Chapitre 4

Chapitre 4

Jack rentra dans le chalet pour lire ce qu'on lui adressait et laisser ses fans flatter son égo et complimenter son corps. Il allait se poser dans le canapé lorsqu'on lui rentra dedans ; il sentit son t-shirt devenir humide et entendit du verre se briser sur le sol. Avant de s'énerver, Jack se pinça l'arête du nez.

On continue...

***

- Je suis vraiment désolée ! s'excusa immédiatement Elsa en s'accroupissant pour ramasser les deux verres désormais brisés.

Pourquoi avait-il fallu que ça se passe comme ça alors qu'elle souhaitait arranger un peu les choses ? Après avoir rangé la vaisselle, la blonde avait réalisé que Jack et elle n'étaient pas obligés de bien s'entendre, il suffisait qu'ils cohabitent sans rendre ça trop pénible. Si elle faisait un effort dès le départ, ils n'auraient pas à réparer les pots cassés.

Pourtant, c'était deux verres qui venaient d'exploser en mille morceaux sur le sol, leur contenant renversé sur le parquet et un tapis, sans oublier le T-shirt de celui avec qui elle voulait se réconcilier. Réconciliation réussie...

- Je vais tout ramasser et on va oublier... continua-t-elle en s'insultant mentalement, les dents serrées.

Jack était surpris : il s'était attendu à une nouvelle guerre, mais certainement pas à des excuses. Il n'avait pas encore bougé et regarda l'étrangère encore une seconde avant de se baisser à son tour pour l'aider. Il ne l'avouerait pas, mais il n'avait pas fait attention lui non plus.

- T'inquiète, c'est pas grave, lui assura-t-il.

Pendant un instant, seul le bruit des éclats et de leur respiration résonna dans la pièce ; un silence gênant que Jack ne supportait pas. Il se sentit obligé de dire quelque chose, une mauvaise blague, une taquinerie, un poème, n'importe quoi.

- Y'avait combien de verre là-dedans ? rit-il, espérant détendre l'ambiance.

Elsa serra les dents, prenant assez mal ce qu'il venait de dire alors qu'il souhaitait seulement plaisanter. Jack releva les yeux et comprit qu'elle en répondrait rien ; rassemblant les plus gros morceaux dans sa main, il se redressa en l'informant qu'il allait chercher balais et serpillière pour tout nettoyer. Ce qu'elle était coincée !

Elsa se sentait nulle, vraiment nulle. Ce qu'il venait de se passer n'était pas grand-chose pourtant, mais tellement de choses en si peu de temps commençaient à faire beaucoup pour une petite personne. Les paroles de Jack ne l'aidait pas, au contraire ! Il semblait tout prendre à la légère et se fichait de ce que ressentait les autres. Sa culpabilité disparue derrière cette colère, et moins prudent, elle se coupa avec un bris de verre, sans gravité pour autant. Tiquant, elle monta à l'étage pour prendre le temps de se calmer et nettoyer sa petite plaie.

Lorsque Jack revint, Elsa n'était plus là. Quel culot elle avait, le laisser tout nettoyer alors que c'était aussi sa faute ! Il serra les dents et se mit à ramasser les petits tas de verre et les jeter dans le sac poubelle qu'il avait ramené. Prudent, il finit rapidement, mais le jus était collant et très répandu sur le sol. Dégoûté par la substance mélange aux restes de déchets de la fête, il fit le choix de laisser Elsa nettoyer pour ne pas le faire lui-même. Elle lui devait bien ça non ?

Résolu, il se laissa tomber sur le canapé pendant qu'Elsa cherchait en hauteur des pansements dans les armoires sans rien trouver. Elle soupira et se rendit compte que sa plaie ne saignait de toute façon plus, mais la menace d'une infection avec ce qu'elle allait nettoyer ne la tentait guère. La blonde trouva à défaut un coton et un bout de scotch qu'elle colla maladroitement sur le bout de son doigt. Ce serait suffisant pour rendre le sol propre.

