Chapitre 16 | 1

"Got you praying on your knees

In the face of danger we're all brave

'Til the gun goes bang, bang, bang."

Cruel World – Tommee Profitt ft Sam Tinnesz. (En média).


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ATTENTION : La suite de cet avertissement peut contenir un élément de spoil, donc si vous n'avez pas besoin de trigger warning pour poursuivre votre lecture, ne lisez pas cette suite. Pour les autres, sachez que cette partie de chapitre contient une scène de violence physique et morale. Faites bien attention à vous si c'est un sujet sensible pour vous.

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— Ça va aller ?

Le regard que me lance Wayne est tellement empreint d'angoisse que je n'ai pas besoin d'attendre qu'il me réponde pour savoir que non, ça ne va pas aller. Depuis qu'il s'est rendu compte de ce qu'il est capable de faire quand il se laisse submerger par sa colère et sa rancœur, il semble effrayé à l'idée d'esquisser le moindre petit geste.

— Qu'est-ce qui va se passer aujourd'hui ?

Je baisse les yeux.

Aujourd'hui, c'est la résistance...

— Je ne sais pas, Wayne.

Mon binôme me scrute alors que je relève le nez vers lui. J'ai l'impression qu'il me supplie sans un mot. Il me supplie de ne pas me limiter à ça, comme si ce que j'avais à dire pouvait changer quoi que ce soit. Comme si mes mots étaient la dernière barrière qui le séparerait du vide.

— Les épreuves que Lola met en place changent tout le temps, on peut pas les anticiper, soupiré-je. Je suis désolé, j'ai rien de plus précis.

— Mais pour toi, comment ça s'est passé ?

Les dents serrées, j'ai la sensation de me décomposer. Mes membres s'engourdissent un à un alors que mon esprit est plongé trois ans en arrière. Wayne disparaît, la chambre d'hôtel aussi, et l'un des types masqués paraît s'approcher de moi encore une fois. Il me murmure une information à l'oreille ; le nom d'un mec fictif, d'un des nôtres qui aurait infiltré le gang ennemi. Les White Shadows. Le chien de garde me plante là, avec ce prénom inventé de toute pièce, et mon rythme cardiaque s'accélère. Je sais exactement ce qui va se passer maintenant. Lola va prendre le rôle d'un White Shadow, et elle va essayer de me faire cracher l'identité de la taupe. Si je la ferme du début à la fin, je réussis le test. Si je ne résiste pas, c'est terminé pour moi.

L'eau gelée ruisselle de nouveau sur ma peau et je ne peux plus m'empêcher de gémir. Mes dents claquent, mes yeux sont embués de larmes, et Lola sourit. Elle me pose la même question une énième fois mais je me retiens de toutes mes forces d'ouvrir la bouche. Ne le dis pas. Je secoue la tête avec frénésie pour lui faire croire que je n'ai pas sa réponse, qu'elle peut me torturer toute la nuit si elle le souhaite, elle n'obtiendra rien de moi. Ne le dis pas. Contrairement à Ian, ma patronne garde son calme face à mon silence, elle se contente d'envoyer un signe que je ne comprends pas à ses larbins, qui réagissent aussitôt. Ils me détachent, m'obligent à me lever, me font pivoter sur moi-même puis me soulèvent pour me balancer dans une espèce de baignoire en ferraille à moitié pleine de glaçons. Alors qu'ils appuient sur mes épaules pour que je m'enfonce bien au milieu des cubes gelés, ma respiration s'alourdit. Elle devient bruyante, difficile, parsemée de gémissements que je ne parviens pas à ravaler. Concentre-toi sur autre chose, ça va aller. Ça va aller. L'un de mes bourreaux attrapent des seaux de glace et renverse leur contenu sur mes jambes nues encore et encore alors qu'un autre se munit d'un tuyau pour inonder la baignoire d'eau froide.

