Chapitre 40.

Hermione hurla, "Fred! Noooooon!" Elle commença à se démener pour bouger les morceaux de mur qui étaient tombés sur son copain. À ses côtés Ron et Percy faisaient de même. Ils déterrèrent finalement son corps brisé. Elle tomba à genoux aux côtés de corps sans vie de Fred, le souffle complètement coupé. Elle leva une main tremblante vers le visage de son amour ; il souriait encore pendant que ses yeux sans vie fixaient le plafond. "Oh Fred." Elle n'arrivait pas à s'arrêter de pleurer. Elle était vaguement consciente que ses frères étaient cramponnés à lui et essayait de le réveiller.

"Hermione," l'appela Harry. Elle continua de pleurer et brossa les cheveux de Fred qui lui tombait sur le front. "Hermione." Maintenant Harry la secouait doucement par les épaules. "Hermione, réveilles-toi."

Elle ouvrit les yeux et le cauchemar disparut. "Fred?"

"Il dort encore." Répondit George, la voix rauque, de l'autre côté du lit d'hôpital de Fred.

Hermione leva la tête et regarda autour de la pièce. Harry était debout derrière elle, les mains encore sur ses épaules pendant que George était relativement dans la même position qu'elle. Il fixait la main de Fred sans vraiment la voir ; aucun des jumeaux n'avait beaucoup bougé depuis les derniers jours. Fred s'était réveillé plusieurs fois du sommeil magique dans lequel les docteurs l'avait plongé. Il était conscient pendant quelques minutes à chaque fois avant de succomber au charme de nouveau.

La plupart de ses blessures avaient guéries relativement facilement avec les bonnes potions. Le problème était la quantité énorme de potions dont ils avaient eut besoin pour soigner tous les élèves blessés, les familles et les membres de l'Ordre, et les elfes ; il n'y en avait tout simplement pas assez pour tout le monde. Plusieurs des patients plus sérieusement blessés étaient gardés endormis grâce à des sorts pendant que le personnel de Sainte-Mangouste travaillait jour et nuit pour faire assez de potion pour tous les patients.

"Qu'elle heure est-ce qu'il est?" demanda-elle, passant une main dans son visage.

"Presque minuit," lui répondit Harry en lui serrant l'épaule. Elle était tombée endormie presque deux heures auparavant. "Où est Verity?"

"Elle a due retourner chez elle," marmonna George, jetant un coup d'œil au visage de son frère et, voyant aucuns changements, recommença à fixer sa main.

"Mme. Weasley?"

"M. Weasley l'a forcée à retourner à la maison. Il l'a convaincue que Ginny et Ron allaient mourir de faim sans elle." Harry essaya de blaguer, malheureusement personnes ne rit. "Mme. Pomfresh est venu le visiter il y a une heure. Elle a dit que les potions devraient être prêtes demain. Ensuite ils vont essayer de le réveiller."

Hermione prit une grande inspiration et tourna un regard plein d'espoir vers son meilleur ami. Il lui sourit et hocha la tête. Quelques larmes coulèrent de ses yeux et elle serra la main d'Harry qui était encore sur son épaule.

"Tu devrais essayer de dormir un peu plus, Hermione." George tourna un regard triste vers elle. "S'ils le réveille demain et que tu as encore l'aire d'une morte-vivante, c'est moi qu'il va blâmer." Le coin de sa bouche s'étira juste un petit peu.

Elle essaya de lui sourire en retour, ce qui ne fut pas un grand succès. "Eh bien, je ne voudrais pas que ça en vienne à ça. Je sais à quel point tu détestes avoir des problèmes." Les narines de George vibrèrent avec une inspiration soudaine d'air mais ce fut la seule réaction qu'elle eut. Elle étira le bras et déposa sa main sur la joue de son copain et soupira. Tenant sa main amorphe dans la sienne elle emmena ses jointures à ses lèvres avant de poser sa tête près du torse de Fred pour essayer d'attraper quelques heures de sommeil.

"Tu devrais essayer de dormir aussi, George," la voix d'Harry était douce.

"Incapable de dormir," il murmura en retour.

Elle entendit le soupir d'Harry avant de replonger dans ses rêves troublés.

