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Je rentre dans le salon, est découvre un immense amas de coussins, peluches et couvertures.
Moi : T'es où Rayan ?
Rayan : Là...
Moi : Merci, mais je te vois pas.
Rayan : Là.
Moi : Ahhhh !
Mais quel con ma parole. Il était ensouveli sous les cousins et a attrapé ma cheville en sortant sa main des cousins. My god on aurait dit un film d'horreur.
Rayan : Aie...
Oh la Boulette... En ayant peur j'ai mis mon pied dans sa gueule. Le petit rigole à côté de moi. J'avoue c'est drôle. Je me baisse vers Rayan.
Moi : Ohlala désolé... J'ai vraiment pas fait exprès mais tu m'as fait peur aussi.
Rayan se relève et me tiens par les hanches. Il m'embrasse.
Rayan : C'est pas grave princesse.
Jules : Beurk...
On rigole.
Moi : Tu peux m'expliquer tout ce bazars ?
Je montre toute la pièce. Rayan me regarde et se gratte la nuque gêné. Jules intervient.
Jules : Avec... Avec Rayan on zouait à la guerre ! Pas vrai commandant Rayan.
Rayan : Affirmatif chef !
Rayan se tourne vers moi.
Rayan : Je suis obligé de dire ça car sinon il pleure si je veux pas jouer.
Moi : C'est quand même un gros caprice. Dis moi Jules si Rayan ne veut pas jouer, il n'est pas obligé.
Je lui sourit.
Quelques heures plus tard.
Rayan : Je vais te sauver belle princesse !
Jules : Tu ne l'aura zamais !
Moi : Oh fistre, mon beau prince aidez moi !
Qu'est ce que j'ai pas dis.
Bam!
Rayan : Oh pardon princesse.
Jules : ah ah ah !
Moi : C'est pas grave c'est juste un coussin dans la gueule...
Bordel je regrette amèrement.
Jules : Yaaa.
Rayan : Ahhhh mais arrête !
Rayan se prends plein de coussins dans la gueule. Une mitraillette de couverture. Et un canon à peluche. Le pauvre ça doit faire mal... Rayan est à terre.
Rayan : Juste ciel, je défaille.
Moi : Oh non mon preux chevalier !
Jules : Je te tiens.
Jules s'avance vers Rayan. Rayan l'attrape et l'enroule dans une couverture. Il roule et essaie de se détacher mais rien à faire. Rayan court vers moi, il me porte en princesse. Il me lance un regard plus que dragueur et sourit.
Rayan : Je suis là ma gow.
Moi : Oh mon charo !
On rit, on déroule Jules et on part dans la cuisine pour faire à manger. On a été obligé de jouer car sinon Jules allait se mettre à pleurer.
Rayan met Jules dans le canapé et il lui projecte un film. Pendant ce temps je suis dans la cuisine à couper des tomates.
Je sens des bras m'entourer, cette sensation me fait toujours bizarre... Mais elle n'est pas désagréable.
Rayan me tourne délicatement et m'embrasse passionnément. Il place ses mains sur mes fesses, je souris et rigole car ça me chatouille. Rayan m'embrasse dans le cou, tendrement... Je vais pour faire de même quand...
Jules : Bah ! Faites pas des bébés sur la table !
Rayan : Nan Jules je lui fessait du bouche à bouche car elle manquait d'air.
Jules : Ahhh t'es un héros Rayan !
Il repart en courant.
Moi : Manque d'air c'est ça ?
Rayan : Tu devrais en avoir plus souvent.
Moi : Aller ferme là idiot, va plutôt faire cuire la viande.
Rayan : À vos ordres chef.
Après avoir fini le repas, on se met à table. Je m'installe et on discute tous ensemble.
Jules : Vous faites souvent de bébés ?
Je crache toute l'eau que j'avais avalé dans la figure de Rayan. Mon dieu mais à qui est ce gamin !
Rayan : Bahhh ! Mais ça va pas Jules avec tes questions.
Moi : OH désolé.
J'essuie son visage avec une serviette. Je me rassoi.
Rayan : Si tu veux savoir non pas encore mais ça va pas tarder.
Il me fait un clin d'œil. Pour calmer ses ardeurs je souris et le regarde.
Moi : D'ici 20 ans.
Jules : Oh...
Rayan me regarde choqué. Je le regarde quand je vois un brocoli arrivé sur sa face.
Jules : Boom ! Attaque de brocoli !
Moi : Tornade chorizo !
Rayan : Tourbillon de purée !
Et on fini là soirée plein de nourriture et de sourire égayé.
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