"Bulle"
Les lueurs du passé qui me suivent, lentement,
Souvenir du cauchemar, infiniment.
Suis moi, je te fuis,
Fuis moi, je te suis.
Remords d'un échec qui consume mon âme.
Mais je veux un rêve qui encore me blâme.
Le souffle du vent qui m'emmène plus loin,
Le rose pâle des lueurs du matin.
Constat critique du dédain des anges,
Le froid balayant mes joues endolories.
L'éveil du soleil dans le rose cotonneux des cieux endormis,
Honorant de teintes romantiques l'union prestigieuse de Gaïa et de l'Olympe.
Petite bulle, refuge sacré qui m'isole du monde.
Et la nuit, j'observe cet astre blanc et lumineux, la Lune ronde.
Dans un penchant de mélancolie je m'enivre,
Je respire doucement, me redonne envie de vivre.
Nous n'avons pas d'avenir sans espoir, ni d'espoir sans rêves.
L'ignorance est fléau de notre monde égoïste,
Insensible, insensés, on dévale dangereusement la piste.
Dédié à Calicef
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