L'écrivaine , l'écrit vains :
Des pensée étroite envahisse mon esprit, comme une nuée d'insecte elle fait bourdonnée, vrillée mon cerveaux jusqu'à saturation. Comme si je me retrouver plongée dans un film en noir et blanc, pas de concentration permise. Comment dire non, je me sens trop petite pour tant de pensée seconde, prend moi dans tes bras, serre moi fort et ne me lâche pas. Trop sensible, chacun de tes geste m'agresse me blesse. Comment de poser mon problème quand tu te tue à résoudre le tien ? Ecouter les autres mais ne jamais s'écouter soi, j'aimerais tellement être la personne préféré de quelqu'un mais qui pourrait me préféré aux belle et aux savantes ? Comme un bateaux sans port d'attache, voilas comment je me sens . Seule au millieu de la foule.La vérité c'est que je suis une fille de classe sociale moyenne , terriblement moyenne comme sa classe. Un peu grosse ,un peu blanche, je suis pas en phase avec ma personne, chuis une enfant nulle. Personne pour écouter ma colère, celle des autres, celle de moi même, je veux tout casser, tout. J'me déteste, comment faire confiance aux autres quand ta pas confiance en soi ? Fragile, voilas comment je me sens. Soutien à tous ceux qui rêve de s'enfuir. Je meure d'ennuie, de morosité, envie de rien faire juste d'être oublié (mais en même temps besoin d'exister). Je ne répond jamais, ne bouge même plus, je reste assis et je rêve de dormir Je suis mauvaise je le sait, méchante, ne me regarde plus, vous êtes tous tellement meilleur que moi. Vous avez une vie, je n'en est pas, ma vie c'est les autres mais les autres ne sont plus là, je les ais fait fuir. Je suis la figurante de tant de vie, la mienne y compris. Le soir, je pense à cette fille qui pense trop à moi, je luis fait du mal, elle finiras par me quitté. Elle est si jolie, si gentille, que me faut t'il de plus ? Ses potes ont raison, je n'ai rien affaire avec elle. C'est ma "copine", cette idée me plait bien ? Mais je finirais par tous gâcher, mes réflexion à mourir ne doive pas parvenir à l'oreille d'une t'elle vivante. Ont ne fait pas partit d'un même monde c'est bien ça le malaise, je suis fantôme. Je laisse la vie défilé, j'attend lendemain meilleur, toujours en attente. Je pense au gens que j'ai perdue et je les comprend, je suis seule, je l'ai voulue. Vouloir sauver les gens que j'aime , alors que je refuse de remonter la pente, je suis hypocrite. On se sent bien dans la noirceur, et parfois aussi j'aimerais mettre un terme à mon histoire. Pourquoi pensée au future, si je projette même pas la semaine d'aprés, le temps est un concept abstrait. Ce perdre dans des bonheur futiles, rentrer dans le rang. S'oublier sous des pseudonyme masculin, parce que je ne leur arriverais pas à la cheville. Au marché de la bonne meuf je reste sur l'étalage. Se perdre dans l'histoire de quelqu'un d'autre pour ne pas affronter la sienne. La pendule ne donne plus l'heure, l'écrivaine en moi se demande pourquoi ? -"C'est moi qui tiens le stylos !" cri t'elle "C'est moi qui écrit l'histoire !" Oui mais se n'est pas toi qui la vend, qui la présente, cache moi, personne ne semble me connaitre. Je suis à découvert. Moyenne, bizarre, grosse, abrutie, feignasse, méchante, naif et un peut gouine. Je refuse de l'être, d'être moi en quelle que sorte. Je voudrait être une belle personne. Je ne suis pas devenus la "mademoiselle" que je souhaiter, je suis pas à l'aise avec mon concept. Au final tous ça sonne faux. Tous ça ne veut rien dire mais je l'écris quand même. Je suis l'écrivaine, juste moi et ça suffit pas. Je referme toute les porte, parfois seule devant le miroir j'y pense, coulé une tête dans le port. Je vous aime, mais comment aimer quelqu'un quand ont ne s'aime pas soit ? Tout se mélange. Perdue entre celle que je voudrait être et celle que je suis. Ecrivaine, écrit vain.
Appelé moi Nathanael, Marley, tous ce que vous voulez. Faite moi m'oublier.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top