" C'est celle que j'attendais, je savait pas j'attendais. J'croyais pas en l'amour avant de le voir en vrais. L'univers à changé elle est dans chaque pensées, le coeur bat trop fort, la terre commence à trembler. Deux verre dans les mains, une pour moi, une pour mon destin. J'l'invite à danser, comme si je savais faire. Elle prend ma main elle prend ma vie entière."

Orelsan- la lumière

Je sais que je radote mais, tu sais que je suis pas le meilleurs, car chuis menteur, beaux parleur, jamais à l'heure, rêveur,  escros , gringos, parfois méchant, agaçant, piquant, naif au tendances évasife, et malgrés mes n'esbrouffe, égoiste. Parfois il est vrais j'omet certain détail, tu fait une fixette et moi parfois ça me sors de la tête, c'est vrais que tu m'aime, contre ma mauvaise fois je mène bataille. Trop  pudique et pas assez pour te dire les mots essentiel, au jours le jours et pas sur la continuité, j'ai le même effet qu'un miroir brisé, j'coupe.  Toi tu sais pourquoi tu m'aime ? Je pense pas, perso, mégalo, je cherche toujours, pourquoi je t'aime ? Bah, t'es gentille, comme moi naive  ? Mais que est le plus naive des deux ? Qui se laisseras avoir par l'égaux, qui savouras mal heureux avec l'autre ? Je sais pas, j'ai toujours étais obséder par la fin, la faim dévorant d'amour, de mal amour, enfoiré peut se foiré. Attiré par la noirceur, je m'efforce de te parler avec le coeur, mais rattraper par mes erreur de gaffeur, je veut pas te faire mal, mais je te fait du mal. Un coeur déjas si fragile, corridé, acide corrosif sur relation foiré,  à sens unique. J'ai un démon sur mon épaule, message reste sans appel, décroche jamais tu reste seule à l'appareille, pourquoi c'est pas idem, c'est pas idem car tu sais que je t'aime ? Excuse imprenable, je te retourne la tête en moins d'une seconde, la vérité ? Parole imbuvable, sur parole imbuvable égale indigestion. Ta tellement confiance, à mon égard par pitié est un peut plus de méfiance, première amour gorgée d'insouciance, on a donc tant de connivence ? En moi j'ai pas fois, que se soit dans l'amour, que dans la vie. On passe de l'amour à la guerre. Tu fais tout pour éviter les éclats de voix, moi inconsciemment  je fais tous pour te mettre hors de toi. Oui, je t'aime pour ton calme en apparence inébranlable, la question devant se poser, ta pas parfois envie d'exploser ton câble ? Dans ma course de demie fond, dans mon errance, j'oublie que tu est là. Que t'est ma lumière dans l'obscurité, enfin que t'es sensé; faudrait que je tâche de m'en rappeler . Tes dehors, dans le froid, entouré d'une bande rat que t'appelle copain de copain, banlieusard, beaux papa. Gant boxe, je te dit qu'il t'arriveras rien tant que je serais là, mais la vérité ? Koshenya, je vais me faire casser la gueule tellement fois, mma ou pas. Je sais que tu te sen seule, que je devais pouvoir y remédier, mes la vérité même si je me prend pour Harry Potter, chuis pas un sorcier, pour tant j'en rêverais. J'aimerais pouvoir remplacer tes médocs, contredire les prescription du doc, dans la dépression j'aimerais être ta récréation, dans les prescriptions être tes pilules du bonheur, dans les chambre blanche ou  les heures défile à l'envers, tes couleurs. A l'envers du décors, te prendre par la hanche, te montrer les étoiles, en étant persuadé que t'es mon monde, photographier tes focettes,  graver ton sourire sur la toile....De tes conneries obliger je me porte garrant, laisse moi poser le garrot, pas sur que ce seras  marrant tous jours, mes on essayeras d'aller jusqu'au bout ? De recoller si il le faut les morcaux, on c'est dit pour toujours mais le défaitiste mais fait dire pour bientot. Tu me dit que t'es bourré, j'arrive pas à savoir s'y tu t'es amusé ou t'a juste désespérée, mais de toute façon tu le sait, je préfère en rigoler. Je t'aime pour ton 2 et 3 degrés, pour tes blagues pas toujours assumer, pour ta perversité. On se prend par la main à la manière de bras de fer, dans le ciel éclairer par l'incendie, marchant sur les infini route dans toute l'infinité du monde mal fait, ont se tient la main pour briser nos propre barrière même si je sais qu'a seulement quelque kilométre il neigeras en enfer. Je t'aime pour ta touchante sensibilité , ce truc dans ton regard que j'imagine le fait luire dans l'obscurité , qui me fait dire que ta compris, que tu sais, que tu compatis, qu'on est compatible, apathiquement explosif. Je t'aime pour ta timidité, pour l'amour que tous les jours tu m'apporte , même si  c'est clair on seras pas toujours d'accord, je t'aime car t'aime ton frére, tu l'aime comme un pére et une mère, je t'aime pour ta fidélité, celle que j'aimerais à jamais nous voire porté, je t'aime pour ta bienveillance, pour ta cruelle confiance...Mon amis a l'affinité infinis. Sous le ciel pluvieux de Normandie , te prendre dans mes bras, te récité des poèmes avec mon accent bas normand, arriver devant toi les bras ballant, mes les yeux de bohème, je t'aime tellement.

J'aimerais que tu m'ouvre les yeux, que l'amour c'est mieux à deux. Une nuit à te griffoner des textes , d'humeur à écrire des jolie lettres. Amours t'elle des bouffé de fumé, égale rime fumé à fumé à nous aimer.