Lorsqu'elle redescendit, elle trouva le sol spongieux laissé à l'abandon et un Jack affalé sur le canapé à rire comme un imbécile. Décidé à ravaler sa fierté pour être tranquille ce soir, Elsa attrapa la serpillière et nettoya ce quel pouvait, mais l'eau devient très vite noire de crasse.

- Il faudra nettoyer tout le sol de cette maison un jour, remarqua Elsa plus pour elle-même que pour Jack.

- C'est cool de te proposer, j'ai la flemme moi ! l'informa-t-il, mi-reconnaissant, mi-je-m'en-foutiste.

La blonde serra les dents lorsqu'elle entendit cette phrase et essora d'un coup sec le tissue qu'elle avait entre les mains. Avait-elle bien entendu ? Elle allait déjà faire ses devoirs, il était hors de question qu'elle se transforme en agent de surface.

- Je n'ai jamais dit que je le ferai seule, s'approcha-t-elle, menaçante sans être remarquée.

- T'es pote avec une Cendrillon ? Cool pour toi... commenta le jeune homme en scrollant Instagram.

- Si tu as décidé de changer de nom... Elsa le fouetta avec la serpillière sale, tachant les vêtements et la peau de Jack. Sinon, je ne connais pas de Cendrillon. Tu auras intérêt à m'aider, parce qu'il est hors de question que cette maison reste dans cet état !

- Putain t'es sérieuse ! Tu sais à quel point c'est dégueulasse, combien il y a de bactérie là-dedans ? et tu m'en as fait bouffer en plus ! Si j'ai plus le droit de te virer de chez moi, je vais t'enfermer dans la cave !

Jack s'était redressé, de toute sa hauteur face à Elsa, mais la trace noir dégoulinante de sa joue et ses vêtements à moitié trempé contrastait trop pour que la blonde le prenne vraiment pour une menace, en apparence.

- J'aimerai bien t'y voir ! Je te rappelle qu'il n'y a plus de porte en état, alors abandonne tout de suite. J'ai accepté de faire tes devoirs, mais je ne ferais ni ta bouffe ni ton ménage, c'est clair ?

- C'est moi qui décide tu es chez moi, lui rappela Jack.

Mais Elsa n'en démordait pas, regard foudroyant le sien, elle serra un peu plus la serpillère avant de le frapper une nouvelle fois avec et avant qu'il n'ait le temps de réagir, elle se remit à éponger le sol. Il se leva et s'approcha d'elle, l'eau de la serpillière gouttant sur le sol depuis ses vêtements.

- Sérieusement, tu es en train de tâcher le sol. Qui peut bien avoir l'idée de se balader comme ça ? T'as été élevé dans une porcherie ou quoi ?

Elsa fut surprise de n'avoir aucune réponse, mais garda les yeux fixés sur ce qu'elle faisait, nettoyer le jus d'orange.

- En partie... chuchota Jack avant de tourner les talons et d'aller s'enfermer dans sa chambre.

Elsa papillonna des yeux, surprise par ce chuchotis, mais passa l'éponge dessus comme elle fit glisser la serpillière sur le sol. Elle avait presque fini et ça la rassurait. Toutefois, alors qu'elle se penchait pour aller tout au bout de la flaque, elle ressentie le picotement d'une écharde encore plantée dans sa peau. Il semblait qu'elle n'avait pas encore tout enlevé et il valait mieux qu'elle se dépêche pour que ça ne s'enfonce pas plus dans sa chaire. S'occupant de ranger tout ce qu'il restait, Elsa monta à l'étage, dans la salle de bain en face de sa chambre pour finir de se soigner.