Les glaçons qui recouvrent peu à peu mes cuisses, mon ventre et mon torse, plus le liquide qui se faufile dans le moindre petit espace de chaleur qu'il me reste me font perdre pied. Je n'aurais jamais pensé que le froid pouvait être aussi éprouvant. À deux doigts de craquer, je me mets à hurler. Je supplie Lola d'arrêter ça, je tente de me sortir de là, pourtant je sais que ma détresse est vaine. Je ne risque pas de quitter cet endroit de sitôt. Incapable de supporter la douleur et les spasmes qui me ravagent, je balance ma tête en arrière en me débattant contre la poigne solide des gorilles de notre patronne mais cette dernière me le fait immédiatement regretter. Elle m'agrippe par les cheveux, place une serviette sur mon visage et y déverse une quantité d'eau non-négligeable. Le liquide s'infiltre dans mes narines, dans ma gorge, et j'ai l'impression d'étouffer, de me noyer. Quand Lola arrête sa torture, je me redresse d'un geste vif, puis recrache ce que mes poumons ont absorbé. Tout juste en mesure de reprendre mon souffle, je pousse un cri de désespoir quand ma patronne tire de nouveau sur mes cheveux. Elle recommence une fois. Deux fois. Trois fois... Dix fois, et entre chaque noyade, elle m'interroge sans ménagement. Même pendant ces courts moments de répit, je n'arrive pas à ressentir le moindre soulagement. La serviette ne m'asphyxie plus, c'est vrai, mais la glace me brûle. Mes tremblements forcent mes muscles à se contracter à outrance. J'ai mal partout, je suis épuisé. Je n'en peux plus, c'est un calvaire, un putain de calvaire. Je crois même que je préférais quand elle jouait avec son shocker électrique. Lola finit par me faire basculer vers l'arrière pour reprendre son petit manège, mais cette fois je perds le contrôle. Je l'implore de mettre un terme au test, je lui assure, je lui promets que je ne sais pas de quoi elle parle, que je n'ai pas de prénom à lui donner mais elle ne me prend pas en pitié. Elle replace le morceau de tissu sur ma figure, et je commence à croire que je vais mourir ici.

— West ? West, est-ce que ça va ?

Une caresse sur le haut de mon bras me fait sursauter alors que la voix de Wayne m'arrache à mon cauchemar. Je cligne des yeux plusieurs fois, d'abord sans comprendre ce qui se passe. Sans comprendre où je suis. Mais après un instant réparateur à me laisser envahir par ces prunelles émeraude que je croyais ne plus jamais revoir, je prends conscience que la séance de torture est derrière moi. Je ne suis plus face à Lola. J'ai passé le test, tout va bien. Tout va bien.

— Ouais, ouais... ça va, soufflé-je en passant une main moite dans ma nuque. On devrait y aller, Wayne. S'ils doivent monter pour venir nous chercher, on va passer un sale quart d'heure.

Un peu dans le vague, j'essaie d'être le plus persuasif possible, mais j'ai du mal à vraiment m'extirper de mes souvenirs. Je ne pourrai jamais supporter de voir Wayne dans une situation pareille. Un profond soupir me ramène à la réalité et je lève le nez vers mon binôme, qui paraît bien moins serein qu'hier à l'idée de finir en tête-à-tête avec Lola. La détresse que je lis dans chacune de ses réactions me tord le ventre, je ne peux pas m'empêcher de m'approcher de lui et de glisser mes mains bouillantes dans son cou, en caressant ses joues de mes pouces. Ses paupières tombent comme un voile, ses épaules s'affaissent et Wayne dépose naturellement son front contre le mien.

— N'aie pas peur, Wayne.

Ses yeux s'ouvrent, s'ancrent dans les miens, et un faible sourire fait trembler ses lèvres.

— Je n'ai plus peur, West.

***

À l'intérieur du porteur frigorifique, mon stress est à son apogée. Aveuglé et les mains au-dessus de la tête, je dois lutter contre mon instinct pour ne pas tirer de toutes mes forces sur les menottes qui me maintiennent accroché à l'un des rails sur lesquels sont pendues des carcasses de bœufs. Je déteste ce mode de transport, je déteste l'odeur de sang qui y règne, je déteste sentir la viande se cogner contre moi à chaque virage que le camion entreprend. Je suis tellement obnubilé par ma nausée qui monte de plus en plus, que je ne prends pas la peine d'essayer de comprendre où on nous emmène. À mes côtés, Wayne ne dit rien, sa respiration est calme. J'ai même l'impression qu'il s'agite beaucoup moins que moi dans cette chambre froide qui sent la mort à plein nez.

