C' était lundi , Kara était assise sur sa chaise . Elle l'avait les bras croisés et semblait pensif .
<< j' ai décidé de partir , disa Katherine . Je ne veux pas t' attirer les ennuis !
- Tu me l' as déjà dis , rétorqua Kara .
- Oui , répliqua Katherine . Mais tu ne réagis pas . On dirait que tu es ailleurs !
Kara se leva de sa chaise .
- Tu sais Kat , déclara kara . Maintenant , je suis dans les problèmes et même jusqu' au coup !
- je ne voulais pas , s'excusa aussitôt Katherine .
- Arrêter de t' excuser , répliqua kara . Ce qui est fait , est fait ! Il faut qu' on trouve une solution !
- Une solution ? rétorqua Katherine . C' est mon problème . Tu n' as ...
Kara alla vers Katherine . Puis elle la regarda droit dans les yeux et rétorqua aussitôt :
- Ce n' est plus ton problème mais le mien ! Imagine si les Zorros ont vu l' immatriculation du taxi avec lequel je travaille ?
Puis kara pausa un moment et ajouta :
- À la seconde que tu quitteras cette maison , quelqu' un risque te reconnaître !
- C' est pour cette raison que je dois partir maintenant , répliqua
Katherine . Je me débrouillerais pour ne pas être reconnue .
- Ne sois pas stupide kat ! Rétorqua Kara . Même si tu as de l' argent . Je te parie que la plupart sont des cartes bancaires . Les billets finissent vite et tu risques attirer l' attention des voleurs ou de ceux qui veulent avoir la récompense de ton père .
Elle pausa et ajouta :
- Ce qu' il faut , C' est un plan .
Où comptes tu aller ?
- Je n' y ai pas trop réfléchis , répliqua Katherine . Je l' ai fais sur l' instant . C' est plutard , que j' ai eu l' idée d' une destination .
- Et c' est où ?rétorqua Kara .
- Londres , répondit Katherine .
Kara roula les yeux .
- je penses que tu ne comprends pas vraiment ce qui se passe , rétorqua Kara . Tu ne pourras pas franchir la frontière et t' y rendre . La police , les gardes côtes sans doute les services militaires ont une photos de toi . Il te faut un plan !
Katherine regarda un moment kara .
- Cela signifie que tu veux m' aider . Disa Katherine avec hésitation .
- Si ton père veut te mettre dans un mariage forcé comme tu me l' as expliqué hier , déclara kara . Tu as le droit de t' y opposer .
Katherine sourit .
- Merci de me comprendre , répliqua Katherine .
- Ne remercie pas si vite ! Rétorqua Kara . Tout çà ne sens pas bon ! Je sens que c' est un très gros problème !
Elle pausa et ajouta :
- j' ai un plan . >>

Quelques trente minutes plutard , un individus frappa à la porte et kara alla ouvrir .
<< Léa , s' exclama kara . Je suis fière que tu es pu te libérer .
- Tu m' as appelé hier soir , rétorqua Léa . J' avais l' intention de passer dans la soirée puisque je me suis dis qu' Aphrodite ne pourra pas venir aujourd'hui .
Kara ferma . Léa alla vers Katherine qui était assise sur le canapé .
- Alors Aphrodite comment vas tu ? questionna Léa . Kara a réussi à t' ennuyer et sa tête de tomate farci t' ennuyais déjà ?
- C' est çà ! S' exclama kara . Tu n' es pas drôle Léa !
- Et toi tu fais fuire chacun qui t' approches ! Rétorqua Léa . Je suis la seule amie que tu as dans cet existence karalinda !
- je te déteste Léo ! Répliqua kara .
- Léo ? murmura Katherine , qui regardait kara et Léa qui se disputaient ou se parlaient . À vrai dire , Katherine ne savait pas trop . Elle buva son verre de jus d' orange .
- Tu es de la pire espèce , répliqua Léa . Et je suis venue pour Aphrodite ainsi ?
- J' ai gagné , murmura kara . Cette fois-ci , j...
Kara fronça les sourcils quand elle vit Léa qu' il l' ignora et s' asseya sur le canapé avec Katherine .
- Eh ! S' écria kara . Tu ...
