CHAPITRE 2
Comme j'étais épuisée. Je m’étais rendue dans l'unique salle de bain qu'il y avait dans l'appart pour prendre un bon bain. Cela me faisait du bien. J'étais restée très longtemps dans la baignoire puisque le lendemain c'était un jour de congé et que je n'avais rien de prévu.
Marco qui regardait la télé dans le salon, pensant que je prenais peut-être un peu d'air sur la galerie, entra subitement dans la salle de bain. Prise de stupéfaction, je poussai un grand cri comme si un inconnu essayait de me faire du mal. Il sursauta, le pauvre. On aurait dit un petit minou abandonné. Il s'excusa et sortit de la douche rapidement.
Cinq minutes plus tard, j'avais pris mon courage à deux mains et allai le voir. En arrivant dans la chambre, Je le trouvai tête baissée sur le rebord du lit qui donnait sur la porte d'entrée. Comme il se sentait toujours mal, je m’étais rapprochée de lui (tout en étant avec ma serviette de bain) et lui touchai le visage en lui disant: "Je suis désolée mon cœur. Je ne m'attendais pas à ce que tu rentres."
— Je te respecte, tu sais! Me répondit-il tristement. Je n'aurais jamais pénétré sans ta permission si je savais que tu y étais encore.
— Oui mon cœur. Calme-toi. Je sais.
Je lui tendis mes lèvres pour lui montrer qu'il n'y avait aucun mal à ce qu'il me voyait nu. On sortait ensemble depuis trois ans déjà. À force d'attendre, je le désirais plus que tout. Mais, je ne pouvais pas céder à la tentation à cause de ma foi religieuse. C'était un peu bizarre pour nous mais, il n'avait pas refusé. La tension était devenue tellement forte qu'on s'était jeté sur le lit. Je ne pourrais pas expliquer ce qui nous arrivait parce que c'était plus fort que nous.
On se bécotait au tout début. On était chaud comme la braise. J'étais très stressée vu que c'était ma première fois. Soudainement, Il enleva ma serviette de bain. J'étais très embarrassée et intimidée parce que je ne savais pas s'il allait continuer à m'aimer après notre acte. Il resta un instant sans rien faire juste pour me regarder.
Point de vu (PDV) de Marco
C'était pour la première fois que j'avais vu un corps si attirant. De toute celle que j'avais eu la chance d'avoir, elle était l'unique qui avait su me faire vibrer de la sorte, m'activer même avec un sourire. On était ensemble depuis longtemps mais, je n'avais pas pu la toucher parce qu'elle était si parfaite, si sensible. Elle me mettait l'eau à la bouche. On dirait une mangue qu'on venait à peine de cueillir. J’étais l’homme le plus chanceux parce que j'avais le cadeau le plus merveilleux au monde. Mon amour, la femme de ma vie, je meurs d'amour pour elle.
PDV de Dina
Il m'embrassa avec fougue. On dirait qu'il avait soif de moi depuis longtemps. Je ne pouvais que répondre à ses moindres désirs bien que je n'étais pas experte en la matière. Il enleva d'abord son tee-shirt et continua ses embrassades dans mon cou et mes bourgeons, il enleva son pantalon, ensuite, son caleçon. J'étais tellement intimidée que j'avais fermé mes yeux pour ne pas le voir nu. Il m'avait compris et avait laissé passer cette étape. J'avais furtivement essayé de regarder son corps mais, il m'avait surpris et j'avais dû sourire pour cacher mon embarras. Il m'avait remis mon sourire et s'approcha de mes lèvres. Il me caressa tendrement et m'embrassa de la tête aux pieds. Son torse musclé et son abdos avec les petites tablettes de chocolat ne m'avaient pas laissé indifférents. Je lui caressai les cheveux et ensuite je lui repris les lèvres. C'était tellement sensuel que j'avais laissé sortir un petit gémissement qui m'avait rendu plus embarrassé qu'avant.
On allait passer à l'acte vrai et là, il enfila un préservatif tout en continuant à me caresser les seins. Les caresses laissaient place à quelque chose de plus sexuel. Des baisers, des mains, des doigts, etc. Je ne savais pas dans quelle position me mettre. Et là, il avait pris les devants. J'avais laissé sortir mes premiers gémissements et lui aussi. J'étais à ce moment-là plus détendue et je n'avais plus honte. J'avais essayé de ne pas perdre mon calme et de rester concentrée. C'était parfois douloureux et parfois agréable. Quand c'était douloureux et que je gémissais de souffrance, il me lançait des propos romantiques pour me calmer.
Après un certain temps, c'était fini. Ce n'était pas parfait, mais ce n'était pas mauvais non plus. Plus de peur que de mal! Je ne savais quoi faire ou dire. J'avais honte de moi en revenant dans la réalité. J'avais honte de ce qui s'était passé. Il me donna un petit bisou et moi, après cela, je m'étais couverte entièrement avec le drap pour que mes yeux ne rencontrent pas les siens.
Je ne m'étais pas souvenue de ce qui s'était passé par la suite car je m'étais endormie dans le creux de ses bras.
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J'espère que vous avez aimé.
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