je veux effleurer ton corps, lécher tes seins vastes, qui même s'ils tombent, forment la plus belle des cascades,

que l'union de nos noms, soient gémis de nos lèvres, que nos caresses mutuelles, se mouvent en bohème...

je veux t'embrasser encore un soir, avant que ce ne soit trop tard et que le crépuscule noir ne laisse place au feu rougeâtre.

je veux dormir à tes côtés, lové sur ton organe moteur, après tous les plaisirs offerts à nos clitoris jouisseurs.

allons au mont imvus,
manger l'appétit ardu,
de nos âmes instables,
par des désirs insatiables.

mouvons nous dans l'herbe parfumée,
d'une colline élevée,
sur son apogée mouillé,
par,
nos baisers...