Kara bredouilla quelques mots et les rejoignit . Elle s' asseya sur le tabouret qui était à la droite de la table basse .
- Maintenant quel est le problème ? Disa Léa .
Katherine regarda kara . Puis ....
- il faut lui dire kat . Déclara kara . Elle l' est notre plus grand atout !
- Me dis quoi ? Disa Léa qui regarda de Katherine à kara .
Après un moment .
- Bon , je m' apprêtes à te dire quelque chose de vraiment important , déclara Katherine . Promets moi que même si tu refuses de m' aider , tu ne diras à personne ce que je viens de te dire !
Léa fronça les sourcils .
- D' accord , là tu commences à m' inquiéter , répliqua Léa .
Katherine insouffla . Ensuite , elle regarda Léa .
- Ce n' est pas vraiment un problème , répliqua Katherine . En faites cela dépend de quelle manière tu verras cela .
- Kat , on n' est pas dans un film , rétorqua Kara qui commençait à s' impatienter . On n' a pas toute la journée . Dis lui et on réfléchira après !
Katherine soupira .
<< Toujours aussi aimable , pensa Katherine . >>
Elle regarda Léa .
- C' est une longue histoire , déclara Katherine . Je vais te raconter le résumé . >>

Quelques minutes plutard ,
<< Je vois . Déclara Léa .
Puis elle se leva et regarda kara . Ensuite , elle alla vers kara et la saisit par le bras .
Elle l' amena kara hors du salon . Les deux se dirigèrent vers le salon de cuisine .
Après un moment Léa , lâcha le bras de kara .
- Tu as kidnappé une princesse karalinda ! S' écria Léa qui regardait kara dans les yeux .
Je savais que tu étais un cas désespéré mais j' ignorais que tu l' étais encors plus !
- Je ne l' ai pas kidnappé ! Riposta kara . Chaque chose c' est passé comme elle te l'a raconté !
Léa regarda kara un moment . Elle plia les yeux . Puis ...
- Je vois , déclara Léa . Qu' est ce qui me dit que tu ne l' as pas forcé à dire tout çà ?
Kara leva les bras d' exaspération.
- Je ne connaissais même pas son existence avant qu' elle l' entre dans mon taxi , rétorqua Kara . Comment veux tu que je la kidnappe ?
Léa la regarda un moment . Elle semblait comme réfléchir . Puis ...
- Je ne te crois toujours pas !
S' exclama Léa . Propose moi mieux ! .
- Tu ...
- Léa , kara ne m' a pas kidnappé , interrompit Katherine , qui était maintenant au seuil de la cuisine . Elle les avait suivi .
Léa et kara se tournèrent vers elle . Katherine entra dans la cuisine . Elle alla vers Léa qui était à côté de kara qui se trouvait devant le réfrigérateur .
- Je dis la vérité , déclara Katherine à Léa , une fois qu' elle fut à côté de Léa .
Je me suis échappée de la prison doré dans laquelle je vivais depuis des années . Je suis la seule responsable de mes actions .
Léa regarda Katherine et kara tour à tour .
- Vous êtes aussi folles l' une que l' autre ! S' exprima t elle .
Puis elle pausa un moment et regarda les deux et dit :
- J' accepte d' être dans votre plan mais je veux être la dame d' honneur à votre mariage >> .
Puis elle quitta la cuisine laissant Katherine et kara dans la cuisine .
Après un moment , kara fronça les sourcils .
<< Eh , je ne suis pas gay ! S' exclama t elle >>
Puis elle quitta de la cuisine .
Katherine qui était seule maintenant , juste roula les yeux à la réaction de kara .
Une heure plutard , kara , Léa et Katherine étaient assises autour d' une table ronde à l' aile gauche du salon .
<< J' ai l' impression d' être dans une de ces légendes arthuriennes ! Déclara Léa .
Kara , la main à la joue , roula les yeux .
- On dirait << un geek >> , marmonna kara .
- Tu n' es qu' une grincheuse Arthur ! Répliqua Léa .
- Je ne suis pas dans une légende celtique ! Rétorqua Kara . Tu pourrais ...
Léa ignora complètement kara . Kara croisa les bras et grogna dans son coin .
