la douleur sans raison

retranchement des faiblesses

incapable de dire non

un mensonge qui blesse

dans ton esprit cacher

ce sentiment r'foulé

tu vie et dépéris

dans cette souffrance sans fin 

tu appèle et supplie

pour enfin lacher c'join

mais tu te déchire

de ce manque vital

entrain de te détruire.

Puis un plaisir banal, 

p'tètre un pilon roulé,

une bière décapsulé,

ou une belle a aimer .

De tout sa tu n'a rien 

meme ton ame tu la plus

seul les pretres deviennent saint

et t'en est encore loing

A présent plus rien

sur  terre  ne te retient

Le vide de ton corps

comblé par la mort