Jack avait claqué la porte de la salle de bain du rez-de-chaussée et s'y était accoudé, sa paume sur son visage au niveau des yeux pour essayer d'assombrir les mauvais souvenirs qui refluait à la surface de son esprit. Pourquoi ce qu'elle venait de lui dire l'impactait-il autant ? alors que ce n'était qu'une phrase lancée comme un... comme un... il ne trouvait pas de comparaison, car c'était seulement banal. Avec son portable, il mit de la musique pour ne plus rien entendre d'autre que les notes qui vibraient dans son corps et sa tête, mais son humeur ne s'améliorait pas. Sous la douche, l'eau coulait sur sa peau, tentant de tout évacuer, mais rien n'y faisait. Les gouttes presque glacées ne lui faisaient pas penser à autre chose que le passé et il se dit qu'il ne lui restait certainement que l'alcool ; il y avait trop d'image qu'il voulait oublier. Mine de rien, l'après-midi passa vite et le soleil commença à se cacher lorsque Jack ressortit. Il trouva Elsa assise sur le canapé, devant un ordinateur sur lequel elle tapait sans avoir besoin de regarder les touches. Il fit l'aller-retour dans la cuisine avec deux bières et s'assit à côté de la blonde. Écouteurs dans les oreilles, elle n'avait pas remarqué le jeune homme jusqu'à ce qu'il soit au fonds du canapé.

Il la vit retirer ses écouteurs et tourner la tête vers lui sans un mot, croiser son regard et attendre qu'il dise quelque chose, mais plutôt que de prononcer quoi que ce soit, il lui tendit la deuxième bière.

- Même les intellos doivent savoir boire un peu non ?

Elsa haussa les épaules, posa son ordinateur sur la table basse et prit la bouteille avec un merci avant de la porter à ses lèvres. Elle en avait bien besoin. Les bulles éclatèrent dans sa bouche, elle fut surprise par la qualité de la boisson et lut l'étiquette avant que ses yeux ne s'écarquillent.

- Ils font quoi tes parents pour que tu puisses boire ça tranquille ?

- L'une de mes mères est médecin et l'autre est doctoresse, mais je crois que celles-là c'étaient des cadeaux, j'suis pas sûre.

Impressionnée, Elsa se promit de la savourer en la reposant sur la table, puis elle se mit à jouer avec ses cheveux, sans savoir comment s'excuser pour ce qu'elle avait dit plutôt. Elle se sentait coupable, sans avoir eu l'impression que c'était méchant. Après une inspiration, Elsa se tourna vers Jack qui faisait tourner doucement le liquide qui restait dans le fonds de la bouteille. L'ambiance entre eux était sans animosité, ils s'étaient calmés, mais aucun ne parlait.

- Tu veux bien m'excuser pour tout à l'heure ? brisa la voix d'Elsa. Ça à l'aire de t'avoir blessé mais ce n'est pas la but.

- T'inquiète, c'était un truc con en plus alors oublie.

- Ok.

C'était terminée, leur conversation et cette première journée. Chacun d'eux espérait que les autres jours seraient plus calmes entre eux, même si Elsa savait parfaitement qu'elle serait trop occupée puis fatiguée par ses cours pour s'occuper de Jack. Celui-ci alluma la télévision dont le bruit emplissait la maison, mais la blonde était trop perdue dans ses pensées pour y faire attention. Assise à côté de Jack, silencieusement, elle appréciait le silence trop peu connu chez elle, Anna le détestant, elle parlait en permanence.

- Je me demande comment va Anna... se demanda-t-elle à voix basse sans attendre de réponse particulière.

Sa sœur... c'était un peu à cause d'elle qu'Elsa se retrouvait ici, mais elle avait réussi à le mettre de côté jusqu'à maintenant. Anna l'avait oubliée... sa propre sœur, sa moitié, celle pour qui elle avait fait tellement de choix difficiles, comment avait-elle pu la laisser en arrière ? Passerait-elle désormais toujours derrière le garçon qui lui plaisait quitte à être oubliée ? Elle avait été trop de fois abandonnée pour ne pas voir la situation qui allait arriver ; cette peur qui l'obsédait depuis toujours ressurgie comme un barrage qui cède et elle se mit à pleurer. Elsa essaya de se contrôler pour arrêter, mais en réalisant qu'elle n'y arrivait pas, elle se leva pour rejoindre une salle de bain, des toilettes ou même la chambre d'ami, n'importe quoi plutôt que pleurer devant un inconnu et de lui montrer une faiblesse aussi forte que celle-ci.

Jack entendit un reniflement, mais décida de ne pas s'en préoccuper tout de suite ; la saison amenait les rhumes après tout. Lorsqu'il se rendit compte que ça ne s'arrêtait pas et qu'Elsa se leva pour s'éloigner, il se mit à hésiter ; il ne la connaissait pas, pourquoi la consolerait-il ? Son corps réagit pour lui, il lui attrapa le bras et croisa son regard rougit par les larmes.

