Chapitre 16 | 2
"Sleepin' by your side like the old times,
But it's better for me
If I set you free to decide."
Justin Jesso – If You're Meant To Come Back. (En média).
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ATTENTION : La suite de cet avertissement peut contenir un élément de spoil, donc si vous n'avez pas besoin de trigger warning pour poursuivre votre lecture, ne lisez pas cette suite. Pour les autres, sachez que cette partie de chapitre contient une scène de violence physique. Faites bien attention à vous si c'est un sujet sensible pour vous.
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— Wayne...
Ma voix s'éteint. Son mutisme me fait l'effet qu'un coup-de-poing dans l'estomac. Dans le vague, il passe devant le bar puis monte les escaliers un à un avec des mouvements robotiques presque effrayants. Il est tellement livide que j'ai l'impression de le voir disparaître sous mon nez sans rien pouvoir faire pour le ramener. Je sais qu'il est en état de choc, mais le voir perdu dans ce brouillard si épais me donne envie de hurler ; je ne supporte pas de ne pas être en mesure de l'aider, d'être aussi impuissant face à sa détresse.
— Wayne, parle-moi...
Arrivé à l'étage, mon binôme tente de se rattraper à la barrière qui sépare la mezzanine du vide, mais il s'y prend trop tard. Il s'écroule sur la moquette rouge et mon cœur rate un battement. Une porte s'ouvre sur Olive, mais je passe devant elle sans vraiment la voir pour me précipiter vers Wayne comme si j'avais le pouvoir de le protéger du monde. Je crois que le timbre de sa petite amie retentit dans mon dos, mais je ne suis sûr de rien. Je suis trop focalisé sur le château de cartes qui est en train de s'effondrer devant moi pour prêter attention à quoi que ce soit d'autre.
— Hey... Regarde-moi, regarde-moi...
Concentré sur ses poings serrés contre le sol, Wayne ne bouge pas. Seul un sanglot le secoue mais c'est bien assez pour me lacérer la poitrine. De mon index, je pousse sur son menton pour l'obliger à relever la tête, et quand ses larmes dégoulinent sur ses joues, j'oublie tout. J'oublie qui je suis, j'oublie qui nous regarde, j'oublie que je ne suis plus autorisé à faire certaines choses, et j'attrape sa main pour la déposer sous mon tee-shirt. Cette fois, je ne veux pas qu'il sente mon cœur par-dessus des vêtements, je veux qu'il me sente moi tout entier. Qu'il se concentre sur ma peau, sur ma chaleur, sur la vie qui pulse contre sa paume.
— Il ne s'est rien passé. Je suis toujours là... Tout va bien... murmuré-je en caressant sa joue trempée. Tout va bien...
D'un seul coup, mon ancien amour se redresse. Son mouvement est tellement vif, tellement désespéré que je ne peux pas m'empêcher de me lever avec lui pour préserver le lien que j'ai créé entre nous. Il dégage sa main de mon torse, et au moment où je pense qu'il va me planter là pour retrouver celle qu'il aime, il se jette dans mes bras.
— J'ai cru que j'allais te tuer, sanglote-t-il dans mon cou.
Tout son corps se met à trembler contre le mien, son souffle se hache et il s'agrippe à mes épaules comme si je pouvais m'évaporer d'une seconde à l'autre. Comme s'il se retrouvait coincé dans le stand de tir et qu'il y avait encore un risque que je ne meurs devant ses yeux.
— J'ai cru que j'allais te tuer, répète-t-il en resserrant son étreinte autour de moi.
— Je sais, Wayne... je sais.
Mon chuchotement est à peine perceptible, pourtant j'ai la sensation qu'il m'arrache les tripes. Sa panique est si puissante que je pourrais presque croire qu'elle s'infiltre dans mes veines pour tout ravager sur son passage. Le plus rassurant possible, je passe mes doigts dans son dos dans une caresse douce et force mes émotions à redescendre d'un cran pour pouvoir retrouver ma voix.
— Mais il ne s'est rien passé. L'arme n'était pas chargée. Ça va, je vais bien, je suis là.
