La peur au ventre

      
     Après réflexion nous avons décidé de suivre ses instructions enfin ils ont décidé parceque pour ma part je ne veux pas y aller.

      J'ai trop peur de lui. Aller savoir pourquoi. J'ai des bons souvenirs de lui mais également des mauvais.

         Il a indiqué le lieu où se trouve Mme pouf et sans l'once d'une hésitation nous sommes partis à son secours.
    Après qu'Hitona ai fait une reconnaissance aérienne nous avons pénétrer dans l'enceinte de l'établissement.

     Qu'est ce que je fais ici ? J'aurais dû fuir ailleurs de ça je suis avec eux.

     J'ai soudain entendu sa voix via les hauts parleurs.

     - le dieu de la mort : ah vous voilà. Prenez garde à la fermeture des portes.

      La porte c'est soudain fermé.

    - karma : il a installé des caméras pour surveiller le moindre de nos mouvements il a un petit côté voyeur.

      Petit tu te trompes il aime tout contrôler.

     - Meg : on est venu comme tu nous l'a demander maintenant rempli ta part du marché et libére madame pouf.

    La pièce c'est mise à descendre tel un ascenseur. J'aurais dû me douté que sa ne sera pas si facile.
    J'ai pas pu résister à l'envie de sauver Mme pouf et surtout d'aider mes amis ; j'aurais aimé fuir, être à mille lieux d'ici.

      On a arrêté de descendre. On était désormais enfermé et il était là devant nous avec un visage serein.

    - le dieu de la mort : je préférais vous capturé tous ensemble sa me fait gagner du temps.

     D'où on était on pouvait apercevoir une Mme pouf attaché.

     - tout le monde sauf moi : madame pouf !!
    - le dieu de la mort :  tout ira bien si le poulpe viens sagement   je ne tuerait personne.
    - okajima : et si jamais on résiste tu ne va pas t'énerver et tous nous tuer un par un.
     - le dieu de la mort : non détend toi je tué très rarement les enfants.
    - Okajima : je ne suis pas très rassurée.

    On faisait tous comme on tapait désespérément les murs alors qu'en fait on cherchait un moyen de s'évader.

    - Nadia : kotara sa sonne creux ici.
  

      Takebayashi à placer une bombe et okuda à fait un écran de fumée.

    On a pu s'échapper.

      On s'est divisé en deux groupes. L'un qui doit aller sauver Mme pouf et l'autre qui doit essayer de trouver un moyen de sortir de la.
     J'étais dans le premier groupe ; celui qui est chargé du sauvetage.

    On a pu retrouver Mme pouf et on l'a détacher.

    - yada : elle respire encore.
    - Meg : terasaka porte là.
   - Terasaka : pourquoi je me tape toujours des corvées.

     Moi j'étais restée dans l'encadrement de la porte ; j'entendais Hinano parler de la faciliter de la mission.
    C'est trop facile. Je le  connais plutôt bien et je sais par conséquent qu'il y a un truc qui cloche.
   En entendant un bruit semblable à celui d'un corps qui rencontre le sol j'ai compris qu'on aurait dû se méfier. On c'est retourner et on a vu Terasaka à terre et Mme pouf debout.

    - Hinano : madame pouf !
   - Mme pouf : le dieu de la mort m'a réveillée d'un cauchemar de 6 mois c'est maintenant à vous d'être plongée dans un profond sommeil.
    - Yada : mais qu'est ce que vous raconter ?

     Elle est passé à l'ennemi.

   J'ai mis ma peur de côté pour rien. Si je me fait choper je vais haïr Mme pouf de toute mes forces.

    - Hinano : vous êtes dans son camp?

    C'est clair comme de l'eau de roche pourquoi vous lui poser cette question.

    - Mme pouf : je vais vous donner votre dernière leçon.

      En voulant avancer vers nous elle c'est apparemment cogné le pied sur un caillou.
     Je dit bien apparemment parceque pour ma part j'y crois pas.

    - Nadia : méfier vous.
   - Mme pouf : j'ai super mal.

     Il ne m'ont pas écouter et on avancé vers elle dans l'intention de l'aider.

     - Okajima : sa va aller venez...

    Avant qu'il ne puisse terminer sa phrase ils se retrouvèrent tous à terre.

    - Hinano : vous avez fait semblant d'avoir mal. Alors qu'on était inquiet pour vous.
    - Mme pouf : c'est le jeu mes petits enfants vous manquez gravement d'expérience. Vous ne savez pas faire la guerre tous les coups son permis. Nadia.

     Elle se retourna vers moi.

      - Mme pouf : tu es là seule qui n'est pas cru à mon jeu d'actrice je reconnais bien là une ancienne tueuse. Rend toi gentiment tu veux je ne voudrais pas te faire mal.
    - Nadia : désolée madame mais je ne compte pas me rendre.
    - Mme pouf : je vais devoir utiliser la manière forte.

      Elle s'élança vers moi , essayant de me toucher avec le pistolet qu'elle avait en main celui ci contenait du somnifère. Malheureusement pour elle j'esquivait tout ses coups. Pour la calmer je lui est donné un coup à la nuque. J'ai cru qu'elle allait s'évanouir mais j'ai juste réussi à la mettre à genoux.
    J'ai pas mis assez de force.

     - le dieu de la mort : je vois que tu as des difficultés Irina.

      Je me suis directement figé. Il était juste derrière Mme pouf et moi j'étais en face de celle ci.

     - le dieu de la mort : Nadia tu te permets de frappé t'es professeur ? C'est donc pour ça que tu es allé à l'école.
   - Nadia : tu...
    - le dieu de la mort : tu veux dire quelque chose ?

      J'arrive même pas à parler et en plus je tremble.
     Je ne sais par quel miracle j'ai trouvé la force pour me mettre à courir.
   Je dois fuir . Une petite voix me répètais  que sa ne sert à rien mais mon corps veux juste fuir.

    Après des minutes à courir je me suis arrêtée et je me suis adossé à un mur.

     Il faut que je trouve un moyen de sortir d'ici.

     Pour mes amis Mr koro viendra les sauver mais moi il faut que je fuis.

    J'entendis soudain des pas qui approchent. Je dois rêvé il n'a pas pu me rattraper en si peu de temps.

     - le dieu de la mort : je sais que tu es ici. N'oublie pas qu'il y'a des caméras partout.

    J'avais oublié. J'ai voulu me remettre à courir mais je suis tombé. Mes pieds refuse de suivre.

    Il était au dessus de moi me regardant avec son plus beau sourire.

    - le dieu de la mort : tu m'as manqué Nadia.

     Moi non. Tu ne m'as pas manquer.

   Comment un être qui vous inspire uniquement de la peur peut il vous manquer.

    - le dieu de la mort : je suis content de te retrouver.

     Il me donna un coup à la nuque et je me suis évanoui.

       La plus part d'entre nous avons un cauchemar , une terreur.
   Notre pire cauchemar. Et on se demande à chaque fois d'où viendra la force qui nous permettra de le surmonter.

   

     

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