- Tu pourrais être Geneviève , Katherine , disa Léa .
Katherine sourit parce que pour une fois Léa venait de prononcer son prénom . Malgré que Katherine était flattée d' être associée à une déesse grec connue pour être la déesse de la beauté et de l' amour . Cette dernière préférait son prénom .
Après tout , elle s' appelait Katherine , pas Aphrodite mais Katherine avait l' impression qu' avec l' enchaînement des événements , elle saurait obliger peut- être d' oublier son prénom .
- Surtout pas de lien avec kat et moi , répliqua immédiatement kara . Je suis ...
- Oui , je sais , coupa Léa . Tu es aussi hétéro qu' Harry styles et moi je suis la réincarnation de Napoléon Bonaparte !
Kara roula les yeux .
- Tu serais plus la réincarnation de Donald ! Rétorqua Kara , le sourire aux lèvres .
- Toi , tu ferais parfaitement Néron ! Répliqua Léa . Tu es aussi désagréable que lui !
- je ne suis pas désagréable ! Rétorqua Kara . Tu es aussi insupportable que César !
- Très drôle , Nabuchodonosor ! Répliqua Léa .
- Nabucho ...........quoi ? disa kara , qui n' avait pas trop compris le prénom qu' on venait de lui dire .
- Tu es une vraie païenne ! Répliqua Léa . Tu devrais expier tous tes péchés en lisant la bible .
- La bible ? rétorqua Kara .
Elle se mit à rire . Elle ria si fort que Léa juste roula les yeux , tandis que Katherine ne pouvait s' empêcher de sourire aux deux amies qui étaient presque tout le temps entrain de se disputer .
- En faites vous vous appréciez au fond ! Disa Katherine .
Kara et Léa la regardaient puis kara juste pouffa .
- Elle l' est insupportable , disa Léa . Mais il faut bien que quelqu'un l' apprenne quelque chose .
- Apprendre ? rétorqua Kara . Tu veux parler de tes fantasmes celtiques !
- On dit mythologie ! ignorante ! Riposta Léa . Ton ignorance est un crime .
- Et ton égo est si grand que l' univers ne pourrait le contenir , rétorqua Kara .
- Je crois que kara gagne un point ! S' exclama Katherine .
Kara sourit .
- C' est normal que tu le penses , rétorqua Léa . Après tout Geneviève supporte toujours Arthur !
- je ne suis pas Arthur ! Rétorqua Kara . Et arrête tes références mythologies Médusa !
- Médusa ? Vraiment ? répéta Léa . Et c' est moi qui suis la geek ?
Kara savait que Léa finalement l' avait eu .
- Alors ? kara ? ajouta Léa , le sourire sournois .
- Je te déteste , marmonna kara , qui croisa ses bras et détourna son regard d' exaspération .
- Bon , maintenant , disa subitement Léa . Quand tu finiras gros bébé de bouder , tu pourras me dire quel est le fameux plan pour lequel tu sembles indispensable ma présence ici .
Katherine regarda kara qui boudait dans son coin . Après un moment , kara finit par juste marmonner quelques mots incompréhensibles . Ensuite , elle prena la parole .
- Bien , disa kara . Et je ne boudais pas !
- Biensûr , murmura Léa , les yeux enjoués .
Kara la regarda .
- Quoi ? disa Léa . Continue ! Tu n' as vraiment pas encore dit quelque chose et j' ai un salon qui m' attend .
Kara roula les yeux .
- je m' apprêtais à dire mon plan , rétorqua Kara .
Elle pausa et ajouta :
- Comme tu connais , les photos de Katherine sont partout !
- Je n' ai pas le temps de regarder la télévision , disa Léa . J' ai un salon à gérer !
- En gros Néandertalien , murmura kara . Je n' ai pas fini .
- Je n' avais pas remarqué Raspoutine , répliqua Léa , le sourire malicieux .
- Tu ...
- Kara juste continue ! Coupa Katherine qui lança un regard intimidant à kara .
Kara envala la salive , tant le regard de Katherine était intimidant .
- C' est vrai , déclara kara qui racla sa gorge au préalable .
Je ...
- Soumise , murmura Léa .