— Je pourrai pas supporter de te voir mourir, je pourrai pas...
Ses spasmes s'intensifient, ses pleurs se font plus bruyants, et je ne tiens plus. Je m'écarte de lui, attrape solidement sa nuque à deux mains puis plante mes prunelles sincères dans les siennes.
— Ça n'arrivera pas, Wayne. Je ne t'abandonnerai pas, je ne t'abandonnerai plus. Plus jamais. Je ne referai pas cette erreur. Je t'en fais la promesse, ici et maintenant. Je reste avec toi.
Mon binôme se calme un peu et, sans que je ne m'y attende, ses lèvres se déposent sur les miennes avec la délicatesse d'une plume. Mon cœur explose dans ma cage-thoracique, des dizaines de papillons se déploient dans mon estomac, le temps se met en pause. Sa langue effleure la mienne, un lourd frisson me parcourt l'échine. Lorsque notre baiser prend fin, j'ai la sensation de flotter, de retrouver l'oxygène que j'avais moi-même gardé à distance, et la seule chose que j'ai envie de faire, c'est recommencer. Lui rendre ce qu'il vient de m'offrir. Pourtant je n'en fais rien, je me contente de l'accompagner jusqu'à son lit pour qu'il s'allonge un peu. Je l'embrasse sur le front, lui assure que je ne m'en vais pas, que je serai juste à côté s'il a besoin de moi, puis me dirige vers ma chambre sans un regard pour Olive. Tout ce que j'aurais voulu, là, tout de suite, c'était de me mettre sur la couette avec lui et de me perdre dans une nouvelle étreinte, mais je ne peux pas faire ça. Je refuse de profiter de sa vulnérabilité pour obtenir quoi que ce soit de lui. Si notre relation doit s'améliorer, je veux qu'il le choisisse sans être influencé par la situation. Je veux qu'il ait le temps d'y penser, d'y réfléchir.
Déboussolé, je m'adosse contre la porte que je ferme à peine, lève le nez vers le plafond et inspire un grand coup pour éviter de laisser mes sentiments éclater. Mais qu'est-ce qui vient de nous arriver ? Comment est-ce que ça a pu se produire ? J'étais censé le tenir éloigné de moi, putain. Qu'est-ce que j'ai foutu ? Pourquoi est-ce que je suis incapable de me contrôler dès il s'agit de lui et de ses yeux verts ? Se rapprocher de lui, c'est le faire entrer dans la ligne de mire de Lola encore plus qu'il ne l'est déjà. C'est l'envoyer au front alors que les balles ennemies pleuvent de tous les côtés. Je ne peux pas permettre une chose pareille.
— Eh, frérot, qu'est-ce qui se passe ?
Surpris, je jette un coup d'œil méfiant au fond de la pièce mais me détends sur-le-champ quand je tombe nez à nez avec la sollicitude de Gale. Ce dernier fait un pas dans ma direction et, ni une ni deux, je fonce sur lui pour me réfugier dans ses bras qui se referment immédiatement autour de moi. Enfin à l'abri, j'abandonne mon masque de mec inébranlable, je laisse toute la pression retomber, je lâche prise. Une boule brûlante se forme dans ma gorge, tout mon corps tressaute, pourtant je me sens mieux. Je sais qu'avec lui je ne crains rien.
— Aujourd'hui, j'ai cru que j'allais mourir... soufflé-je alors que tout mon stress s'éclate sur mes joues.
***
Plus j'entends Blondie donner des ordres à Wayne, plus je boue. Je déteste voir Wayne lui obéir au doigt et à l'œil, je déteste voir Wayne manipuler de la drogue, je déteste l'idée même qu'il soit là et qu'il la vende avec moi. Intransigeant, mon ancien amour parle aux camés avec un professionnalisme que je n'ai vu chez lui que le jour où il a négocié avec Gordon, l'un des plus gros clients de la branche new-yorkaise d'Eleven Stars. Le pire, c'est qu'il se débrouille bien ; si quelqu'un pleurniche ou refuse de payer, il ne cède pas, il ne fournit rien. Fier comme un coq, Blondie me lance des regards en coin que je perçois comme des provocations, mais je prends sur moi pour ne pas y réagir. Si je lui mets mon poing dans la figure maintenant, c'est Lola qui va se charger de la discipline et je ne peux pas risquer que Wayne paye à ma place.
