Chapitre quatrième :

PDV Jackson :

Sur un commun accord nous avons décidés que je dormirait sur le canapé et lui sur le grand lit. Je n'ai même pas protesté, je suis un invité. Certes je suis chez moi, mais dans le contexte, je suis et je reste un invité. Les invités n'ont pas la chambre principale,ils se contente de la chambre d'ami s'il y en a une ou comme moi : du canapé du salon. Je sais que ça sonne comme un reproche (ça sonne même totalement comme un reproche), mais ce n'est pas du tout le cas. Je suis très reconnaissant envers Mark de me permettent de dormir ici, il est très gentils et je sens qu'il veut vraiment sympathiser avec moi !

Durant la nuit, je n'ai pas arrêter de penser à ce que j'étais entrain de faire. Je vis avec la personne qui à loué mon appartement et il ne recevra rien en échange. Je veux dire, je n'ai rien à lui rembourser. Pour cesser de me prendre la tête, je décide donc d'ouvrir mon ordinateur portable. Heureusement malgré la pluie il n'a rien prit, car c'est le cœur même de toute mon affaire. J'ai donc ouvert ma boîte mail, et une vingtaine de ceux-ci m'assaillir. Demain, je devais récupérer un appartement, le nettoyé car il allait être reloué le jour-même. Donc il me faut terminer de m'occuper des mails pour dormir et me réveiller demain assez tôt pour pouvoir m'occuper de mon autre appartement qui est pour arranger le tout à l'autre bout de la ville...

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C'est donc dans les temps mais avec d'énorme poche sous les yeux que je nettoie de fond en comble ce petit appartement bas de gamme.Les gens ne savent vraiment pas se tenir ! Mark m'avait proposé de m'aider, mais je l'ai vite remis sur le droit chemin lui disant que « Les travaux de femmes ne doivent être fait par un homme que s'il a pêché », il a serrer les poing et a commencer à déblatérer tout une campagne féministe donc je refuserais de dire la fin...

Mark arriva de la salle d'à côté puis dit :

« Bon, la salle de bain et les toilettes c'est bon. Ça m'étonne que soit les deux salles les plus propres ! Comment deux personnes, en moins d'une semaine, peuvent dégueulasser autant leurs logement sans s'en rendre compte ?

-Ils font peut-être partit d'une secte de la saleté où l'œuvre du mal serais la maudite serpillière, et leurs dieu serait la sainte pourriture, leurs messie « La poussière ». »

Mark ricane, pose les outils de nettoyage et vient s'asseoir sur le canapé que je venais de faire.

« Nan sérieux Mark ! Je viens de le faire !Il se releva en sursaut

-Désolé, je croyais pas que la soubrette était si pointilleuse ! » dit-il en soufflant

Je le regarda avec un regard carnassier, une soubrette ! Et puis quoi encore ? Il s'est lever en lenteur, qu'es-ce qui lui prend aujourd'hui ? C'est lui qui a insisté pour venir, il a pas a se plaindre !

« Tu as insisté pour venir Mark, donc tes plainte..

-Mais je n'ai rien dis ! Merde ! Même si j'ai rien fais, tu sais quoi ? Je t'invite au restaurant demain, pour me faire pas donner de je ne sais pas trop quoi. T'es content ?

-Heu..Oui.. Mais pourquoi demain ?

-J'ai vraiment la flemme aujourd'hui, je préfère que tu fasse à manger. Il me fit un clin d'œil. Au moins finissons aujourd'hui.

-Okay,mais où ?

-J'en sais rien, monsieur de pro de Hong Kong va nous trouver un coin sympas pour manger tout les deux ! »

Je lui souris nerveusement, j'ai été plutôt dur avec lui. Il arien fait, le me suis énervé sur lui et il l'a bien prit et s'excuse en me payant un resto. Je culpabilise beaucoup. Il est adorable avec moi et moi je lui mène la vie dure... Il commençais à partir quand je lui dis :

« Mark ! Il s'arrêta et se retourna.

-Hum. Dit-il avec un mouvement de tête.

-Excuse-moi, tu m'héberge alors que tu aurais pu me laisser pourrir dehors. Et je suis trop dur avec toi.