Quand Hermione se réveilla, la pièce était plus que pleine. M. et Mme. Weasley étaient près de la tête de leur fils et étaient accompagnés par trois guérisseurs ; ils parlaient calmement entre eux. Ginny était assise aux côtés de George ; elle se cramponnait à sa manche. Ron et Percy étaient plus près de la porte avec Bill et Charlie. Harry était endormi dans une chaise à côté d'elle, la tête vers l'arrière et la bouche ouverte. Elle leva son regard vers le visage de son amour ; il était encore endormi. Effrayée d'être la personne à briser le silence relatif, elle essaya de réveiller doucement Harry ; il se réveilla subitement et tombant pratiquement en bas de sa chaise.

La tension qui régnait dans la pièce monta tandis que tous les yeux se tournaient vers Harry qui offrit un sourire coupable à son audience. Ron renifla bruyamment, ce qui fit ricaner doucement Hermione, rapidement le reste de la famille laissa échapper ses propres rires nerveux, tous sauf George. Il était assis, silencieux et immobile, le regard fixé sur son jumeau.

"Très bien, nous sommes prêts à commencer," annonça le premier soigneur, se rapprochant de Fred. "Si tous les gens qui ne sont pas de la famille immédiate pouvaient bien sortir..." elle regarda en direction d'Harry et Hermione.

"Oh," murmura Hermione avec une petite voix déçue. Elle se leva lentement, Harry à ses côtés, mais George les arrêtas.

"Elle est sa fiancée." Déclara George en faisant un geste en direction d'Hermione, lui lançant un regard qui voulait clairement dire de ne pas essayer de le contredire.

"Est-ce que c'est vrai mademoiselle?" demanda le deuxième soigneur en mettant une main sur son bras.

Hermione passa sa langue sur ses lèvres sèches, elle n'aimait pas mentir mais elle voulait vraiment rester. "Oui."

"Vous pouvez rester alors, mais vous allée devoir vous déplacer là-bas." Numéro deux lui indiqua le côté où se tenaient George et Ginny.

"Merci." Elle bougea silencieusement. Tous les regards étaient maintenant fixes sur Harry.

Ron alla le rejoindre et passa un bras autour de ses épaules. "C'est mon frère," il répondit simplement. Au lieu d'attendre une réponse, les deux garçons reculèrent vers la porte pour ne pas déranger.

Le premier soigneur ouvrit la bouche pour protester. Mais Numéro trois lui envoya un regard qui la fit taire instantanément. "Très bien, vous allez tous devoir rester où vous êtes, même s'il vous demande."

Un "oui madame" se fit entendre dans toute la pièce.

oOoOo

Hermione hurla, "Fred! Noooooon!" Elle commença à se démener pour bouger les morceaux de mur qui étaient tombés sur son copain. À ses côtés Ron et Percy faisaient de même. Ils déterrèrent finalement son corps brisé. Elle tomba à genoux aux côtés de corps sans vie de Fred, le souffle complètement coupé. Elle leva une main tremblante vers le visage de son amour ; il souriait encore pendant que ses yeux sans vie fixaient le plafond. "Oh Fred." Elle n'arrivait pas à s'arrêter de pleurer. Elle était vaguement consciente que ses frères étaient cramponnés à lui et essayait de le réveiller.

"Hermione," l'appela Harry. Elle continua de pleurer et brossa les cheveux de Fred qui lui tombait sur le front. "Hermione." Maintenant Harry la secouait doucement par les épaules. "Hermione, réveilles-toi."

Elle ouvrit les yeux et le cauchemar disparut. "Fred?"

"Il dort encore." Répondit George, la voix rauque, de l'autre côté du lit d'hôpital de Fred.

Hermione leva la tête et regarda autour de la pièce. Harry était debout derrière elle, les mains encore sur ses épaules pendant que George était relativement dans la même position qu'elle. Il fixait la main de Fred sans vraiment la voir ; aucun des jumeaux n'avait beaucoup bougé depuis les derniers jours. Fred s'était réveillé plusieurs fois du sommeil magique dans lequel les docteurs l'avait plongé. Il était conscient pendant quelques minutes à chaque fois avant de succomber au charme de nouveau.

La plupart de ses blessures avaient guéries relativement facilement avec les bonnes potions. Le problème était la quantité énorme de potions dont ils avaient eut besoin pour soigner tous les élèves blessés, les familles et les membres de l'Ordre, et les elfes ; il n'y en avait tout simplement pas assez pour tout le monde. Plusieurs des patients plus sérieusement blessés étaient gardés endormis grâce à des sorts pendant que le personnel de Sainte-Mangouste travaillait jour et nuit pour faire assez de potion pour tous les patients.