Elsa essaya de se dégager, mais Jack la retint et sentit du relief sous ses doigts, une ligne, une plaie, une coupure. Une mauvaise curiosité ou de l'inquiétude, il ne sut le dire, l'obligea à la tirer sur ses genoux, où elle finit assise et maintenue contre son grès. Non inquiété par cette position, la jeune fille essayait de respirer et de s'écarter de lui. C'était tout ce qu'elle avait en tête, s'éloigner. Elsa se débâtie comme elle pu et réussi à atterrir sur le tapis, devant le canapé, sans sentir ni la poigne ni les mains de Jack, mais elle ne parvenait pas à retrouver sa respiration. Recroquevillée sur elle-même, ses larmes continuant de glisser sur ses joues, Elsa réalisait à peine qu'elle était en pleine crise de panique.

Jack n'avait pu la retenir plus longtemps, mais s'agenouilla à côté d'elle sans savoir quoi faire. Lorsqu'elle posa son front sur le sol, il se posa derrière elle et l'obligea à se redresse en l'attrapant sous les bras pour la colle à son torse. Les yeux fermées, Elsa ne bougeait pas, mais respirait mal. De vieux souvenir ressurgir dans l'esprit du jeune homme qui se mit à parler plus doucement, mais assez fort pour couvrir les bruits de la télé. S'il avait eu une main de libre, il l'aurait coupée.

- Elsa, écoute-moi. Concentre-toi sur ma voix, sur rien d'autre.

A travers son cœur qui s'emballait, ses halètements pour retrouver son souffle et ses pleurs, Elsa parvint tout de même à distinguer la voix de Jack, tout près de son oreille.

- Je suis là, je ne te laisse pas, alors écoute moi. Fais un signe pour me dire que tu m'entends Elsa... lorsqu'elle hocha imperceptiblement la tête, il continua, rassuré. Concentre-toi sur ma voix et sur rien d'autre. J'ai une petite sœur qui s'appelle Félicie. Elle est brune et a les yeux bruns. Elle aime le chocolat et les raisins secs, c'est pour ça qu'elle aime bien la viennoiserie que lui crée personnellement le boulanger du village, un mélange de pépite de chocolat et de raison sec dans un gâteau en serpentin.

- Cette personne est horrible... réussit à articuler Elsa, assez calmée pour parler, mais dont les hoquets la menaçaient de repartir d'un instant à l'autre.

- Un peu de respect, c'est de ma sœur que tu parles, la taquina Jack. Mais soit, tu te sens mieux ? lui demanda-t-il en la lâchant.

Elsa hocha la tête, mais ne bougea pas en restant dos à lui. Voilà qu'elle s'était mise à pleurer devant lui et c'était même pire, une crise de panique bordel ! pourquoi réagissait-elle comme ça alors que ça ne lui était pas arrivé depuis deux ans ? Pourquoi avait-il fallu que ce soit à ce moment ? Après un soupir, elle se releva, essuya ses yeux et croisa les bras sur son ventre, épaule fermée et sur la défensive.

- On ne parle plus de ça, c'est clair ?

Froide, elle ne savait pas être autrement lorsqu'elle exposait ses faiblesses. De là où elle venait, il avait toujours fallu être fort, même si elle eut déjà reçu un peu d'aide, les faiblesses, c'étaient mourir. Toutefois, faire une crise devant des gens, c'était bien la première fois et elle ne savait plus vraiment comment réagir, mis à part se protéger dans une forteresse. Ses yeux rouges et brulant fixèrent Jack en mêlant supplication et fermeté.

- C'est hors de questions ! J'ai le droit de savoir peut-être non ? Tu te mets à chialer ; non pardon, c'est même une crise de panique et je dois faire comme si de rien était ?

- Exactement !