-C'est rien, je peux comprendre que tu sois à cran avec ton boulot. En plus c'est toi qui nous fais des petits plats tous aussi délicieux les uns que les autres.

-D'ailleurs, le resto ça tien toujours ? Dis-je gêné. »

Puis il a ricané, encore. C'est mignon, probablement que si j'avais été homosexuel je serais tombé amoureux de son rire. Quand j'y pense il doit être en couple non ? Quand je lui ai parlé d'inviter des filles il m'a dit qu'il n'en avait pas besoin.. Mais pourquoi n'est-elle pas venue avec lui ?

« Mark, je peux te poser une question ?

-Hum ? »

On entendit sonner à la porte, je me suis donc rapidement dirigé vers la porte pour finalement l'ouvrir. Ah mes nouveaux clients..Bon, souris !

« Ah ! Bonjour, je vous attendais justement !Vous êtes Madame et mademoiselle Plantier c'est bien ça ?Les touristes françaises ?

-Oui c'est bien ça !

-Eh bien entrez ! »

PDV Mark

Que voulais-t-il me demander ? Rha, je lui demanderais ce soir à la maison. On dirait un couple « Allez ! On rentre à la maison ! », je souris à cette idée. Puis relève la tête. Ces deux touristes sont typées caucasiennes. Plutôt grandes,presque aussi grande que Jackson et moi.. En parlant de lui il leursparle dans ce qu'il ressemble à du français.

« Bonjour ! Me dis l'une d'elle. Je répond donc difficilement.

-Bo..Bonjour, dis-je en m'inclinant »

J'avais raison, du français. Je m'y connais très peu en français,seulement les petites choses de la pop culture : Baguette,Paris, bonjour et sacre-bleu ! Puis elles se sont mise à chuchoter quelque chose entre elles. Jackson avait l'air attendrit et s'est mit à sourire.

« Hum, dis-je avec un mouvement de tête à son intention.

-Elles ont dit qu'elle te trouvais mignon, répond-il dans la langue de ma famille. Je n'ai pas tout compris mais ça devais y ressembler, lors des dîners en famille ma grand-mère prenais toujours mon visage entre ses mains pour finalement dire que je devenais de plus en plus mignon. »

Alors j'ai souris aussi en le regardant, pas un regard intense et immensément gênant, non, il regard tendre et plein de gentillesse.Puis j'ai finalement ré-dirigé mon attention sur les deux locataires. Après m'être présenté, en anglais cette fois-ci, je suivis la triade pendant la visite. Ce qui dura une dizaine de minutes, bien sur, je n'ai compris un traître mon de ceux que disais Jackson. Enfin si, quelques mots qui me semblais transparent avec l'anglais mais dont je ne parierais rien, on se fait trop souvent de faux amis. Au retour, comme à l'allée, Jackson me faisais par d'anecdotes sur la ville ainsi que de petites aventure qui lui ai arrivé durant sa « carrière ». Durant le voyage un vent frais se mît à montrer le bout de son nez, de façon plutôt violente. Sur le coup d'un frisson plutôt désagréable que je décide de serrer Jackson dans mes bras, en me mettant dans son dos.

« Mais enfin, qu'es-ce que tu fais Ge* ?

-J'ai froids.. J'ai besoin de chaleur. Dis-je d'humeur boudeuse.

-Alors viens devant, que ce sois moi qui te protège du froid et qui te donne chaud. »

Si tu savais Jackson, que tu me donne chaud rien qu'en prononçant ces mots, si seulement tu savais!

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*Diminutif de Dage, grand frère. Équivalent de Hyung.

HEY ! Je suis de retour pour le 4° chapitre ! Je m'excuse d'avance de ne pas avoir poster plus tôt, mais avant la rentrée ma mère m'a priver d'internet sur mon ordinateur !

En tout cas j'espère qu'il vous a plus, merci de lire mon histoire !C'est toujours avec un immense plaisir qu'à chaque nouvelles publication je vois de plus en plus de nouveaux !

N'hésitez toujours pas à me conseiller pour peaufiner ma plume !

A la prochaine fois pour le chapitre cinq !