Katherine ressenta que kara voulait réagir . Elle la fixa d' un air dure . Elle l' avait l' habitude d' utiliser ce regard quand elle était au manoir . C' était plus quand elle était en colère que telle chose n' avait pas été mise comme elle le voulait .
Après tout , cela est juste du passé . Cela pesa un peu pour Katherine . Elle se rendit compte que kara était entrain de parler à nouveau . Elle essaya d' oublier et d' ignorer la douleur qui la rongeait et se concentrer sur la mission ou plutôt le '' fameux plan ''.
- Donc , continua kara .
J' ai eu une idée . Bien l' idée m' est venue hier soir et ...
- Peux- tu faire court Nostradamus ? interrompa Léa . Je n' ai pas un siècle à vivre !
Katherine soupira .
- Avant que tu m' interrompes << Stupidulus >> , Disa kara , qui regarda Léa d' un air malin . Je m' apprêtais à dire ...
Elle insouffla un moment . Puis ...
- Crache le morceau ! S' exclama Léa . Tu sais , je peux aussi payer un orchestre pour atteindre un siècle pour que tu me dises ton fameux plan .
Elle ajouta :
- Il l' a intérêt à être intéressant !
- Mes plans sont toujours géniaux ! Se défendit kara .
- Ouaih ! Rétorqua Léa . Et moi je suis l' incarnation de Thor et je me promène avec mon marteau !
Elle pausa un moment et ajouta :
- Ah ! Je l' ai oublié !
- Tu n' es pas amusante , répliqua kara .
- Ce n' était pas le but , marmonna Léa .
- Dis ...
- Kara et si tu disais ton plan , coupa Katherine . On est assise depuis un moment et je commence à avoir faim .
- D' accord ! Rétorqua Kara .
Comme chacun est impatient ! Je dirai alors mon fameux plan !
Elle fit une pause et dit :
- Mon idée est ...>>

À 16 h 40, vers une ancienne usine de peinture ; le paysage du lieu était désertique ; le bâtiment semblait isolé du monde . Des arbres et des herbes étaient le décor qui constituaient le tableau de ce paysage .
Près de l' usine , trois à quatre hommes vêtus de blouson en cuir regardaient d' un air menaçant . Ils tenaient des armes de gros calibres en leur possession . Un tatouage représentant deux serpents qui se mordaient , était visible au niveau de leur cou .
Soudain , deux voitures vinrent vers cet endroit à l' apparence perdue . La voiture noire << une Ford >> spacieuse de devant ouvrait le bal . La voiture au milieu était << une Lamborghini Aventador >> rouge sang et derrière la célèbre voiture italienne , une voiture noire << Ford >> également la suivait de près .
Après quelques minutes , les trois voitures quittèrent la route et traversèrent la large cour qui s' étendait devant l' usine ; puis les trois voitures après quelques mètres parcourus sur la cours , ils s' arrêtèrent à quelques mètres de l' entrée .
Quelques instants plutard , seul le chauffeur de la Lamborghini sorta .
Il était vêtu d' un costume sur- mesure italien de couleur pourpre . Au contact des rayons du soleil , il mit ses lunettes noires ; puis il arrangea la mèche blonde rebelle .
D' un pas lent mais intimidant . Il se dirigea vers l' entrée chaussé de Richelieu .
Il monta l' escalier en fer tournant au trois quart , arriva sur le palier ; il se dirigea droit devant lui . À quelques mètres , deux hommes armés de mitraillettes le dévisageaient . Ils avaient le regard dur et leurs visages balafrés ajoutaient plus à la figure de terreur qui essayait de dégager .
Quelques minutes plutard , le jeune homme blond vêtu de sa veste en pourpre se trouvait devant les deux hommes qui gardaient l' entrée munis de leurs mitraillettes .
Il retira ses lunettes noires . Les deux hommes croisèrent le regard froid et vert du jeune homme .
Après un moment , les deux hommes se regardèrent et laissèrent le jeune homme passé .
À l' intérieur de l' usine , le décor était autre .
Il descendit l' escalier à quelques mètres de lui ; puis il arriva vers le centre de l' usine . Tout un atelier y était installé ; de fausses monnaies étaient scrutées et vérifiées par des hommes et quelques femmes possédant des appareils spéciaux à infrarouge . Il traversa cet endroit et se rendit vers l' aile gauche , monta un autre escalier , et croisa des hommes armés qui surveillaient attentivement le travail effectué par les individus en bas .
