Chapitre 2

Pov Kyojuro :

Je partis prendre le chemin de ma salle de classe. J'ai hâte de retrouver mes élèves.

Une fois arrivée, je tombai sur une scène, disons assez troublante, quand j'avais cette impression de bien connaître mes élèves.

Je n'imaginai pas tomber sur ce genre de scène honteuse. Le jeune Kamado bousculé en répétition entre trois élèves de sa classe.

- Oh ! Vous faites quoi, là?? Dis-je pour les interpellé.

Je m'approchais d'eux, ils se reculèrent du jeune Kamado. Je pris le brun par le bras afin de le mettre derrière moi, afin de le rassurer, lui montrer que je suis là pour le protéger.

Un cercle se formait autour de cette scène.

- Après le cours, à mon bureau. Vous aurez une punition et des heures de retenues. Puisque ça vous amuse de bousculer un élève entre vous. Dis-je sévèrement.

J'étais furieux, je sentais le jeune Kamado tremblant. Je suis quand même soulagé d'avoir vu cette scène, même si je préférerais qu'elle ne n'existe pas.

- Monsieur ! On rigolait rien de plus !! Cria la fille du trio.

- Ouais, Monsieur Rengoku, vous êtes nul ! On ne peut même pas rire. Souffla l'un des deux garçons de ce même trio.

- Les autres élèves ne sont pas à votre disposition et sont encore moins vos jouets. Je marque une pose tout en fronçant les sourcils.

- Je ne veux pas vous entendre dans les deux heures qui vont suivre ! C'est bien clair ? Demande ai-je tout en me baissant légèrement devant eux.

Ils acquiescent, étonnamment tous silencieux. Je fis rentrer ma classe de secondes dans ma salle de cours.

Nous n'allons pas rester devant pendant deux heures. Cela serait vraiment idiot.

Ils furent tous rentrés, ils discutaient encore beaucoup. Je fermai la porte derrière moi.

J'avançais silencieusement vers mon bureau et posa mon sac à côté. Une fois débarrassé du sac, je me plaçai devant le tableau, attendant le silence pour commencer.

Le silence fut vite arrivé.

- Bon. Sachez ce que vous faites, est vraiment honteux !

- Et je ne parle pas que de ces trois garnements. Dis-je énervé en les pointant du doigt.

- Ils ont, en effets, fait une grande partie, mais je suis tout autant déçu du reste de la classe. Je marque une pose, baissant le regard.

- Vous n'avez pas aider votre camarades en situation de harcèlement. Ce n'est pas les valeurs que je vous transmets, à chacun de mes cours.

Je baisse très légèrement la tête. Je soufflai un bon coup avant de dire :

- Je vais commencer mon cours. Le premier ou la première qui bavarde sera exclu de mon cours et ce sans aucun avertissement. Est-ce assez clair ?

Ils acquiescent tous, la tête basse. Ce genre de cours, où il n'y a que moi qui parle, ce n'est pas mon style et je n'aime pas.

Mais ils m'ont déçu.

Je commence à faire mon cours. La première heure passa lentement. Mais la sonnerie fut quand même vite arriver.

- Vous pouvez sortir pour votre intercourt. Je vous veux à l'heure dans ma salle. Dis-je pendant que la sonnerie continuait de retentir.

- Tanjiro, puis-je te parler pendant ce laps de temps? Lui demande ai-je me tournant vers lui.

- Oui, bien-sûr !

Il vient donc à mon bureau, tandis que la classe est devenu plutôt vide.

- Pourquoi vouliez-vous me voir, Monsieur Rengoku? Me demanda, le jeune Kamado, timidement et curieusement.

- J'aimerai que tu t'assois. Que tu me dises comment te sens-tu réellement dans cette classe? Es-tu blessé ? S'il-te-plaît... Demande ai-je à mon tour, inquiet.

Il s'assit, un court silence s'installe. Il est un peu hésitant.

- Excuse-moi, jeune Kamado. Je m'inquiète énormément à ton sujet, tu es un élève si adorable. Te savoir harcelé est une chose qui me déchire le cœur. Lui dis-je, essayant de le rassurer et de me rassurer.

Il fit un léger sourire réconfortant, je lui en fis un en retour.

- Monsieur Rengoku, j'aimerai que vous ne vous inquiétez pas pour moi, mais plus pour vous une rumeur court dans l'établissement à votre sujet. Dit-il en baissant légèrement la tête.

Mes yeux jaunes/rouges s'écarquillent aussitôt après avoir entendu ces paroles, qui me transpercent les tympans.

- Mais pour vous répondre à vos questions précédentes, je ne me sens pas réellement bien dans cette classe et non je ne suis pas blessé. Ne vous en faites pas ! Je vous remercie, Monsieur Rengoku. Il me fit de nouveau un sourire réconfortant.

- Voudrais-tu changer de classe, Tanjiro? Lui demande ai-je tout de même inquiet que cela recommence.

- Cela m'embête, je ne sais pas si Monsieur Shinazugawa sera d'accord avec cela.

- Je lui en parlerai. C'est ton professeur principal, Monsieur Shinazugawa? Lui demande ai-je pour être sûr.

Il aquiesce doucement. Je lui dis donc de ne pas s'inquiéter et que je ferai mon possible pour qu'il aille mieux et soit mieux dans une classe plus saine envers lui. (Nda : mal dis mais t'inquiète)

La sonnerie retentit, il retourne à sa place et les élèves reviennent s'asseyant à leurs places.

