Horreur

Après un mauvais divorce et la perte de son emploi, un homme à décider de recommencer sa vie dans un petit village loin de tout. Il se trouva une merveilleuse maison à deux étages pour une petite somme et le lendemain, il avait déjà terminer de si installer. Il prit donc le reste de sa journée pour visiter l'endroit pittoresque et se présenter à la petite population. Tout était parfait, sauf lorsqu'il mentionna la maison qu'il venait de s'acheter proche d'une forêt. Aussitôt, les habitants du village l'observait étrangement, puis une vieille dame lui donna un conseil.

"Si on cogne chez vous cette nuit, n'allez pas répondre."

Intrigué et confus l'homme répondit par un sourire avant de retourner à sa demeure. Le soir venu, il alla ce coucher oubliant déjà ce que la vieille dame lui avait conseiller.

Toc toc toc.

Il se reveilla au son d'une personne qui cogna à sa porte. En regardant l'heure, il se rendit compte qu'il était dépasser minuit depuis longtemps.

Toc toc toc.

Qui pouvait bien cogner à la porte a une heure pareil. Il baille, enfila ses pantoufles.

Toc toc toc.

Il descendit au premier pour ouvrir la porte. Derrière, une jeune fille d'environ cinq ans, de long cheveux blond et des yeux d'un magnifique vert. Elle semblait avoir pleurer récemment.

"Monsieur, je me suis perdu."

"Ah... euh... entre. Il fait froid, entre."

Il laissa la petite fille entrer dans le salon avant de refermer derrière elle et de bien barrer la porte.

"Connais-tu le numéro de tes parents? On va les appeler."

"Non."

"Et ton adresse?"

"Non, plus."

"Ok... euh... tu vie dans ce village?"

"Oui."

"Bon, demain on ira faire le tour du village retrouver tes parents, en attendant couche toi sur le divan."

Il lui amena un oreiller et une couverture avant de la border et retourner ce coucher. Au matin, lorsqu'il alla voir dans le salon, l'oreiller et la couverture était toujours sur le divan, mais la petite fille avait disparu. Il fit le tour de la maison sans la trouver, ce qui était étrange, car la porte d'entrée était encore barrer et si elle était sortie pendant la nuit, elle n'aurait pu la barrer de l'extérieur.

Il commença sa journée malgré tout interrogeant les gens qu'il croisait dans la rue sur la petite fillette blonde de la veille. Personne ne su lui répondre et on commença à l'eviter comme la peste. Il commença à se dire que son apparition la veille n'était que son imagination et le soir s'en alla se coucher sans stress.

Toc toc toc

Il ouvrit péniblement les yeux pour regarder l'heure sur son réveil. Encore une fois, il était minuit dépasser.

Toc toc toc.

Il grogna en ce mettant sur pied et alla répondre à la porte. Cette fois ci, une jeune femme d'environ 20 ans ce trouvais derrière la porte. Elle avait les même cheveux blond et yeux vert que celle de la veille. Sa soeur ou sa mère peut-être, ce dit-il avant de se rappeler qu'il avait classer la fillette de l'autre jour dans la catégorie hallucination.

"Navré de vous déranger monsieur, mais je me suis perdu."

L'homme l'observa la bouche légèrement ouverte devant la jeune femme.

"Vous voulez appeler quelqu'un?" Lui dit-il incertain.

"En fait, serait-il possible que je reste juste cette nuit? C'est qu'il tard et, je ne veux pas rentrer chez moi pour le moment."

"Pourquoi?"

"Mon père est violent avec moi et ma mère."

"Vous voulez qu'on appelle la police?"

"Non, j'aimerais juste une endroit où dormir, s'il vous plait."

L'homme acquiesça avant de la laisser entrer. La pauvre, sa plus vieille approchait son âge et il se dit qu'il aimerait qu'une bonne âme l'héberge si elle ce trouvait mal prit. Il lui offrit oreiller et couverture avant d'aller se rendormir. Au matin, la jeune femme avait disparu laissant la porte de sa maison grande ouverte. Qu'est-ce qui c'était passé cette nuit pour qu'elle fuit ainsi à la hâte sans prendre la peine de refermer derrière elle?

Il continua néanmoins sa journée tentant d'oublier cette évènement, mais a la troisième nuit dans sa nouvelle demeure...

Toc toc toc.

Il ce leva d'un coup ronchon pour constater qu'il pleuvait des cordes à l'exterieur et alla ouvrir pour demander à ce qu'on le laisse dormir tranquille. Mais lorsqu'il ouvrit la porte, il vit la plus belle de toute les femmes du monde. Ses cheveux blond était attacher en chignon sur sa tête et ses merveilleux yeux vert était entourer de jolie petite ride. Son sourire était doux et elle semblait si bienvaillante.

