🍋Chapitre 7🍋
Le reste de la journée fut longue et pénible. Il avait beau s'être soulagé dans les toilettes, son érection revenait en force et son esprit s'embrumait de désir. Seul, il était allé se soulager une deuxième fois sans prévenir son maître. Il se sentait coupable de le trahir ainsi, mais il n'avait pas donné d'autre ordre sur le sujet. Le soir, alors que ses amis allaient se changer pour leur entraînement, il fit semblant d'avoir mal au ventre et de rentrer chez lui. Il n'allait sûrement pas s'entraîner avec ça dans ses fesses. Il voulait s'en débarrasser le plus vite possible. Il prit donc l'autobus en direction de chez Julien en lançant des prières discrètes pour que personne ne remarque son inconfort dans les pantalons. Arrivé devant la maison, il frappa et retient son souffle. Julien vient l'ouvrir et parut surpris de le voir. Rémy évita son regard rouge de honte.
''Il n'est pas un peu tôt? Tu ne devais pas aller à ton entraînement?''
''Je... j'y suis pas aller. Je pouvais pas avec... ça en moi.''
Il leva un peu la tête pour observer son maître qui le regardait avec dégoût. Le regard du blond s'attarda sur une mini coupure sur sa joue, mais quand le brun chercha son regard il le baissa pour fixer le sol.
''Dans ma chambre maintenant et je ne veux pas t'entendre cette fois.''
Rémy obéit sans broncher. Il entendit une douche couler de la salle de bain avant de s'engouffrer dans la chambre de son maître. Julien entra après lui et barra la porte avant de se retourner vers lui avec le même regard haineux sur son visage.
''Enlève tes vêtements. Je dois vraiment tout te dire tout le temps?''
Rémy hocha la tête et commença pour son chandail avant de se départir en vitesse de son pantalon et son caleçon. Pitié, enlevez lui cette chose de son corps. Il ne pouvait plus l'endurer. Son sexe lui faisait si mal et il avait déjà jouit 2 fois aujourd'hui.
''Mets tes mains sur le lit et montre mon ton postérieur.''
Rémy obéit en dandinant son fessier dans l'espoir que son maître ne le fasse pas trop patienter. Il sentit la main remplit de douceur de Julien lui flatter le dos et les fesses, puis il serra les dents de douleur quand le plug fut retiré violemment de son anus. Il poussa néanmoins un soupir de soulagement. Sa torture était fini. Il avait réussi. Personne n'avait rien vu.
Un glapissement sortit de sa bouche, lorsque son maître s'inséra en lui sans prévenir. Il courba le dos, s'effondrant à moitié sur le lit, pendant que la main de son maître trouvait sa bouche pour la bloquer.
''Je tes dis que je ne voulais rien entendre.''
Rémy hocha docilement la tête pendant que son maître commença ses va et vient. Après avoir du endurer le plug anal toute la journée, le sexe de son maitre était tout sauf une souffrance. Son muscle était déjà bien étiré et son intérieur prêt à l'accepter. Ne pouvant que respirer par son nez, il devait retenir chacun de ses gémissements. c'était si bon et pourtant on lui avait demandé de ne pas faire de bruit. Puis le plaisir fut à son apogée lorsque son maître toucha sa boule de bonheur et il gémit dans la main de son maître laissant s'échapper ses fluides. Visiblement, son maître s'en rendit compte, car il se retira avant de lui agripper ses cheveux pour le propulser au sol.
''Je ne t'avais pas permis.''
Rémy n'avait pas encore repris ses esprits des derniers évènements qu'il se sentit tourner sur le ventre et ligoter les mains et les pieds. Puis on le pénétra violemment, rapidement. Il poussa un petit cri avant de se faire pilonner violemment. Lorsque son maître finit par jouir en lui, il fut tourné sur le dos et reçoit un coup de pied dans les côtes.
''Je t'avais dit aucun bruit!''
Rémy voyait la haine dans les yeux de son maître et prit peur un moment. On ne jouait plus? Son agressivité était-elle réelle? Il avait mal. Les deux avaient eu ce qu'ils voulaient non? Il vit son maître retirer sa ceinture et le blond versa une larme.
''Je suis désolé, maître... s'il vous plait... j'en peux plus, laissez moi...''
Le premier coup fit rougir la peau de son torse et il poussa un nouveau cri.
''Quand ton maître te dit pas un bruit, c'est qu'il ne veut entendre aucun bruit!''
