Puis, le lendemain, ils revinrent. Pour me faucher et m'humilier en public.

Puis, le surlendemain, ils revinrent. Pour me prévenir « gentiment » qu'ils avaient fait courir une rumeur pas vraiment agréable sur moi.

Puis, le sur-surlendemain, ils revinrent. Pour me dérober mon sac de sport et toutes les affaires qu'il contenait.

Ah mais ! Oh, ça oui, ils proclamaient leur innocence partout, à chaque fois. Si bien qu'on finit par me croire parano.