Bientôt , après avoir emprunté un couloir juste éclairé par des lumières fluorescentes ; il arriva à l' autre compartiment .
là , des hommes vêtus d' un ensemble bleu et de casquettes transportaient par chariot des sacs blancs de cocaïne pure . Le jeune homme alla vers le palier de l' escalier qui s' étendait à gauche comme à droite . Le jeune regarda en bas et semblait chercher quelqu'un . Quand il retrouva la personne qui cherchait , il afficha un large sourire .
Il descendit l' escalier qui était à sa droite . Arrivé en bas , il se faufila parmi les bureaux artisanaux où des individus semblaient emballés de la cocaïne pure .
Après quelques minutes , il arriva vers l' endroit où se trouvait la personne qu' il cherchait . Cet individus était vêtu d' une chemise à fleurs jaune . Il portait un chapeau en paille et des sandales au pieds . Il grondait un des employés .
Il vit quatre hommes qui entouraient un jeune homme d' origine asiatique sans doute d' une vingtaine d' année . D' après les traces qui pouvaient être observées sur son visage , il l' a été battu .
<< Alors Jimmy , je vois que tu es en plein affaire , disa le jeune homme blond .
Le dénommé jimmy s' arrêta de gronder le jeune homme asiatique quand il suivit la voix .
Il se retourna vers l' individus qui était derrière lui .
- Auguste ! S' exclama t il , le visage plus détendu .
Il alla vers Auguste et le prit dans ses bras . Ensuite cessa l' étreinte , il ajouta :
- Je vois que tu as encors gagné en muscle .
- Il le faut bien , répliqua Auguste . Disons qu' une formation à quinze ans à l' armée vous forme .
- Ah ! Rétorqua jimmy . J' oublie parfois , que tu étais dans l' armée . >>
Puis il fit un signe de la main aux quatre hommes qui entouraient le jeune homme asiatique .
<< Dégagez moi ce parasite de là ! Ordonna t il .
- Monsieur ... >>
L' asiatique n' eut le temps de terminer sa phrase que deux des quatre hommes qui l'entouraient le frappèrent . Ensuite , il le fit transporter de force hors de l' endroit . Malgré ses cris et ses supplications , il s' éloignait entraîné par deux hommes armés et par deux autres hommes derrière lui .
Éric eut un sourire satisfait . Juste après , il regarda Auguste qui regardait la scène , il lui dit :
<< C' est un mauvais employé . Tu sais à quel point , j' en ai horreur ! C' est comme de la teigne , il faut s' en débarrasser à l' instant même pour que la mauvaise habitude ne contamine pas mon affaire .
Auguste hocha la tête .
- Je te comprends mon ami , moi même j' en ai horreur , renchérissa Auguste . Jimmy sourit et mit sa main sur l' épaule d' Auguste .
- Alors qu' est ce qui t' amène ici Auguste , déclara Jimmy .
Auguste balaya son regard brièvement autour .
- Je préférerais t' en parler dans ton bureau , déclara t il . >>
Éric regarda autour ; il appela d' un geste de la main un jeune homme qui était entrain de parler à un ouvrier qui emballait la cocaïne . Il vint aussitôt quand il sut que Jimmy : le patron l' appelait .
<< Thomas , ordonna Éric , au jeune homme brun latino . Tu surveilles ! Surtout , ne mets pas ton oeil partout . Compris ?
Thomas acquiesça .
Éric le tapota l' épaule et dit :
- Bon , garçon ! >>
Thomas quitta pour accomplir la tâche qui lui avait été confiée .
Pendant ce temps Éric et Auguste quittèrent le premier atelier et s' éloignaient par un couloir .
Quelques instants plutard , dans le bureau d' Éric ...
<< Si je comprends bien ton beau père a perdu sa petite princesse , disa Éric . Et toi comme le parfait gendre tu t' es proposé de la retrouver .
- C' est exact ! Répliqua Auguste . Puis il se leva du fauteuil en osier .
- Il faut que je la retrouve , déclara t il . C' est pour çà que j ' ai pensé à toi .