— T'es pas si bête que ça, pour un petit nouveau, ricane Blondie après le départ du dernier toxico.
Mon sang ne fait qu'un tour pourtant je m'accroche au regard baissé de Wayne pour garder le contrôle. Pour ne surtout pas exploser sur l'autre enfoiré qui se croit au-dessus de tout.
— On va pouvoir se séparer.
Je fronce les sourcils.
— Hors de question que je le laisse ici tout seul.
Blondie s'approche de moi avec son air de chien féroce ridicule et s'arrête à quelques centimètres de mon visage. Si tu crois que tu m'intimides parce que tu fais une tête de plus que moi, tu te fous le doigt dans l'œil, connard.
— Tu vas aller où je te dirai d'aller, me menace-t-il en collant son front contre le mien comme un demeuré.
— Sinon tu fais quoi, hein ? Tu chouines et t'appelles ta maman ?
Devant mon mépris indéniable, Blondie monte en pression et me pousse violemment avant de faire un pas dans ma direction pour pointer son index sur mon torse. La secousse résonne jusque dans mes côtes encore douloureuses, mais je ne laisse rien paraître. Je me contente de défier mon interlocuteur avec insolence.
— Qu'est-ce que tu crois que Lola va penser de ça, le Prodige ? Tu crois pas qu'elle te tient déjà assez par les couilles comme ça ?
Je m'apprête à rétorquer avec la même brutalité, quand la voix de mon binôme retentit à côté de nous.
— Laisse tomber, West. On peut se séparer, je vais m'en sortir.
Les dents serrées, je vire mon adversaire de mon chemin pour me planter face à Wayne.
— Mais de qu'est-ce que tu...
Des bruits de moteur, de portières qui claquent et de pas lourds me coupent dans mon élan tandis qu'une angoisse puissante s'empare de ma poitrine. À dix mètres de nous, trois molosses cagoulés nous prennent pour cible et arrivent à notre hauteur en à peine quelques enjambées. Ils empoignent Wayne par les cheveux, recouvre sa tête d'un sac et emprisonnent ses poignets avec du Chattertonne gris. Mon équipier pousse un cri de surprise, mais se calme immédiatement lorsque l'un des gorilles lui murmure un truc à l'oreille.
— Wayne !
Je m'élance vers lui, mais un avant-bras solide s'abat devant mes épaules pour me stopper.
— Pas toi, se contente de dire l'inconnu masqué.
Trop inquiet pour prendre la peine de rester sur mes gardes, je contourne la barrière humaine et tente de rattraper Wayne mais quelqu'un me plaque sans me ménager contre l'un des murs qui entourent la ruelle.
— On t'a dit non.
— Va te faire foutre, craché-je en me débattant pour me libérer. Il ira nulle part sans moi.
— West, fais pas le con ! lâche le mec à voix basse.
Il soulève sa cagoule puis la remet en place dans un mouvement furtif, et je reconnais Avon. Mais qu'est-ce qu'il fait là ? Depuis quand il s'occupe d'autres choses que des labos de came ? Est-ce qu'il était là pour les deux premiers tests aussi ?
— Je peux pas le laisser...
— Si tu résistes, Lola vous tuera tous les deux, me coupe Avon sur le même ton. Patiente le temps qu'il passe sa dernière épreuve, et si ton pote s'en sort bien tu le reverras demain.
Non... Non, non, non...
Si Lola lui fait affronter la résistance, je veux pouvoir être présent. Je veux pouvoir le soutenir, l'aider à se sortir de là vivant. Comment je pourrais rester ici sans rien faire quand je sais ce qu'il s'apprête à vivre ? C'est au-dessus de mes forces...