Une fois qu'ils sont tous assit, je décide de faire mon cours différemment, ça leurs plaira et j'en suis sûr.

J'allais commencer à parler, quand on toqua.

- Entrer.

Akaza rentra. Je fus étonné.

- Pourquoi es-tu là? Je ne crois pas t'avoir collé avec moi ces derniers jours. Lui dis-je ne comprenant pas pourquoi il est ici.

- On ne veut pas de moi en permanence, vous êtes un prof' cool je me disais que vous m'autoriseriez de rester dans votre salle au lieu de traîner dans les couloirs. Dit-il sans attendre une seule seconde.

Menteur. Tu es sencé être en cours d'Art plastique avec Uzui. Il t'a juste autorisé à sécher, le connaissant.

- C'est d'accord, tu as de quoi travailler ? Ai-je demandé, en espérant que oui pour pouvoir faire mon cours.

Il aquiesce.

- assieds-toi à mon bureau, s'il-te-plaît. Je ne veux pas t'entendre. Dis-je d'une voix neutre .

Il fit ce que je lui demande sans broncher.

- Cette heure-ci, je vous emmène en France, plus précisément dans les grande métropole, comme par exemple: Lille, Grenoble ou même la mégalopole qu'est Paris.

Je passe à travers les rangs et parle avec passion de mon cours, mes élèves posent les questions, je leurs répond.

Vient le moment où ils vont devoir copier le cours. Je suis devant mon bureau, je me pose un peu dessus, une idée me traverse l'esprit.

- Nous allons commencer à écrire tout ce que nous avons parler. Vous préférez une carte mentale ou un cours normal. Vote à main levée. Dis-je en les regardant tous

- Levée la main pour la carte mentale.

Sur 18 élèves présents, 12 ont Levé la main.

- Bien. Dis-je en souriant.

Dans des pas légers, je me déplace vers le tableau et commence à expliquer, donnant certaines définitions tous en écrivant ce que mes élèves disaient de corrects.

Ils participent plus quand c'est un cours où tout le monde intervient. Toutes mes classes me répètent que se sont les cours qu'ils préfèrent.

Une fois que je finis de faire la carte mentale au tableau, je les laisse finir de copier. Je me dirige vers mon bureau, pensant qu'Akaza a peut-être besoin d'aide.

Je courbe légèrement mon dos pour qu'on soit à environ à la même hauteur.

- Besoin d'aide ? Lui ai-je demandé, curieusement.

Il me répondu à voix basse :

- Ne vous en faite pas pour moi cher "Prof' ". Avant de continuer il regarda si quelqu'un était assez proche pour entendre.

Il reprit encore à voix basse :

- Uzui m'a juste donné ce que je devais normalement faire à cette heure-ci. Il a accepté avec joie de me laisser aller dans ton cours. Il souria, tout en finissant sa phrase .

- D'accord. Si tu as finis et tu n'as rien à faire, je te donnerai du travail. Lui dis-je neutre.

Je sais que le fait que je sois neutre avec lui, l'agace. Il l'a fait à la fin de son cours avec moi, à mon tour.

Je souris tout en pensant ceci.

Je regarde ma montre, il ne reste que 5 minutes de cours. Je me mis devant le tableau.

- Je ne vous laisse rien pour les vacances, profitez-en c'est le seul devoir que je demande. Rangez vos affaires. La sonnerie est dans 5 minutes. Dis-je avec un sourire.

Ils me crient tous un merci, et range leurs affaires. Je lâche un sourire adoucit. Malgré cela, je me reprends. Je demande les carnets des trois élèves et leurs mets une heure et un mot à chacun.

Je m'en veux, mais ils le méritent.

La sonnerie retentit, je rends les carnets que j'avais pris. Ils écrivent tous un petit mot sur mon tableau, pendant que je rangeais mes affaires puis ils me disent "aurevoir", je leurs dis en retour avec un sourire doux.

Nous étions plus que 3 dans la classe, Akaza, moi et Tanjiro.

- Qui a t-il, Tanjiro? Tu as besoin de me parler? Lui demande ai-je tout en essuyant le tableau .

Akaza lui mettait les chaises sur les tables.

- Je vous remercie infiniment, Monsieur Rengoku. Vous me soulagez d'une grosse charge mentale. Dit-il tout en parlant rapidement.

Je me tourne vers lui, ne comprenant pas ce qu'il voulait dire.

- Que veux-tu dire, jeune Kamado ? Dis-je en croisant les bras.

Timidement mais sûrement, il répondu :

- De ne peut-être plus les voir, donc ne plus leurs devoir de l'argent.

Je fus sous le choc, tout comme Akaza qui lâcha la chaise qu'il tenait. Tanjiro et moi sursautons au bruit de la chaise tout comme Akaza qui ne s'était rendu réellement compte.

Tanjiro fit une petite courbette avant de partie de ma salle en me souhaitant de bonnes vacances.

Akaza s'approcha de moi.

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Chapitre 2 finitttt !!! J'espère qu'il vous plaît sinon vous pouvez partir ailleurs. Mais derien aux heureux qui me le réclament depuis un moment

D'ici une prochaine des bisous 😗

Claquette 🫡.

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