Puis un deuxième coup claqua sur sa peau et Rémy se mit à pleurer de douleur. Ses mains et ses pieds étaient prisonniers dans son dos et il ne pouvait espérer se protéger des coups qu'il recevait. Ses muscles n'étaient même pas une défense valable, tellement le fouet improvisé de son maître faisait rage. Après plus d'une dizaine de coups, Rémy n'en pouvait plus.
''Olive! Olive! S'il te plait. J'ai mal. Olive!''
Les coups cessèrent aussi soudainement qu'elle était arrivée. Son maître avait obéi à son mot de sûreté, mais il semblait que sa haine n'avait fait qu'augmenter. Rémy reçut un crachat au visage complètement déboussolé. Son maître lui lança un dernier regard et des paroles cruel avant de le laisser au sol ligoté et seul.
''Si tu n'es pas capable d'endurer la douleur, que fais-tu là.''
Rémy entendit la porte se fermer derrière lui et tenta de reprendre ses esprits. Qu'est-ce qui venait de se passer? D'où venait cette haine gratuite dans le regard de son maître? Il tenta de bouger, mais les cordes lui empêchèrent de se relever d'une quelconque façon. Il arrêta donc de se débattre et attendit. Son maître allait bientôt revenir le libérer. Au moins, il ne recevait plus de coup. Mais voilà que le temps passait et personne ne revenait. Son maître l'avait oublié?
Une heure s'écoula sans que personne ne vient le visiter et il se mit à se lamenter discrètement. Qu'avait-il fait pour que son maître soit si furieux après lui? Il voulait savoir. Il s'assurerait ainsi de ne pas recommencer. Puis la deuxième heure arriva avec une irrésistible envie d'aller aux toilettes. Son corps ankyloser de la position et toute son énergie vider. Puis la troisième heure se pointa le bout du nez et impuissant Rémy relâchait ses sphincters sur le sol, baignant maintenant, non seulement dans la semence mélanger de son maître et lui, mais aussi dans sa propre pisse. Il aurait le droit à une nouvelle punition, il pouvait en être certain. Lui qui avait tant voulu bien faire pour une fois. Il entendit la porte s'ouvrir derrière lui et le ton de voix calme et hautain de son maître.
''Dégoûtant.''
Rémy rougit instantanément. C'était si humiliant. Comme son maître devait avoir honte de lui. On le retourna violemment sur le ventre, le forçant ainsi à s'étendre encore plus dans son urine et alors qu'il allait supplier de nouveau, il sentit les cordes qui le serrait se relâcher. Son maître le libéra de ses liens avant de se relever et de reculer.
''Va te nettoyer. Je vais ramasser.''
Rémy obéit sur le champ, se levant aussi vite que ses muscles douloureux lui permit et se précipita sous la douche. Il se soulageait une fois de plus sous le jet de la douche, avant de sortir vêtue d'une unique serviette à sa taille. Il avait oublié ses vêtements dans la chambre de son maître. Était-il encore fâché après lui? Il n'avait pas osé voir son visage, il ne pouvait pas vraiment savoir. Il se dirigea vers la chambre du garçon qui épongeait le sol avec une moppe et un sot à odeur de lavande. Il semblait triste. Lasse de la vie. Cette corvée ménagère semblait l'épuiser et ses yeux brillaient d'une tristesse alarmante. Rémy entra, ce qui attira le regard de Julien vers lui. Le voyant presque nu, l'eau ruisselant encore sur ses muscles et les marques rouges sur son corps, une lueur lubrique s'allumait dans les yeux de du garçon au long cheveux brun. Rémy se mordit la lèvre. Il avait mal, il était tard, il était fatigué. Même si c'était plaisant de voir cet intérêt chez son maître, il devait rentrer.
''Je suis juste venu chercher mes vêtements.''
Il prit les dits vêtements et retourna s'habiller dans la salle de bain. Puis il quitta la maison sans un regard en arrière, grimaçant à chaque pas et se lamentant sur la douleur de tous ses muscles. Après un moment, il se dit qu'il aurait peut-être dû avertir son maître qu'il partait. Il se tourna pour observer la maison au loin et aperçut une silhouette féminine venir cogner à la porte. La fille, il l'avait déjà vu. Elle était dans sa classe, il en était persuadé. Il observa Julien répondre à la porte. Ils les observèrent un moment, puis le ton monta. La fille ne semblait pas très heureuse de ce que son maître venait de lui dire. Celui-ci gardait un visage impassible avant de refermer derrière lui. La fille éclata en sanglot avant de retourner vers sa maison.
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