C'était la meilleure ! Jack n'était pas un psy et encore moins un saint, il voulait comprendre. Il n'était pas une peluche ou il ne savait quoi d'autre. Si la meuf avec qui il était tombée était assez instable mentalement pour chialer lorsqu'il allume une télé, il avait le droit de le savoir. Il attrapa une nouvelle fois son bras, sans sentir cette fois une quelconque cicatrice, pour l'empêcher d'aller s'enfermer dans une chambre et faire une connerie.

Elsa voulait se dégager, mais mettre toutes ses forces pour s'éloigner risquait encore une fois de mal finir et le regard que posait Jack sur elle, mi-scrutateur, mi-attentionné, ne l'aidait pas, au contraire. Le pire était qu'il ne disait rien, comme s'il attendait qu'elle parle. Gardant fermement la bouche close, Elsa attendait elle qu'il la lâche, mais cet espoir faiblissait aussi vite que les derniers rayons du soleil disparaissaient derrière les arbres.

Tout était silencieux dans la maison, les oiseaux au dehors semblaient s'être tu et les bruits de la télévision avoir disparu. Une tension régnait, mais ni l'un ni l'autre ne voulait lâcher ce qu'ils tenaient.

- J'ai connu une fille comme toi quand j'étais gosse. Elle ne voulait jamais baisser les murs qui la protégeait, mais tu sais quoi, j'étais le seul qu'elle laissait entrer dans sa forteresse.

- Qu'est-ce que ça a à voir avec moi ? lâcha Elsa méfiante.

- Elle a fini par le faire parce qu'elle n'a pas eut le choix. Je suis très patient, alors dis le moi maintenant pour qu'on ne perde pas de temps.

- Elle est bien bonne, c'est toi qui me fais perdre du temps ! retorqua Elsa.

Agacé, Jack l'attira à lui d'un coup sec avant de la faire tomber par terre en amortissant sa chute et en la bloquant au niveau de poignet, son genou appuyant sur ses jambes pour ne pas recevoir de mauvais coup. En position de force, il réussit enfin à la faire l'écouter.

- J'ai peut-être le droit de savoir si je suis confiné avec une fille déséquilibrée qui a l'habitude de sortir des caves avec une hache et qui a un caractère tellement incertain qu'elle se met à chialer lorsqu'on met en route une télé ! J'en ai rien à faire de toi et tes problèmes, Je veux savoir si c'est dangereux d'être avec toi !

- A ton avis ! cracha Elsa bloquée au sol alors qu'elle tentait de se débattre, en vain. Bordel lâche moi ! Mon seul problème c'est toi connard !

- Et pourtant, sauf erreur de ma part, ce n'est pas ma faute si tu chialais tout à l'heure ! répondit Jack dont le ton était monté.

- C'est parce que ma sœur m'a oubliée et que j'ai peur d'être seule que j'ai fait une crise de panique ! c'est bon t'es content, tu peux me lâcher maintenant ?

Elsa avait détourné les yeux pour ne pas le regarder, mais il ne voulait toujours pas la lâcher. De nouvelles larmes pour l'avoir dit, perlèrent, mais elle ne pouvait même pas les essuyer à cause con fini au-dessus d'elle. Il ne semblait pas prêt à la laisser partir et Elsa se demandait si ce n'était pas lui, à défaut d'elle, qui était dangereux.

***

Coucou tout le monde ! comment vous allez ?

courage, plus qu'une semaine de vacances pour les français, et je ne sais pas pour les autres.

Alors, qu'est-ce que vous avez pensé de sa chapitre ? Le jus d'orange ? la crise de panique d'Elsa, Félicie qui aime le chocolat ET les raisons secs ? je veux tout savoir ahah

désolée pour le léger retard, mais ce n'est que de deux heures et pas de deux mois comme d'habitude, on peu me féliciter peut être ? mdr.

Pour les nouvelles : Conte de Noël devrait se finir cette année ! YOUPI ! il ne reste plus que 5 chapitre et l'épilogue. A vrai dire, j'aimerai vous les publier du 20 au 25, en tant que cadeau de noël, mais je ne sais pas si je vais réussir. On croise les doigts !

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prenez soin de vous et à la semaine prochaine !

PS : j'ai trop aimé cette parodie, vous en avez plein d'autres faites par cette personne et celle de Ariel, la petite sirène, est vraiment sympa aussi !

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