— Écoute, West, je sais que je t'en dois encore une ou deux, mais là, crois-moi, je vous sauve la vie.
Il m'en doit une... Une idée me traverse l'esprit, et je mise soudain tout dessus. Comme si c'était ma dernière chance de veiller sur Wayne, même de loin.
— Avon, murmuré-je, si jamais quelque chose foire, préviens-moi.
— S'il se rate et que tu t'en mêles, elle te tuera.
— Je sais, mais pour ce mec-là, je suis prêt à mourir, tu comprends, ça ? S'il te plaît...
— Okay, okay, je garde un œil sur lui, soupire-t-il.
Sans me laisser l'opportunité de le remercier, Avon s'éloigne, me tire par le tee-shirt et m'expulse de son chemin avec une animosité à laquelle tout le monde semble croire. Je me cramponne à une benne à ordure de justesse pour ne pas m'étaler sur le sol, et observe la voiture démarrer avec une envie furieuse de la suivre. Quand je parviens à détacher mon regard du trottoir maintenant vide, je remarque que Blondie est en train de se barrer.
— Tu fais quoi, là ? craché-je avec plus de férocité que prévu.
— On se sépare, je t'ai dit. Pourquoi, ton papa t'a abandonné quand t'étais petit et t'as besoin qu'on te tienne la main ?
Parle encore une seule fois de mon père, et je te jure que tu finis dans le mur.
Ce connard se marre et ma respiration devient pesante, bruyante, étouffée par une haine que j'ai de plus en plus de mal à contenir. Entre la colère bouillante qui enfle dans ma cage thoracique et le stress de savoir Wayne seul face au pire des trois tests de Lola, je suis au bord de l'explosion. Il ne suffit que d'un coup de vent pour que le premier domino s'écroule et emporte tous les autres avec lui.
Un type maigrichon se pointe devant nous, chancelant et un peu trop nerveux pour ne pas être en manque. Il me demande de l'héro en se frottant frénétiquement le front alors que je le scrute avec dégoût. Ma mère avait le même tic dégueulasse quand elle avait pas sa dose. À deux doigts de vomir sur les baskets du client, je lance un coup d'œil à Blondie pour qu'il le serve à ma place mais on dirait que cet enfoiré a décidé de s'amuser un peu. Il lève un sourcil, arbore un rictus sadique et fait un pas en arrière.
— Bah vas-y, le Prodige, papa te regarde.
Mon cœur bat trop fort, trop vite, je l'entends jusque dans mes tempes. Une chaleur insupportable s'empare mon corps, me poussant un peu plus au bord de ma limite. Tremblant de rage, je me focalise sur la veste de baseball rouge et jaune du camé que j'ai en face de moi puis lui énonce le prix d'une voix vide. Tout me semble lointain, atténué, comme si j'avais la tête sous l'eau. Je fonctionne en mode automatique alors que des flammes d'agressivité me consument de l'intérieur. Le drogué essaie de négocier, il n'a pas assez d'argent pour me payer. Les dents serrées à m'en faire mal, je secoue la tête pour lui indiquer que je ne fais pas dans le marchandage mais il insiste, il s'agite, il s'énerve. Ses grands gestes me font sortir de ma transe et son ton accusateur devient soudain très clair.
— Espèce de fils de pute !
— Je te déconseille de parler de ma mère, craché-je, plus mauvais que je ne l'ai jamais été.
— Moi, ta mère, je la baise, connard !
Cette fois c'en est trop. Mon cerveau décroche, il disjoncte et je me jette sur le toxico. Il ne me suffit que d'un uppercut dans le menton pour que le gringalet s'éclate sur le sol, mais ça ne me calme pas. Agenouillé au-dessus de ses hanches, je lui envoie coup sur coup. Je le démolis, et il ne se défend pas. Je ne sais pas s'il est trop sonné pour le faire ou s'il est déjà mort, mais je me venge sur lui. Je lui fais payer toute la merde que j'ai dans la tête. Je lui fais payer les provocations de Blondie, ma peur panique de perdre Wayne suite à ce foutu test d'admission, ma culpabilité d'avoir encore emporté les gens que j'aime dans le fond avec moi. Je crois même que je lui fais payer le reste. Cette photo de mes parents avec Gambino, tout ce que j'ai détruit avec Wayne en l'abandonnant, tout ce que j'ai subi en prison, tout ce que Lola m'a fait vivre... Je m'acharne sur lui comme s'il était la cause de ma souffrance alors qu'en réalité, celui qui mériterait une raclée, celui à qui je devrais m'en prendre, c'est moi. Uniquement moi. Toute cette rancune, tout ce dégoût, toute cette animosité, c'est moi qui devrais me la prendre en pleine figure.