Au bout d'une éternité à trembler de froid et à me raidir à chaque fois que quelque chose entre en contact avec mon corps, je souffle d'un court soulagement quand le transporteur s'arrête. Un grincement retentit tout près de moi, des bruits de pas s'approchent et je manque de faire un bond quand quelqu'un libère mes poignets, puis me pousse violemment hors du fourgon. Dans mon dos, Wayne grogne, une voix grave lui ordonne de se relever mais je n'ai pas le temps de m'attarder sur la moindre information supplémentaire qu'une main gantée se referme sur mon bras pour me traîner à l'intérieur d'un bâtiment. Sous le sac en nylon noir, je ne perçois rien, pourtant je sais que cet endroit n'est pas qu'un simple entrepôt. On passe trop de portes, on descend trop d'escaliers pour que Lola nous ait réservé le même décor que pour les premiers tests. À cette idée, mon rythme cardiaque s'emballe et je prie pour que l'épreuve de Wayne se passe bien. Qu'elle soit plus rapide que la mienne, moins intense.

Soudain, la poigne se resserre sur ma peau et nous nous arrêtons. Un silence pesant s'abat autour de nous et après quelques instants suspendus dans le temps, mon accompagnateur me retire le sac que j'ai sur la figure. Une lumière blanchâtre m'éblouit mais je tente quand même de trouver le regard de Wayne avant d'analyser quoi que ce soit. Ce dernier observe les alentours dans une tension évidente, pourtant au moment où il se focalise sur moi, rien ne paraît plus exister autour de nous. La réalité elle-même semble s'évaporer, elle nous offre une parenthèse d'espoir aussi puissante qu'éphémère. Les prunelles de mon camarade brillent, mon cœur bat la chamade, et je hoche bêtement la tête comme si ce signe minuscule pouvait nous lier, qu'il pouvait exterminer le danger qui menace de nous réduire en cendres.

— Aujourd'hui, le test sera très rapide, résonne une voix qui se déplace dans notre direction.

Déconcentré par l'arrivée de Lola, je daigne enfin jeter un coup d'œil à notre nouvel environnement et me rends compte avec stupeur que nous sommes au beau milieu d'un stand de tir. À plusieurs mètres devant nous, des dizaines de cibles noires nous narguent, elles nous rappellent ce que nous sommes devenus. Elles me rappellent que Lola a le doigt sur la gâchette et qu'elle peut faire exploser ma vie à n'importe quel moment. Devant mon air ahuri, ma patronne esquisse un sourire que je peux facilement deviner, même derrière le cache-cou foncé qui remonte jusque sur le dessus de son nez. Elle me fixe, me scrute comme si l'élément important de cette situation n'était plus Wayne, mais moi. Comme si elle avait tout organisé en fonction de mes sensibilités, de mes craintes, de mes failles.

— Comme toujours, à toi l'honneur, le Prodige, dit-elle en me faisant signe d'avancer.

Sans prendre la peine de me demander de quoi elle parle, je fais un pas en avant et commence à retirer mon tee-shirt. Gelé, mon premier réflexe est de me cacher, de détourner les yeux. Pourtant, même si je sais que Lola peut lire la honte dans le fond de mes pupilles, je ne laisse rien paraître et retire mon boxer pour faire un tour complet sur moi-même alors que son regard s'attarde sur chaque parcelle de peau que j'aimerais pouvoir dissimuler. Lorsqu'arrive le moment où Wayne doit m'imiter, je baisse la tête. Je me concentre sur le revêtement en caoutchouc en attendant avec impatience que Lola nous autorise à nous rhabiller.

— Tu as été très convaincant lors de notre dernière rencontre, Singer, le félicite Lola alors qu'il remet sa chemise. C'est pour cette raison que j'ai décidé de te laisser une chance en te permettant de repasser une épreuve à laquelle tu as échoué.

