cacher pour se protéger et qu'elle ne s'aggrave pas - avant de détailler la brûlure. La peau était rouge et des petites cloques se formaient déjà, mais sa peau n'était pas blanche, c'était superficiel et cela le rassura. Il la fixa dans les yeux, calme et pesant tout ses mots, les prononçant doucement pour qu'elle comprenne.

- Elsa, tu t'es brûlée au deuxième degré, sans que ce ne soit grave. Il faut que tu passe ta main sous l'eau tiède le temps que j'aille chercher la trousse de secours. Est-ce que tu m'as compris ?

Elsa hocha la tête et Jack l'aida à se relever. La jeune femme sanglottait, mais semblait se retenir, elle tenait à nouveau sa main contre elle. Le garçon testa la température avant de lui laisser la place qu'il lui fallait pour passer sa main sous l'eau. Il l'entendit grimacer et serrer les dents, mais elle ne hurla pas et n'essaya pas de se retirer. Si ça avait été sa sœur, Jack savait que cette scène aurait été un vrai cirque, alors en comparaison, il trouva Elsa courageuse, mais chassa très vite cette idée de sa tête.

La blonde serrait les dents, mais la température lui fit du bien, sans évidemment la soulager complètement. Pour ne plus penser à la douleur, elle laissa ses idées s'envoler et celles-ci arrivèrent jusqu'à Anna. Elsa savait que dans cette situation, elle aurait paniquée, aurait essayé d'appeler les pompiers en se trompant de numéro pendant que sa grande sœur essayait de la rassurer. Elle se rendit compte que cela faisait du bien lorsque quelqu'un s'occupait de nous, même s'il s'agissait de l'indésirable Frost. Jack... Elle n'avait pas imaginé une seconde qu'il pouvait être ainsi ; elle secoua la tête, préférant finalement la douleur physique et ses pensées dérivant un peu trop à son goût.

Le dit colocataire se retrouva dans la salle de bain à fouiller dans tous les placards pour trouver la trousse de secours qu'il savait quelque part. Mais où ? Après un rapide coup d'œil derrière toutes les portes, Jack se pinça l'arrête du nez et tenta de se souvenir où ses mamans avaient bien pu mettre ces fichus médicaments ! Soudain, une ampoule s'alluma et il sortit pour monter à l'étage, dans l'autre salle de bain. Il la trouva comme le Graal, éclairée par une lumière surnaturelle qui venait de l'extérieur, tandis qu'à l'intérieur, il trouva tout ce qu'il lui fallait, aiguille, fil et sérum physiologique.

Il redescendit et trouva Elsa, non pas devant l'évier, mais devant le comptoir, assise en train d'essayer péniblement d'étaler de la confiture - elle n'avait plus qu'une main après tout. Elle semblait ne pas l'avoir remarqué, trop concentrée sur sa tache et si ça n'avait pas été de la nourriture Jack se serait amusé de ce manque d'attention ; toutefois, il s'agissait de son petit déjeuner.

- Woh woh woh ! Qu'est-ce que tu fais à manger mes crêpes ? S'enerva-t-il en s'approchant.

Elsa prise sur le fait, lâcha sa cuillère qui tomba mollement sur son petit déjeuner, mais refusa de céder les crêpes qu'elle avait cuisiné.

- Premièrement, j'ai le droit à un réconfort, je suis blessée, tenta-t-elle de lui rappeler en levant sa main. Deuxième, ce ne sont pas TES crêpes, mais les miennes, si tu en veux, je t'ai dis qu'il restait de la pâte. Troisièmement, eh bien... je ne vois pas pourquoi ce serait les tiennes !

Elsa assise sur le siège haut n'était pas plus grande que Jack debout et lorsque celui-ci s'approcha, elle réalisa qu'elle ne lui arrivait que au torse. Exagérément, elle le vit se pencher en avant en posant ses paumes sur ses genoux pour être à sa hauteur.

- Même si tu continue à le nier, on a fait un marché et je ne considère pas une pâte à crêpes liquide comme mon dû. Donc tu vas me laisser ce tas et si tu en veux, tu vas t'en refaire.

- Non.

Ce fut la seule réponse de la blonde lorsqu'elle releva le menton et alla pour croiser les bras, mais sa paume frotta contre un vêtement et Elsa serra les dents en grimaçant, le dos de sa main sur le comptoir pour éviter qu'elle ne frotte à nouveau. En silence, elle attendait que la douleur passe.

Jack leva les yeux au ciel, approcha une autre chaise, s'installa et tendit la main pour qu'Elsa lui donne la sienne.

- Bon aller, fais voir que je m'en occupe. À cause un regard méfiant, il ajouta : Tu veux que je fasse quoi, que je la mange et que je garde l'autre pour demain ?

Elsa ne pu retenir un tout petit rire qui s'échappa de ses lèvres, mais elle fit comme se de rien n'était, tourna la tête vers la fenêtre et donna sa paume ouverte à Jack. Il jura qu'il avait vu ses joues prendre des couleurs.

