«Personne n'as une vie parfaite tu sais...Chacun à ses problèmes...»

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PDV Hajime:

J'ai terminé de manger et de me changé... maintenant je dois travailler à cette supérette .... Je déteste ça... Mes client? Un gros pervers pédophilie qui me fait des avances, des racailles, des femmes peu aimable, des filles de joie (=Prostituée)etc... Comme si j'avais que ça à foutre. Quel fatigue ...Un soupire m'échappa

«Faites que le prochain client soi normal..»

La cloche sonna et je continuais de regarder mon portable tandis que la personne devait faire ses courses et une fois arrivé à la caisse je releva les yeux vers elle et la personne me regarda ...

-Hinata-kun...?!

-Komaeda...?!

Manquais plus que ça...

- sérieusement. Manquais plus que ça, Dit-il en soupirant.

- Je ne suis pas plus heureux que toi.

Je commençais à passé ses articles pour vite qu'il dégage une fois fait il paya et commença à partir mais ne pris pas la monnaie

-Komaeda la monnaie !!

- Garde la!

- TU TE FOUS DE MA GUEULE LA ?! T'ES SÉRIEUX ?! PARCE QUE T'ES RICHE?!

Il commençait déjà à m'énerver et en plus ça aller être l'heure de la fermeture..

- TA GUEULE MOI J'AI EU L'ARGENT EN PERDANT TOUT CE QUE TOI TU AS !!

Putain le con il me cherche avec son pauvre petit malheur à la con ?! Il sortit et commença à partir alors je retira ma veste, ferma bien vite le magasin, avant de courir pour le rattraper et le prendre par le col dans la rue désertique ou il était...Il me regarda agressivement.

- Quoi?...

- TU COMMENCES VRAIMENT À ME CASSER LES COUILLES À CROIRE QUE T'AS TOUT LE MALHEUR DU MONDE !!!

- C'EST PEUT ÊTRE PARCE QUE JE L'AI !!!

Ne pouvant plus me contrôler, je lui mis une droite. Il se mordit la lèvre dû au coup et baissa la tête, en essuyant le sang qui avait commencé à couler le long de sa joue. Il répliqua en me frappant de la même manière.

- HINATAAAAAAAAA

- KOMAEDAAAAAAA

On commença à se tabassé passant par les coups de poings, de genoux, de pieds. On saigné de toute part on avait des bleus mais on continuait, on se déchaînait. On se déchaînait contre notre vie et contre celle de l'autre qu'on enviée... On extériorisait ce qu'on ressentais, notre douleur, notre jalousie, notre désespoir, notre haine. Au final on s'écroula au sol laissant couler quelques larmes en silence. Pour une fois on se sentait bien... On était heureux. Soudainement Nagito rigola.

- arrête c'est flippant-ouch..

Ma lèvre me faisait mal, elle saignait.

- Je suis heureux bizarrement haha! Aïe !

- mh moi aussi... Argh..

On était vraiment à bout de force on ne pouvait même plus ce relevé et le dernier souvenir que j'ai avant de m'évanouir c'est d'entendre une voix lointaine appeler les ambulances...