Mon estomac se retourne. Le sol se dérobe sous mes pieds. Il a échoué. Une étrange sensation s'empare de ma poitrine et je dois prendre sur moi pour ne pas vriller. Pour ne pas m'écrouler. Il est passé à deux doigts de l'exécution.

— West, viens par-là.

Interloqué, je dévisage Lola, mais finis par m'exécuter quand elle me lance un regard sombre. Je m'approche d'elle, puis la laisse me positionner face à Wayne, qui ne me quitte pas des yeux.

— À genoux, m'ordonne-t-elle.

Wayne tressaille, alterne entre le visage de notre patronne et le mien, mais n'intervient pas. Comme moi, il sent que cette mise en scène peut aboutir à une situation cataclysmique. Et comme moi, il sait que rien ne pourra nous en protéger. À la fois docile et méfiant, je m'agenouille par terre en tentant de ne pas prêter attention aux signaux d'alarme qui hurlent dans mon esprit. Quoi que Lola ait prévu, je sais qu'elle est en mesure nous détruire tous les deux. Il ne lui suffit que d'un claquement de doigts, et elle peut faire de notre existence un véritable enfer.

— Tu vois, Wayne, quand je t'ai demandé d'ôter la vie à mon otage, tu as obéi. Tu l'as fait, mais tu ne l'as pas fait pour les bonnes raisons, reprend Lola d'un ton ferme. Tu as tiré pour défier West, pas pour me prouver ta soumission.

Mon binôme écarquille les yeux tandis que je ferme les miens. Je la hais. Je hais son sens du détail. Je hais ses capacités d'analyse. Comment elle a pu décrypter Wayne en un regard sans jamais l'avoir vu avant, sans rien savoir de lui ?

— Donc aujourd'hui, tu vas m'obéir à moi, et tu vas tirer sur West, termine Lola en tendant un révolver à Wayne.

Ce dernier scrute notre patronne avec horreur, puis fixe l'arme sans esquisser le moindre geste pour l'attraper. Sa respiration se saccade et tout son corps se tend. Il panique.

— Qu... quoi ? Mais je ne peux... Vous ne pouvez pas...

Mon futur équipier expire brusquement avant de s'accrocher à moi dans une détresse impressionnante. Les tripes en vrac, je soutiens son regard et opine en silence alors qu'il secoue la tête d'un geste vif.

Vas-y, Wayne, obéis. Fais ce qu'elle te dit.

Lola, bien moins touchée par la réaction déchirante de son nouvel apprenti, fait un pas dans sa direction et lui colle le flingue contre le torse pour le forcer à le saisir.

— Rappelle-toi, il te suffit de te fier à moi. Je te dis de faire quelque chose et toi, tu t'exécutes, peu importe les conséquences. La première fois, personne n'est mort, non ?

Le timbre cynique de Lola est loin d'être rassurant et Wayne semble au bord de l'implosion. Ses prunelles brillent de larmes qui ne coulent pas, son torse enfle et se creuse à une vitesse phénoménale ; il paraît incapable de prendre une décision. Profitant que ma patronne me tourne le dos pour rester focalisée sur Wayne, je lance un coup d'œil déterminé à ce dernier et articule « fais-le ». Il a un mouvement de recul presque imperceptible alors que ses traits se crispent. « Fais-moi confiance » ajouté-je en tentant de paraître le plus solide possible. Le regard de Wayne change et une tristesse immense paraît l'envahir.

— Alors, Singer, qu'est-ce que tu décides ? le presse Lola.

Mon binôme l'observe un instant mais se rabat bien vite sur moi. Quand j'acquiesce sans un mot, il serre les dents, ravale un sanglot qui manque de lui échapper et pointe mollement le calibre vers mon visage. Décidée à le pousser à bout, ma patronne empoigne sa main, puis l'oblige à coller le canon contre mon front. À bout portant, même des cartouches à blanc pourraient me tuer. Si ce truc est chargé, je suis un homme mort. De plus en plus angoissé, Wayne appuie sur le chien pour armer le révolver et mon cœur commence à battre plus vite, plus fort. Ne bouge pas, ne laisse rien paraître, maîtrise-toi. Le souffle de mon camarade est incontrôlable, il a l'air d'être à deux doigts du malaise, pourtant c'est vers moi que Lola se tourne. Ce sont mes réactions qui l'intéressent. Wayne tente de stabiliser son bras tremblant en attrapant le flingue à deux mains, et les muscles de son index se contractent enfin. J'inspire un grand coup, et ferme les yeux. 


