C'est l'histoire d'une assiette enrobée qui a volé un chocolat froid. Ça parait stupide et absurde comme idée, mais laissez moi vous expliquer l'histoire de Chocolat froid.

Je m'appelle Chocolat froid, en fait mon pseudonyme dans une application. J'ai une vie d'étudiante, de l'argent de mon gouvernement et du temps à perdre. J'aime beaucoup sortir dans les restaurant et essayer de faire de la cuisine. J'ai publié des essais de recettes et je les ai postées sur Facebook et Instagram. C'est là que j'ai reçu un message privé d'une fille qui m'a demandé: " si je voulais rejoindre un groupe d'article culinaire." J'ai accepté en me disant que ce serait amusant. C'est seulement une situation temporaire pour passer le temps.

Le groupe se nomme l'assiette enrobée, c'est un jeune groupe pour les jeunes qui commencent à cuisiner. Nous devons faire des critiques sur des recettes du net que nous faisons. J'aime le principe, je veux aider, mais tout n'est pas comme on prévoit, tout est seulement temporaire.

Poulet frit, la fille qui m'a contacté a été la chef des graphismes, ils ont eu besoin d'aide pour les graphismes. Il y a plusieurs départs, je ne sais pas pourquoi. La chef des assiettes, côte levé m'a demandé de l'aider. Nous avons dû faire des pubs pour l'ouverture du groupe. Je fais des études en graphisme, mais je déteste montrer mes dessins ou montages. J'ai fait un montage magnifique, ça a été la première fois que je suis fière de ce que j'ai fait. Ça devait juste être une pub, je me suis dit : "L'image va rester une journée". Je ne veux pas qu'elle soit mise comme photo de profil pour notre groupe privée. Notre chef m'a promis que c'est juste temporaire. J'ai voulu que ça reste juste temporaire.

J'ai vu des gens partir et d'autres arriver. Il y a toujours des pépins, je remplace souvent les gens et quand ma critique n'est pas au goût des gens en haut je sens les commentaires, les jugements, tout ce qu'on dit dans mon dos. Les mots, je les grave sur les murs. Je les grave pour les regarder dans les moments dur et me dire: " c'est ce que je mérite." Je ne suis pas capable de tout supporté. J'accumule à en craquer. Je ne veux pas les laisser seule. Je reste à dire c'est temporaire.

Plus je reste, moins j'aime. L'entrain et l'excitation du début est partie dans une souffrance de travaille continuelle. Je dois partir. Jamais un merci, jamais un s'il te plait, je ne suis qu'un outils. Je regarde mon image et je me dis que je dois continuer, je vois poulet frit et je ne me dis que je dois continuer, mais je n'ai plus envie. Mes critiques, mon travail, c'est rien. J'ai mal, je me fais mal pour un truc sur le net.Je dois partir, mais c'est juste temporaire, je reviendrais pour chercher mon image.

Ça fait quelques mois...

J'attends...

Ils me l'ont jamais rendu cette beauté...

Je suis seule...

Encore plus seule qu'avant...

J'ai fini l'école et je travaille...

Je n'aime pas travailler en équipe....

J'ai perdu mon image à jamais...

La première image que j'ai été fière...

j'ai perdu le sourire...

Je vais m'en dessiner un qui restera à jamais. Je prend ma plume à encre et je dessine sur mon visage laissant couler une encre rouge. La cicatrice sur ma peau est un sourire radieux qui se voit avec les gravures de ma chambre. J'ai tout perdu à attendre. Je me suis fait voler ma précieuse image, mais, au final, je ne me suis jamais battu.Le chocolat froid est rendu craqué de partout en regardant une assiette sans égratignure. Finalement, c'est le bonheur qui est temporaire.