"Qu'elle heure est-ce qu'il est?" demanda-elle, passant une main dans son visage.

"Presque minuit," lui répondit Harry en lui serrant l'épaule. Elle était tombée endormie presque deux heures auparavant. "Où est Verity?"

"Elle a due retourner chez elle," marmonna George, jetant un coup d'œil au visage de son frère et, voyant aucuns changements, recommença à fixer sa main.

"Mme. Weasley?"

"M. Weasley l'a forcée à retourner à la maison. Il l'a convaincue que Ginny et Ron allaient mourir de faim sans elle." Harry essaya de blaguer, malheureusement personnes ne rit. "Mme. Pomfresh est venu le visiter il y a une heure. Elle a dit que les potions devraient être prêtes demain. Ensuite ils vont essayer de le réveiller."

Hermione prit une grande inspiration et tourna un regard plein d'espoir vers son meilleur ami. Il lui sourit et hocha la tête. Quelques larmes coulèrent de ses yeux et elle serra la main d'Harry qui était encore sur son épaule.

"Tu devrais essayer de dormir un peu plus, Hermione." George tourna un regard triste vers elle. "S'ils le réveille demain et que tu as encore l'aire d'une morte-vivante, c'est moi qu'il va blâmer." Le coin de sa bouche s'étira juste un petit peu.

Elle essaya de lui sourire en retour, ce qui ne fut pas un grand succès. "Eh bien, je ne voudrais pas que ça en vienne à ça. Je sais à quel point tu détestes avoir des problèmes." Les narines de George vibrèrent avec une inspiration soudaine d'air mais ce fut la seule réaction qu'elle eut. Elle étira le bras et déposa sa main sur la joue de son copain et soupira. Tenant sa main amorphe dans la sienne elle emmena ses jointures à ses lèvres avant de poser sa tête près du torse de Fred pour essayer d'attraper quelques heures de sommeil.

"Tu devrais essayer de dormir aussi, George," la voix d'Harry était douce.

"Incapable de dormir," il murmura en retour.

Elle entendit le soupir d'Harry avant de replonger dans ses rêves troublés.

Quand Hermione se réveilla, la pièce était plus que pleine. M. et Mme. Weasley étaient près de la tête de leur fils et étaient accompagnés par trois guérisseurs ; ils parlaient calmement entre eux. Ginny était assise aux côtés de George ; elle se cramponnait à sa manche. Ron et Percy étaient plus près de la porte avec Bill et Charlie. Harry était endormi dans une chaise à côté d'elle, la tête vers l'arrière et la bouche ouverte. Elle leva son regard vers le visage de son amour ; il était encore endormi. Effrayée d'être la personne à briser le silence relatif, elle essaya de réveiller doucement Harry ; il se réveilla subitement et tombant pratiquement en bas de sa chaise.

La tension qui régnait dans la pièce monta tandis que tous les yeux se tournaient vers Harry qui offrit un sourire coupable à son audience. Ron renifla bruyamment, ce qui fit ricaner doucement Hermione, rapidement le reste de la famille laissa échapper ses propres rires nerveux, tous sauf George. Il était assis, silencieux et immobile, le regard fixé sur son jumeau.

"Très bien, nous sommes prêts à commencer," annonça le premier soigneur, se rapprochant de Fred. "Si tous les gens qui ne sont pas de la famille immédiate pouvaient bien sortir..." elle regarda en direction d'Harry et Hermione.

"Oh," murmura Hermione avec une petite voix déçue. Elle se leva lentement, Harry à ses côtés, mais George les arrêtas.

"Elle est sa fiancée." Déclara George en faisant un geste en direction d'Hermione, lui lançant un regard qui voulait clairement dire de ne pas essayer de le contredire.

"Est-ce que c'est vrai mademoiselle?" demanda le deuxième soigneur en mettant une main sur son bras.

Hermione passa sa langue sur ses lèvres sèches, elle n'aimait pas mentir mais elle voulait vraiment rester. "Oui."

"Vous pouvez rester alors, mais vous allée devoir vous déplacer là-bas." Numéro deux lui indiqua le côté où se tenaient George et Ginny.

"Merci." Elle bougea silencieusement. Tous les regards étaient maintenant fixes sur Harry.