Les côtes soudain entourées par deux bras puissants, je tente de me retourner mais Blondie me soulève pour m'éloigner de ma victime. Il me parle de quelque chose comme la discrétion, mais la douleur qui fuse dans mon abdomen m'empêche de comprendre quoi que ce soit ou de continuer mon passage à tabac. Un gémissement m'échappe et je m'écroule sur le goudron humide quand mon équipier me lâche pour foncer sur le camé. La main sur le flanc, le souffle court, je jette un coup d'œil au corps presque inerte qui gît sur le sol alors que Blondie prend son pouls. Un grognement sourd sort de la gorge du blessé et malgré le sang qui ravage son visage aussi lacéré que boursouflé, je m'autorise à respirer. Je ne l'ai pas tué.
— T'es mort, tu sais ça ? me balance le toutou de Lola en me relevant brutalement.
Je mords ma lèvre inférieure pour canaliser la morsure qui me broie les côtes, et me laisse entraîner hors de la ruelle.
— Dégage de là, tu t'arrangeras avec tes supérieurs pour ce que tu viens de faire mais moi je veux pas de toi ici.
Blondie me pousse loin de lui et je ne cherche pas à protester. J'accélère même le pas pour retourner à l'hôtel le plus vite possible sans jamais cesser de penser à Wayne. Est-ce qu'il s'en sort ? Est-ce qu'il va bien ? Avec un peu de chance, ma brillante intervention de ce soir va obliger Lola à couper court à sa torture et c'est à moi qu'elle viendra s'en prendre.
Cette nuit, c'est quitte ou double : soit il ne se passe rien, soit elle me fait la peau.
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Coucou tout le monde, comment ça va ?
Je sais, je sais, je suis en retard pour le chapitre mais pour ma défense je suis malade et j'ai des tas de choses à faire avant le lancement du bouquin qui sort dans quelques jours. J'espère que cette partie valait le coup d'attendre, et moi j'ai HÂTE d'avoir un peu de temps pour repasser sur Wattpad et lire ENFIN tous vos commentaires parce que je brûle d'envie de savoir ce que vous en pensez... Allez, plus que quelques jours et le rush sera terminé, je pourrai enfin me poser et me plonger dans vos réactions, alors laissez-en moi PLEIN.
Du coup, Lola a remis ça. Pourquoi, à votre avis ? Vous pensez qu'elle essaie de gagner la confiance de Wayne ou vous pensez qu'elle a autre chose derrière la tête ?
Le rapprochement de Wayne et West, on en pense quoi ? Ça va déboucher sur quelque chose à votre avis ?
Wayne a été enlevé, qu'est-ce que vous pensez qu'il va lui arriver ?
Quant à la réaction de West, qui pense quoi ? Cette violence vous choque de sa part ?
Pour une fois, je n'ai pas mis Tommee Profitt... Vous pensez quoi de ce petit bijou que j'aime d'amour ?
Voilà, voilà, c'est tout pour moi. Du coup je retourne m'occuper de mon livre, et de la vidéo qui va sortir parce que je suis un peu à la bourre et que je suis censé avoir tout fini ce soir (ce qui risque de ne pas être le cas si je ne mets pas les bouchées doubles).
Du coup envoyez-moi un peu de forces si vous en avez, pour que la maladie me laisse bosser un peu. Et nous on se retrouve jeudi pour la suite (ou peut-être avant si je finis tout dans les temps que je me rue sur vos commentaires).
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