10
Le lever fut plus compliquer que prévu. Mon corps était perclus de courbatures et mon équilibre changé. Ma queue faisait des mouvements incontrôlés, instinctifs, et changeait mon centre de gravité. Je finis pas réussir à faire un pas sans trop vaciller après avoir parcouru plusieurs mètres. Marco me regardait en souriant moqueusement juste à côté.
"On en parle du fait que tu as dû cramer la moitié des objets et des meubles en t'entraînant à ton pouvoir ?"
Il fit la moue.
"C'est tout de même drôle, yoï."
Il part ensuite vers la sortie qui mène vers un couloir immense et des portes qui le sont tout autant. Comment ils font pour bouger ça ? La réponse en image : Marco met une main dessus et la pousse comme si il ouvrait un coffret. Espèce de titan ! Je soupire et le suis. Je n'avait rien à perdre et tout à gagner. L'entrée de la chambre à Barbe-Blanche était grandiose comme le supposait le tête du bateau. Je pris sur moi et m'engouffrait à la suite du Phénix.
"Bonjour, gamine."
Il lève les yeux sur moi et je détourne la tête. J'ai peur de son ressenti face à mon apparence.
"Que s'est il passé ?
-Je-euh... Ce sont mes origines... Je suis... Euh... Mi-louve...
-Atypique. Tu es imprévisible gamine."
Il me sourit et je sens la main de Marco dans mon dos m'intimant d'avancer. Ce que je fis avec plus ou moins de résistance.
"Il y a quelque chose d'autre ?
-Hum... Eh bien... J'ai un fruit du démon. Celui de l'oiseau-tonnerre."
Il fit une mine curieuse.
"Une espèce d'albatros immense avec trois paires d'ailes sachant maîtriser le tonnerre et la pluie. Et... Hum... J'aimerais revenir sur votre proposition de la dernière fois...
-Celle où je t'offre une place dans mon équipage ? Elle est toujours d'actualité.
-Eh... Bien... J'aimerais l'accepter...
-Bien ! Je n'ai donc pas à te forcer la main. J'allais te demander d'en faire partie, de toutes manières."
Je lui offrit un sourire crispé.
"Merci... Beaucoup."
Il me répondit par un rictus bienveillant avant de se replonger dans ses papiers.
"Aller. Viens. Tu vas passer un test d'aptitude face aux commandants. Il faut d'avoir qu'elle division tu intégreras.
-Eh bien... Allons-y ?"
Je le suivis jusqu'à la salle d'entraînement.
"Bien sûr nous prendrons en compte le fait que tu es réduite, yoï.
-Mais je t'ennuies ! On balance pas à la tête des gens leurs faiblesses ! Méchant oiseau !"
Dans toute ma puérilité, je lui tirais la langue. Et il se mit à rire ! Oh le c** !
"Eh ! Mais c'est pas drôle d'abord !"
Le léger rire se transforma en fou rire et il se moqua de moi ouvertement. Vexée, je continuais jusqu'à attendre des bruits de combats, cris et autres.
"Eh attends ! C'était pas méchant, yoï !
-Et mon cul c'est du poulet ? (Non c'est du Téflon. Mais tu permets que je regarde ? Nasuada : Mais je ne te permets pas ! *rajoute aux lecteurs* Aidez moi ! Sauvez moi de ces fous ! Qui sont aussi pervers ! Moi : Mais non voyons 😅😎😏)"
-Attends, yoï !
-T'as qu'à courir !"
Il soupira et me rattrapa.
"Je m'excuse.
-Bah voilà !"
Je luis souris.
"C'était si compliqué ?"
Il me fit un regard en coin.
"Non. Ne réponds pas."
Je le sentais mal. Par chance la porte était devant nous. Toujours immense et ayant l'air de peser une tonne. Mais aidez moi ! Et Marco me passa devant avec un regard supérieur et l'ouvrit tranquille. Tsk. Ventard. Moi aussi je saurais faire ça ! Un jour ! Peut être...
Les bruits cessèrent et tous les regards se tournèrent vers moi.
"C'est qui ce mec Marco ?"
Je me crispais et soupirais. Pourquoi on me prends pour un garçon au premier abord ?!
"Déjà, le mec est une fille. Et je suis parfaitement capable de répondre seule. Je suis là pour passer un test d'aptitude physique. Ça vous va ?"
Un autre mec relança :
"Mais si c'est une fille elle est toute plate ! Pourquoi l'avoir choisie ?"
Une veine apparut sur mon front et je forçais mes muscles à se détendre.
"Eh bien... Elle est plutôt forte."
Il disait cela en se grattant derrière la nuque une petite moue gênée.
"M'enfin. Si vous voulez vous pouvez la testée-
-COOL !
-Mais n'y allez pas trop fort !
-Pourquoi ? Soupirèrent certains.
-Je sors d'un malaise alors..."
Le soupir fut collectif. Je les pris en pitié.
"Au pire faites ce que vous voul-
-Merci M'dame !"
Je sens que je vais le regretter.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top