Chapitre 20

Pdv Drago :

J'étais triste et en colère mais rien ne pouvait me faire changer d'avis... pour assurer la protection d' Hermione il fallait que je le fasse. Je l'aime de tout mon coeur et vivre sans elle était un vrai carnage dans ma poitrine...

Je marchai droit devant moi les mains dans les poches et je fixait le sol. Lorsque je tourna pour me rendre dans le bureau de McGonagall, je rentra dans Harry. Je le fixa un bon moment et, il ne devait pas être au courant de ce qu'il venait de se passer car...

- Salut Drago ! Ça fait longtemps comment vas-tu ??

- Je... tu... au revoir Harry...

Il me regarda comme si je venait d'embrasser Rogue et finalement il reprit son chemin en direction des dortoirs de préfets.
Une fois devant la porte de la directrice, je m'apprêtais à frapper mais la porte s'ouvrit toute seule. McGonagall était assise à son bureau, en train de lire un livre, et sans prendre la peine de me regarder elle me dit :

- Bonjour Mr Malefoy. Qu'est ce qui me vaut votre visite ?

- Et bien madame, je ne vais pas vous cachet qu'une dispute à éclatée entre miss Granger et moi même.  Je me demandais si...

- Il est hors de question que vous changiez de dortoir ! Mr Malefoy la tradition qui date de l'ouverture de l'école je vous le rappel, veut que les préfets en chef partagent le même dortoir. Donc je vous préviens, vous devriez vous réconcilier ou je vous retire le poste de préfet et vous renvoie de Poudlard c'est bien compris !?

Je n'avais jamais vu ma professeur de métamorphose s'énerver aussi fort. Je  fis oui de la tete et me redirigea vers mon dortoir. Hermione etait assise avec Harry devant le feu et ils s'enlacaient. Lorsqu'elle releva la tête je vis que ses  joues étaient creusées par les larmes et elle me lança un regard digne de celui que venait de me lancer McGonagall. Je traversa la pièce à grands pas et pénétra dans ma chambre. Je me positionna devant le mur déjà troué et recommença à frapper. Le trou mesurait déjà quelques centimètres et lorsque j'arrêta, mes poings étaient en sang. Je pris mon fidèle couteau suisse et...

Me mutiler n'était pas la solution... mais cela me permettait de me punir. Je me lançait tous les matins un sort de camouflage pour que personne ne s'en rende compte.
J'étais désormais seul, j'avais coupé les ponts avec tous mes amis et ma famille. Cela mimportait peu de mourir en une fraction de seconde. Au moins, je n'entrainerai personne dans ma chute.

Voili voilou....
Petit chapitre qui risque de vous faire pleurer. Dites moi ce que vous en pensez en com et à demain !!
Nina ❤

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