- le beau père , ne connait pas mon existence sans doute ? rétorqua Éric .
- Je lui ai dis que je ferai appel à mes agents secrets . Répliqua Auguste .
- Agents secrets ? rétorqua Éric . Intéressant .
Après un moment ...
- Qu' est ce que j' y gagne à rechercher Cendrillon ? disa Éric .
Auguste se rapprocha de la table et répliqua :
- Il l' est important que tu la trouves pour que le mariage est lieu . Dès que le mariage sera fait , j' aurai une majorité de ces biens et le trône . Ensuite , il ajouta :
- Quand je serai roi , je t' octroyerai des terres et m' occuperai de la police ainsi tu pourras faire tes affaires sans craindre aucun force de l' ordre . Alors ?
Éric sembla pensif . Il massa son menton ; puis il se leva et alla à l' armoire qui était à gauche de la fenêtre . Il ouvrit un tiroir et en sortit un paquet cuivré . Il referma le tiroir et déposa le paquet sur la table . Il prit le couteau qu' il l' avait mit à l' intérieur de sa chemise , ouvrit le paquet et en sortit deux cigares . Il coupa les deux cigares .
Ensuite , il alla vers Auguste et lui en donna un . Il plongea la main dans la poche de son pantalon à fleuri également ; il sort un briquet . Il alluma les deux cigares .
- J' accepte ton offre Auguste , déclara Éric . Ne t' inquiète pas ! Je retrouverai ta Cendrillon .
Auguste eut un sourire sournois .
- Elle m' importe peu , répliqua -t- il . C' est son héritage qui m' intéresse . >>

Quelques heures plutard ,
quelques kilomètres plus loin , à la demeure de kara .
La nuit enveloppait la cité . Katherine était assise sur le canapé et observait kara qui était à la fenêtre .
<< Elle l' avait dit qu' après avoir fermé le salon , elle arriverait ici .
- Je sais Kat , répliqua kara . Mais je commence à m' impatienter et je te rappelle qu' il l' est 20 h 00 .
- Tu sais kara , rétorqua Katherine . Tu fais tant pour moi et je ne sais pas comment je pourrai te remercier après cela .
Kara se tourna vers elle .
- Je t' ai dis , rien est gratuit , répliqua kara . Ainsi , arrête de me remercier si Léa t' entend , elle finirait par penser que je suis devenue tendre .
- Mais tu es gentil , répliqua Katherine . Tu es une bonne personne kara .
Kara sembla se perdre un moment dans les yeux verts émeraudes de Katherine .
- Le penses - tu vraiment ?>> questionna kara qui regardait Katherine droit dans les yeux .
Kara ne sait pourquoi mais quelque chose à cet instant était entrain de se passer .
Soudain , on frappa à la porte ; les deux sortirent de leur hypnotisme .
<< Je vais ouvrir , disa kara à l'endroit de Katherine .
- Oui , je pense que tu devrais , répliqua Katherine qui semblait aussi touchée . >>
kara ouvrit la porte et Léa entra .Elle l' avait un panier en osier avec elle . Elle alla vers la table basse qui était devant le canapé sur lequel était assis Katherine .
<< Bon , j' ai apporté quelques truc , disa Léa . J' ai dû fait appel à une de mes connaissances dans ... >>
Léa s' arrêta de parler quand elle ressentit la soudaine tension . Elle regarda entre kara et Katherine .
- Ai je interrompu quelques chose ? S' exclama Léa . Si c' est le cas , je reviendrais demain . Le temps que vous ayez expulsé toute la frustration sexuelle que vous deux dégagez !
Katherine et kara rougirent .
Après un moment ...
- Je ne suis pas gay ! Cria kara .
- C' est çà ! Aussi hétéro qu' Harry styles , rétorqua Léa .
Katherine était toujours silencieuse . Kara marmonna un instant .Puis ...
- Je te laisse avec Katherine , déclara t elle. Je vais nourrir le chien . >>
Elle quitta le salon avant que Léa ne puisse réagir . La réaction de cette dernière ne se fit pas attendre , elle regarda Katherine .
<< Depuis quand elle l' a un chien ? murmura Léa . >>

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