Ron alla le rejoindre et passa un bras autour de ses épaules. "C'est mon frère," il répondit simplement. Au lieu d'attendre une réponse, les deux garçons reculèrent vers la porte pour ne pas déranger.

Le premier soigneur ouvrit la bouche pour protester. Mais Numéro trois lui envoya un regard qui la fit taire instantanément. "Très bien, vous allez tous devoir rester où vous êtes, même s'il vous demande."

Un "oui madame" se fit entendre dans toute la pièce.

"M. Weasley, est-ce que vous pouvez m'entendre?" lui demanda une voix inconnues près de son oreille.

Il essaya de répondre mais sa gorge était si sèche que tout ce qu'il réussit à sortir fut un grognement.

"Bien, c'est bien," lui répondit la même voix. "Maintenant, je veux que vous essayiez d'ouvrir vos yeux. Est-ce que vous pouvez faire ça pour moi?"

Il se débattit pour lever ses paupières qui, soudainement, étaient aussi lourdes que si elles étaient retenues par des poids. Ça lui prit plusieurs minutes mais il finit par les ouvrir un peu. Une vive lumière blanche l'aveugla, lui donnant le goût de fermer les yeux de nouveau, mais la voix était de retour.

"Très bien M. Weasley. Est-ce que vous pouvez me voir?"

Il tourna ses yeux douloureux vers une jolie jeune femme qui lui souriait. Il ne voyait personne d'autre et cette femme ne lui était pas familière. Il cligna lentement des yeux, confus.

"M. Weasley, vous êtes à Sainte-Mangouste. Vous avez été blessé durant la bataille à Poudlard. Est-ce que vous vous rappelé de ça?" Elle lui souriait avec encouragement.

Il ferma les yeux tandis que les souvenirs de cette soirée lui revenaient. Il se rappelait s'être battu aux côtés de Percy et ensuite Hermione était là avec Ron et Harry. Et ensuite le mur avait commencé à tomber. Il avait poussé sa copine le plus fort possible pour l'éloigner des roches qui tombaient. "Mi-one," murmura-il.

"Est-ce que vous avez mal?" Ses yeux devinrent inquiets et elle enleva la couverture pour pouvoir l'inspecter. Il essaya de clarifier ce qu'il voulait dire, de lui faire comprendre qu'il voulait savoir comment allait Hermione, mais sa voix refusait de coopérer.

"Jurge." Sa bouche était pâteuse, il avait besoin de boire quelque chose.

Elle se retourna vers lui. "Tous a l'air de bien aller. Qu'est-ce que vous venez de dire?"

"Jurge." Il fut prit d'une quinte de toux qui l'étouffa presque.

"Buvez," elle l'aida à relever sa tête et à boire un peu d'eau. Il but jusqu'à ce que le verre soit vide. "C'est quoi Jurge?"

"George," son jumeau apparut rapidement à ses côtés, "c'est moi."

"Mi-one?"

"Elle va bien. Elle est juste ici." George étira son bras et attira la jeune femme en larme par la main. Fred fronça les sourcils en regardant sa copine qui souriait à travers ses larmes. "Maman et papa sont là aussi. On est tous là."

La gorge de Fred fonctionnait un peu mieux et il sentait son cerveau se réveiller. "Arrivé?"

"On a gagnés." George souriait, "Le garçon génial a détruit le vieux sorcier fou."

"George? Je crois qu'il y a un problème avec mes yeux." La voix de Fred était encore rauque.

"Quoi? Qu'est-ce qu'il y a?" Les yeux de George s'agrandirent et il se pencha pour mieux observer son frère.

"Je vois pas droit, George. Ta tête... elle est tordue." Fred sourit à son frère.

"Idiot." George lui retourna tout de même son sourire.

"Eh bien, c'est juste- ce n'est pas drôle jeune homme," le réprimanda un soigneur plus âgé.

"Bien sûr que ce n'est pas drôle," sa mère pleurait avec un sourire sur les lèvres, "mais ça veut dire qu'il va bien aller." Elle s'avança et l'embrassa sur le front. "Oh, mon petit Freddie." Elle pleura sur lui pendant un moment avant que M. Weasley ne la prenne dans ses bras.

Le soigneur visiblement irrité s'éclaircit la gorge et annonça à tout le monde, "Il va bien aller. Mais nous devons quand même le garder pour observation pendant encore deux jours." Il envoya un regard sévère à Fred avant de quitter la pièce, son équipe à ses trousses.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top