J'crois que je vais péter un câble; Wattpad a reclassé mon histoire dans fanfiction, du coup, elle n'est plus classée XD J'crois que je vais les tuer XD

Bref, bonne lecture <3

...

Soudain, on entendit un bruit derrière nous et on se retourna, curieux.

-Qu'est ce que c'est ? demanda Hermione.

-Je ne sais pas... On dirait des battements d'ailes... confia Harry d'une voix mal assurée.

On se dirigea vers les 'battements', avant de tomber sur une porte dont on eut pas de mal à ouvrir. On pénétra dans la pièce et notre attention fut immédiatement attirée vers le plafond, d'où résonnait le vacarme d'un peu plus tôt.

Des milliers de sortes d'objet d'ors ailés planaient dans l'espace d'une manière lasse et tranquille, créant un bruit mélodieux.

-C'est étrange, chuchota Hermione comme si les choses pouvaient nous entendre, je n'ai jamais vu de tels oiseaux.

Ce ne sont pas des oiseaux. Leurs 'corps' est trop mince et leurs ailes trop fines. Et il n'y pas une plume qui les couvre. Leurs corpulences sont bien trop maigres et il n'y a ni tête ni queue, à ce que je vois.

-Ce ne sont pas des oiseaux, rectifia Harry comme s'il lisait dans mes pensées. Ce sont des clés !

Des clés ?

Je plissais les yeux pour vérifier cette hypothèse et me rendit compte que Harry avait raison quand l'une d'elle passa non loin de moi, me laissant la vue sur sa matière métallisée et tintée. Effectivement, c'était des clés... ailées...

-Et je parie que l'une d'elle ouvre cette porte ! continua le brun.

Quelle porte ?

Soudain, on tomba en face d'un balai qui reposait tout seul à quelques centimètres du sol, comme protégé par une lueur nocturne.

-Ça veut dire quoi tout ça ? demandais je, inévitablement perdue.

-Je n'en sais rien, dit Harry à voix basse.

Sans que je ne sache la raison, Ron s'empara de sa baguette et essaya d'ouvrir la porte de bois qui refusa de lui laisser passage. Il prononça la formule qui permettait de déverrouiller toutes serrures mais là encore, elle tint.

-Oh ! Comment on fait ? Zut ! se découragea Hermione en levant les yeux au ciel.

Un balai. Des clés. Une porte.

Q'est ce que tout cela voulait dire ?

-Il doit y avoir des centaines de clés ! m'emportais je en soufflant.

Comment savoir laquelle était la bonne ? Il y en avait tellement !

-Il faut trouver une grosse clé à l'ancienne. Une grosse clé rouillée, comme la poignée, déduisit Ron en inspectant la multitude de clé.

-Là ! s'écria Harry en me faisant sursauter. Je la vois; celle qui a une aile tordue !

Je me tournais vers lui et le vis pointer une clé assez volumineuse, une aile amochée, allant plus lentement que ses congénères.

Je déviais mon regard vers le balai, en cherchant toujours la réponse à ma question. A quoi pouvait il bien servir ?

-Qu'est ce qu'il y a Harry ? demanda Hermione.

Je jetais un regard vers ce dernier et le vis lui aussi fixer l'objet volant, le visage troublé.

-C'est trop simple, murmura-t-il.

De quoi ? Qu'est ce qui est simple ?

-Oh mais vas-y Harry ! s'exclama Ron pour l'encourager. Si Rogue a put l'attraper sur ce vieux balai, tu le peux aussi !

De quoi ? Rogue serait monté sur... Mais oui ! C'est tout simple ! Pourquoi n'y ais je pas pensé plus tôt ?

-Tu es le plus jeune attrapeur depuis un siècle, fis je.

-Toi aussi, me répliqua Harry.

Oui, d'accord... Mais moi c'est pas pareil...

-Oui mais moi c'est différent... Vas-y...

-Tu ne veux pas le faire toi ?

Heum... Merde... Je suis censée répondre quoi là ?

-Tu as moins peur que moi sur un balai. La preuve; au match tu étais beaucoup plus à l'aise... essaya de me convaincre Harry.

Je souris, ne trouvant rien d'autre à faire. Qu'est ce que je devais dire ? Il avait raison sur tout les points.

-Oui mais tu m'as sauvée d'un troll, dis je en dénichant enfin une réplique.

-Et Malefoy, tu l'as défié sans perdre le manche, rétorqua Harry.

Mais...

-Et toi t'as résisté contre Voldemort ! m'écriais je, voulant mettre fin à ce combat.

Enfin, c'est bon. On va pas se battre pour un tour de balai volant !

-C'est Firenze qui m'a sauvé... expliqua Harry. Et t'as réussi à parcourir la forêt sans mourir de peur !

Oui enfin, si Malefoy ne m'était pas tombé dessus, je serais sûrement six pieds sous terre en ce moment !

-Bon, d'accord !

Je m'avançais vers lui et le poussais gentiment. C'était juste un balai et une clé ! Pourquoi se battre pour ça ?

Harry me remercia du regard et alla rejoindre les deux autres qui nous observaient depuis tout à l'heure.

Je soufflais un bon coup et avançais ma main vers le manche.

Dès qu'elle l'eut touchée, toutes les clés pointèrent vers moi et se ruèrent pour me brouiller la vue. Je les repoussais du mieux que je pouvais et tentais tant bien que mal de grimper sur l'objet volant qui s'élevait dans les airs.

Je montais dans le ciel, toujours pourchassée par les sales bestioles qui maintenant, se déchaînaient contre moi !

Hermione ne pouvait-elle pas jeter un sort ?

Mon balai accéléra sans que je ne lui demande, et je ne le contrôlais pas, bien trop occupée à échapper aux clé diaboliques.

Je relevais la tête, espérant apercevoir le décor, et j'ouvris de grand yeux en me rendant compte que la grosse clé que je désirais se trouvait à quelques mètres de moi, me fuyant.

J'accélérais et zigzaguais entre les piliers, pourchassant la clé, et suivie de près par les autres qui me frôlaient de peu. Je tendis la main pour l'attraper mais elle était encore trop éloignée pour que je l'atteinde.

Enfin, alors que je tournais brusquement dans un virage, je m'en emparais et fis le tour de la pièce avant de crier à mes trois amis de l'attraper. Je leur la jetais et Hermione la tint de toutes ses forces pour ne pas la laisser partir, avant de se ruer sur la serrure.

Je fis de mon mieux pour semer les bestioles qui étaient toujours enragées, me ruais vers la porte qu'avait ouverte Hermione un peu plus tôt et me laissais tomber violemment au sol, une fois que la porte fut fermée.

Je gémis de douleur, sentant mon bras craquer sous le contact d'une masse dur, et Harry me releva lentement avant de me prendre dans ses bras.

-Ça va ? s'inquiéta-t-il.

-Oui, oui, dis je même si mon bras me torturait.

-On est où ? s'exclama Ron.

Je regardais autour de moi et fronçais les sourcils en me rendant compte que nous n'étions pas dans une pièce normale.

Même pas du tout.

.....

Hey !

Fin re-hey !

J'ai publié comme le disent les règles.

Vu que je n'ai pas publié jeudi, je publierai le prochain ( une fois sur deux, comme je l'ai dit )

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