Untitled part

- Et je suis dans cette merde depuis bientôt deux ans, à me dire de laisser faire le temps,  persuadé que seule luis pourra me servir de pansement(...)Puisque l'amour d'autrui ne suffit plus(...) A calmé le brouha qui c'est installer dans ma tête(...)peut à peu je m'auto détruit, faut trouvé des calment assez fort, assez fort pour arrêter ça,  mes peur et mes colères me bouffe de l'intérieur, venez les gars ont fait une trêve ?!! Toi, toi qu'on sert à toute les sauces, dépression ? A quand l'heure de la récréation ? Tu m'a pris des amis, tu m'a pris des ennemis, mais moi tu m'aura pas ! Ah, déni(...) Dans mon cœur savant mélange entre positivité toxique, et découragement... Noa répondras pas à l'appelle, momentanément absent, alias pour un bon bout de temps(...) Disparaître, que tu me regarde partir fenêtre, puis revenir comme un "fantôme su passé", m'excuser, puis replonger(...)La secte des "damné", me convient parfaitement(...) Même si je pense faire un overdose(...) Et puis merde, vas pour la dose de trop, je veux encore de ce sentiment , de ce flash, de cette douleur qui ce garde...Qui j'imagine me fait plus de bien que de mal. Comme Nicholson avec sa hache(...)j'enfonce des porte ouvert(...) Ouai, mais avec la hargne ! Le bonheur et un costume trop grand, le malheur aussi, trouvé moi un sentiment à ma taille(...) C'était censé durer pas longtemps, quelqu'un aurait l'amabilité de m'expliquer le plan ?! Trafic, piégé dans un putain de trafic, de mauvaise nouvelle, et d'objet coupants(...)génération dramatisante ? Nan, juste un appels sous les feux des projecteur, viens tu verras comment on se complet et qu'on se sent bien dans la noirceur(...)

Vie Méchante (méchante vie) Si c'était juste ça serait, je vais tomber, faudrait me relever(...)Se sera difficile, en gros se sera pas facile(...) Je laisse défiler les heure, plus envies de faire d'effort, chus remplis de toc, je me sen à mon aise que quand la musique et trop forte(...)Souvent seule avec mes acouphène, je me sen vide, je me nourrit d'un flot de parole, débit(...)Chuis constamment sur une autres planète, une autre stratosphère, enfermer dans ma tête(...)                    Laisser moi m'effondrer à en briser le carrelage, bout de verre éparpiller, ramené moi carglace

Chien de berger à besoin d'une épaule sur qui se fier, sur qui se poser, à besoin d'une tête sur son épaule, de quelqu'un de solide. Lance une appelle d'offre. 


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