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Coucou tout le monde, 

Alors, qui me déteste ? ;)

Avant de commencer les hostilités, je tiens à m'excuser pour mon absence sur Wattpad ces derniers temps, mais si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous savez qu'en ce moment je suis un peu dans le rush. J'étais un peu tiraillé entre mes deux bêtas et mon livre, et ces quelques dernières semaines ont été assez intenses. J'ai du m'occuper de ma grosse bêta pour une ME avec plein plein de changements et de choses à refaire/relire, ensuite je me suis concentré sur la bêta de Crève-cœur, un recueil qui nous a donné du fil à retordre jusqu'à sa sortie (c'est le recueil de Milledya, il est disponible sur Amazon en version numérique et papier, on a tous les deux travailler très fort dessus alors foncez, parce que vraiment il est incroyable) et enfin, je travaillais sur mon livre. 

Parce que oui, si vous ne me suivez pas sur les réseaux, sachez que je suis en train de publier un livre. Un recueil de cinq nouvelles qui s'appelle Et si l'espoir s'éteint. Il sera disponible en version numérique et broché sur Amazon et des versions papiers dédicacées seront également disponibles sur Etsy à partir du mois de décembre ! C'est une grosse aventure pour moi, une aventure qui commence à peine et qui me donne du fil à retordre, mais je vais sortir mon premier bébé. Alors si vous aimez ma plume et que vous avez lu toutes mes nouvelles, vous pouvez me soutenir en achetant le livre ou l'eBook, si vous aimez ma plume et que vous n'avez pas encore lu mes nouvelles, préférez peut-être mon livre à Wattpad parce que toutes les nouvelles ont été réécrites et corrigées avec ma plume actuelle et l'aide précieuse de mes deux bêtas, et si vous connaissez des gens qui aiment lire et que vous aimeriez leur faire découvrir ma plume... c'est bientôt Noël, et mon bébé pourra arriver à temps dans vos boites aux lettres pour les fêtes ! Sachez également que le titre de mon prochain roman sera présent en exclusivité dans ce livre et que j'y ai mis le chapitre 1 complet, que vous ne pourrez retrouver nulle part ailleurs !

Voilà, j'arrête mon auto-promo, de toute façon vous en verrez bien assez passer d'ici le mois de décembre, mais c'était juste pour m'excuser et pour vous annoncer la nouvelle à vous aussi, si jamais vous n'avez pas envie de me suivre sur les réseaux. 

Bon, bon, bon, maintenant que je vous ai pondu mon discours, à vous de parler :

Qu'est-ce que vous pensez de ce qui vient de se passer ? Est-ce que Lola bluff comme la première fois ? Est-ce que Wayne a tiré ? 

Pour les gens qui pensent qu'il a tiré, qui lui en veut ? Qui le comprend ? 

Pour les gens qui pensent qu'il n'a pas tiré, à votre avis, comment va réagir Lola ? Qu'est-ce qu'il va se passer si jamais il ne lui obéit pas, cette fois ? 

La musique, sinon, on aime ? Vous êtes habitué.e.s à Tommee Profitt, maintenant, mais quand même... 

Voilà, voilà, c'est tout pour moi. J'essaie de vite repasser sur Wattpad pour répondre à vos commentaires. ça fait trop longtemps et ça me manque de pas vous lire ! Mais maintenant que le Crève-cœur (disponible sur Amazon, on oublie pas) est sorti et que mon livre va sortir, je vais avoir plus de temps et je vais pouvoir venir vous embêtez un peu ici. 

Voilà, j'espère que ce chapitre vous a plu et que vous me suivrez dans cette aventure un peu folle. 

Je vous envoie plein de bonnes ondes. 

On se retrouve samedi les potes. 

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