J'ai 15 ans :
Durée du morceaux : 4/5 minutes
Intro : Tu sais que je vais avoir 15 ans ? 15 ans c'est un âge déstabilisant, p'tain, 15 ans c'est passer si vite. Et plus j'avance plus ça vas vite. Je souviens de l'époque ou j'avais les cheveux long, ou je joué au bille et apprenais a faire du vélo sur les pavés en béton. Qu'avait je dans la tête ? Je l'ignore, ma vie c'étais dépasser sur les bords du dessin, la fin n'exister pas. Tout n'étais pas rose, mais je me questionner pas sur le fait d'être heureux. Le malheur et le bonheur n'étais pas un concepte en eux même. Avoir des problèmes, c'était pour les plus âgées, moi je vivais, point barre. Tout à bien changé mon vieux, mon bien heureux, faut que je t'expose l'évolution de ma mentalité. 1, 2, 3...
Premièrement , je me suis fait un percing, parce que j'ai 15 ans.
Refrain 1 : Venus au monde pour le voir se détériorer, venus pour fumer la vie combler les envie.J'ai une impression de vide. Pour catalyser puissance de la violence des sentiments, comme un besoin urgent s'enfuir. Des pulsions de survie, qui me dise de me barrer, pas de devenir un mouton, finir cinglés dans cette prison doré. Appuier sur les bouton d'une chemise col en v tout les matin, cravate, chaussure cirée, pain au lait. Travaillé pour une société, dont ont n'a pas eu les bonne règle du jeux , des patron gominés, bureaux lumineux pour cacher ciel pluvieux. Que des objectifs qui me donne une vague envie de sucide, comme une euthanasie. Vivre c'est souffrir, rester là c'est mourir. Aussi simple que ça. L'existence est une douleurs qui me fait sentir étrangement bien. Viens, me cris la marge. Je suis vivant, entier, envie de dévorer le dévorant. Rejeter les vie dominés, contrôler. éviter l'inévitable "rentrer dans les cases" Projet d'avenir, qui ressemble au bagne sociale, drames mondiales. Promesse cynique, une joie apocalyptique, mouvement épileptique, balance toi au rythme éffréner des battements mécanique M'ennivrer, faire la fête jusqu'a la fin du monde. Envie de faire comme eux, qu'a ma tête, la terre s'arrête. Autant danser au bord du néant, gouffre pas si dangereux. Pas envie d'être un heureux pantin, envie d'être en chute libre quitte à aggraver mon état , état des lieux, exauce mon veux, ne surtout pas mourir vieux.
Secondo, j'ai des veuch blanc, car ça fait 15 ans.
Refrain 2 : Marre de se faire marcher sur les pied, marre d'être un gentil garçon. Envie d'aimer, de s'éclater, de se fumer, de trébucher, d'exploser, envie d'arrêter respirer. Des envies meutrières, tout un tas de vengances à accomplir, allonger sur le parvis, je programme. A 1 gramme, un grand besoin de faire couler le sangs, surement le miens. Trop de truc à dire, à faire, envie de foncer dans le tas. Emmène tes affaire dans un grand sac, ont vas purger sur les routes, traîne tes tracas, finir sa vie en coup d'éclats ! Envie vivre à s'en mordre les sangs, trop longtemps resté dans l'obscurité, je me fait patient, mon heure viendra. T'en pis si la montre est déréglés, le temps s'ocuperas de mon cas même si j'y crois pas. Ma maladie me ronge, je m'allonge, fatigué, tellement je manque de m'oublier, je peut les sentires vibrés, mes pensées, chargés de sang , battant dans mes tempes, dans mes veine violacées . Le sol est confortable, laisser moi sur le macadam, j'essaye d'oublier l'inconfort du confort moderne. Il tente d'éviter la révolution, en bloquant nos yeux sur des écrans, il veulent tarir l'envie en voulant me faire scroller la vie, m'emmener vers le trop calme des abysse, m'éloigner des bruit des dalles de béton, des lésion sur ma peaux. Trop de chose à envisager pour dormir, trop de mots à recracher pour me nourrir, trop d'ennuie pour pas m'envoler. Frotte la roulette du briquet, la flamme est la, mais j'en fait pas le bonne usage. Au lieux d'allumer des cigarette, me consumer lentement, je devrais faire mes bagage et trouver le moyens de mettre le feux, de le faire briller, vérité, j'ai peur de l'incontrolable.
Troisièment , j'ai des palpitation, normal j'ai 15 ans.
Refrain 3 : Vive la vie, vive la fin, je compte bien avancer mais...Trop de trucs a pensées, ma tête compréssé. Plus envie de jouer, envie de tous voir s'arrêter , a défaut de tous voir commencer. Je sais que mes textes ne raconte rien, car j'ai rien à raconter. Mode de vie binaire, infidèle avec mes airs lunaires. Je trompe la réalité, qui pourrait tous aussi bien s'effacer. Cette époque à vivre et un calvaire, abbatre mes points de repères, Je hère.J'en est marre, ça me lasse, j'ai mal. C'est pas une raison, mais je supporte plus la pression atmosphèrique. Laisser moi montés, comprendre enfin ce qu'est une vus panoramique. J'ai comme envie faire le vide, me retirer le tabourer, m'immergé , m'entaillés les veine du coude au poignet, j'comprend enfin les raison qui pousse à se mettre un balle dans crâne , mais bon pourquoi je posséderais un flingue, j'crois que comme pour tous le reste resterais qu'une baltringue.
Conclusion : (J'ai 15 ans , je suis pas sur de pouvoir me construire, alors je prend le pas, je me détruit. J'ai peur, objet maudit l'horloge qui même casser donneras l'heure. Je voudrait qu'on vienne me chercher, retourner en arrière, redevenir gamin perchés. Retourné à l'époque ou les journées étais des années, ou y avait que mon microcosme qui à mes yeux exister. Ou ont parlés la même langue, ou ont pouvait s'entendre, y avait pas grand chose à comprendre. Ou l'extinction des feux apportés peut, le génie pouvais exaucer tout nos voeux, on avait toute la vie, ont avait envie. Quand m'importais peut les pages perdues, le livre avais tellement de feuilles blanches ! Avant je pouvais écrire dans la marge, mon visages étais étanche. Mes chagrins futiles, inutiles a la continuité, rien ne pouvaient et ne devaient jamais s'arrêter. Devenir grand c'est plus marrant).
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top