"Navré de vous dérangez si tard monsieur, mais je reviens de chez une amie et avec la pluie et tout, je crains que je me suis perdu."

"Vous n'avez pas de voiture?"

"J'aime marcher."

"Vous n'avez pas de parapluie?"

"Non, je ne pensais pas qu'il pleuvrait autant."

"Ok, entrez vous réchauffer. Vous voulez du thé ou du café?"

"Ne vous déranger pas pour moi, je veux juste rester le temps que la pluie cesse si ça ne vous dérange pas."

"Pas du tout." Répondit l'homme rougissant.

Il l'invita à s'asseoir sur le divan et lui offrit des vêtements sec pour la réchauffer. Ils discutèrent un moment de tout et rien pendant prêt d'une heure avant qu la femme se mets à bailler et l'homme lui proposa de dormir ici, puisque la plus n'était toujours pas terminer. Elle le remercia et se coucha sur le divan pendant qu'il regagnait sa chambre. Son coeur battait la chamade, il était de nouveau amoureux de cette merveilleuse femme. Le lendemain, il se leva rayonnant de bonheur, ce disant qu'il pourrat préparer le déjeuner a la femme si elle était encore assoupie.

Il descendit pour remarqua la froideur du premier étage et constata que non seulement l'amour de sa vie avait disparu, mais elle avait laisser la porte d'entrer grande ouverte ainsi que toute les fenêtres de l'étage. L'air froid du matin le faisait frissonner.

Perturber, il referma tout correctement avant de commencer à stresser. Il fit le tour de sa maison pour s'assurer que rien ne lui manquait. Rien ne lui avait été voler. Il commença à avoir un mauvais pressentiment et entama sa nouvelle journée. Puis en plein milieu de la nuit...

Toc toc toc

Il se leva d'un bond et courut a la porte d'entrée. Cette fois ci, une vieille dame au cheveux blanc et le visage parcouru de ride se trouvait derrière. Ses yeux vert rencontra ceux de l'homme pour lui demander asile. Soudain la vision de la vieil du premier jour lui revient à l'esprit. Si on cogne chez vous cette nuit, n'allez pas répondre. Il fixa la veille un moment.

"Désolé madame, je ne peux pas. Bonne chance."

Puis il referma la porte avant de la fixer espérant que la vieille derrière parte. Il avait se sentiment d'avoir commis une grave erreur. Une très grave erreur. Au matin, il devait retrouver cette vieille femme qui lui avait donner des conseils pour lui demander des explications sur ses manifestations noctures.

Et c'est ce qu'il fit, lorsqu'il revit la vieille au même endroit que la première fois, le lendemain matin.

"Vous avez ouvert la porte."

"Ce n'était qu'une enfant!"

"La première nuit seulement."

"Que dois-je faire?"

"Vous êtes déjà condamner. Partez. Partez loin. Et n'ouvrez plus jamais la porte a ceux qui cogne en pleine nuit."

L'homme rentra donc chez lui encore plus énerver qu'au début. Il allait vendre. Il allait partir loin, mais cette nuit là.

Toc toc toc

Il avait déjà eu la visite de la vieille combien d'année cette femme pouvait encore gagner?

Toc toc toc.

Il ne répondrait pas.

Toc toc toc.

Il ne devait pas répondre.

Toc toc toc.

Il avait peur.

Toc toc toc.

Il était déjà condamné.

Toc toc toc.

Un cadavre c'était sûrement ça qui l'attendait de l'autre coté.

Toc toc toc.

Il se leva d'un bond dévalant les escaliers pour se retrouver devant sa porte d'entré.

Toc toc toc.

S'il n'ouvrait pas de toute la nuit et la laissait cogner, réussirait-il à conjuré sa malédiction?

Toc toc toc.

Mais croyait-il seulement à tout ses mythes?

Toc toc toc.

Peut-être que ce n'était qu'une coincidence que tout les femmes c'était à ce point ressembler malgré les années changeant.

"Il y a quelqu'un?" Demanda une toute petite voix d'enfant derrière la porte. "Je me suis perdu."

L'homme reste immobile à analyser la voix. Elle ressemblait à celle de la petite fillette de cinq ans.

Il ouvrit.

Le lendemain matin, il avait disparu. Laissant tout derrière lui avec porte, fenêtre et armoire ouvert en grand et laissant entrer le hurlement du vent.





Demande spécial de -IxTab-

Basé sur une histoire d'horreur que mes amis et moi on se racontait enfant 😈

C'est pas la plus traumatisante qu'on se racontait🤔

C'était la première fois que j'écrivais de l'horreur, alors soyez indulgent et dites moi ce que vous en avez penser et comment m'améliorer dans cette catégorie 🙃

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