Appliqué et sans dire mot, Jack prépara correctement ce dont il avait besoin : difficilement, il passa le fil dans le chat de l'aiguille qu'il nettoya ensuite et attrapa délicatement la main d'Elsa qui la retira immédiatement en voyant ce qu'il avait dans la main.

- Qu'est-ce que tu vas faire avec ça ? L'attaqua-t-elle suspicieuse.

- Te faire de l'acupuncture. Tu veux bien me faire confiance pour ça ? C'est quelque chose que je sais faire, donc ferme les yeux et ne bouge pas.

Sans être totalement rassurée, Elsa hocha la tête, mais eut du mal à déglutir. Elle ferma les yeux et se concentra pour ne pas bouger, pour qu'il ne fasse pas une fausse manipulation sur sa main à cause d'elle. La blonde serra les dents lorsqu'elle sentit quelque chose tirer sa peau, mais à sa surprise, il n'y avait aucune douleur et elle rouvrit les yeux. L'aiguille était déjà sortie en traversant toute la cloque, seul le fil restait. Jack, toujours concentré, lui expliqua.

- c'est un peu comme les ampoules qu'on a aux pieds. Le fil permet d'absorber le liquide et la peau morte se recolle un peu en permettant une protection à la peau nouvelle. Maintenant, je vais désinfecter et quand ça ira mieux, on mettra un pansement gras dans la journée. Des questions ? Elsa dit non de la tête. Parfait ! Bon et bien.

- Euh... merci, dit-elle gênée. Plutôt que se battre pour les crêpes, peut être qu'on devrait les partager plutôt et comme ça, on peut garder le reste de la pâte pour demain ?

Elle ne savait pas vraiment quoi dire ; Jack l'avait réellement surprise. Il avait été délicat, précis et dans un sens prévenant, ce qui pour elle n'était pas une évidence dans les associations. Elle pouvait bien faire un effort tout de même, surtout qu'elle le lui avait bel et bien promis ce déjeuner.

- Cest gentil dis donc, mais non. Mon déjeuner, mes crêpes, mon assiette,  raisonna-t-il en attrapant le plat et en se décallant pour s'asseoir au salon.

Elsa eut seulement le temps d'attraper celle qu'elle avait commencé à préparer avant que son colocataire ne s'éloigne sans un regard. Déçue et légèrement en colère, elle tenta de souffler tout cela en un soupir et réalisa que de toute façon, tout cela lui avait coupé l'appétit, une seule crêpe lui suffirait. Ses yeux descendirent sur sa main brûlée, un nouveau soupir et elle roula avant d'avaler son petit déjeuner. Elle avait des devoirs à finir alors qu'elle n'avait pas envie de s'y mettre, et cela plomba plus encore sa journée.

- Bon tu viens ? Je vais pas t'attendre toute la journée !

Surprise, Elsa releva la tête en papillonnant des yeux pour trouver un Jack qui la regardait par dessus le canapé, impatient.

- J'a... j'arrive ? Tenta-t-elle sans savoir quoi dire avant de s'approcher.

Lorsqu'elle dépassa le meuble, elle trouva deux assiettes sur la table basse, même si celle de Jack en contenait bien plus. Elsa s'assit sans rien dire, ébahie ; Jack prit sa première crêpe sans un regard pour elle et regardait l'émission qui passait, sans vraiment la voir semblait-il. La blonde ne savait pas si c'était réel et sans le lâcher des yeux, prit avec toutes les précautions du monde sa première, la ramena à elle à la vitesse des paresseux de zootopie et finit par croquer dedans sans réaliser. Elsa avait toujours vécue avec la loi du plus fort et du plus malin, surtout avec la nourriture, cette... "gentillesse" ? La surprenait bien plus que tout le reste.

- Bon t'as finit de me fixer ? Tu m'énerve ! Gromela Jack avant d'enchaîner son petit déjeuner.

Elsa sourit silencieusement et mangea ses crêpes en regardant avec lui ce qui passait. Toutefois, ils étaient dimanche et 10h45 approchait, Elsa n'allait pas se laisser faire.

C'est ainsi que Jack et Elsa prirent leur premier petit déjeuner ensemble.

***

Ta-da !!!

Et voilà le chapitre de cette semaine ! (On me dit dans l'oreillette que j'ai 9h de retard ?) Pouah, n'importe quoi.

Comment allez vous ? Personnellement, j'ai été bien occupée et je suis bien fatiguée aussi. Surtout qu'on reprend bientôt les cours et je n'ai pas envie... enfin, pas le choix !

Ce chapitre vous a plu ? Moi j'aime toujours autant et j'espère que vous sentez que je m'amuse !

Seul les vrais savent ce qu'il y a le dimanche sur la une. Qui sont-ils parmi vous ? Je veux savoir ahah

Avec les cours qui reprennent, je ne sais pas si je pourrais continuer un chapitre par semaine, donc vous devriez bientôt avoir de mes nouvelles.

Prenez soin de vous, faites attention  à votre santé et à vos proches !

Ps : la semaine prochaine, on a un nouveau petit chien qui arrive à la maison ! Je vous mettrai peut être une photo ;p

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