Chapitre vingt-et-un.

Je coupai le contact de mon véhicule après m'être garée dans le parking où Mindy et moi avons l'habitude de fréquenter lors de nos journées "shopping" . Le moteur coupé, mon poste en fis de même, laissant uniquement les sons des gouttelettes de pluies s'écrasaient contre les vitres et les couinement des essuies-glaces nettoyaient mon pare-brise en demi cercle.

J'inspirai profondément, coupa finalement les aller et venus des essuies-glaces. Je me penchai ensuite face au siège passager pour récupérer mon parapluie et sortie enfin de ma voiture. C'est dans un clique sur le bouton de ma clé que je verrouillai automatiquement les portes, dirigeant mes pas jusqu'à la fontaine situait au centre ville.

Les rues étaient quasiment vide.

Le peu de personne qui se trouvaient à cet instant sur le trottoir se presser tous dans leur véhicule pour rentrer chez eux - ce qui ne me surprenait pas - l'averse étant devenant de plus en plus abondante. En toute honnêteté, je me sentais chanceuse. Pas parce que je portai un imperméable et tenait entre mes doigts un parapluie, ce qui me faisait une double protection contre ce temps pluvieux, non.

Tout simplement parce qu'il n'y avait pas de vent.

Quelques minutes plus tard, j'arrivais au pied de la célèbre statue d'Albuquerque - qui était un lion - et qui servait également de fontaine au centre ville. Je levai les yeux au ciel, ne comprenant pas pourquoi l'état de notre ville s'obstinait à garder en marche la fontaine durant les jours de pluies.

C'était idiot et un véritable gaspillage.

Mes orbes vertes voyagèrent à mes alentours, cherchant une silhouette masculine qui pourrait potentiellement ressemblait à Louis. Je crue voir de l'autre côté de la fontaine une carrure qui pourrait ressembler à l'homme que je recherche. Je décidai donc de l'interpeller.

« Lou.. Louis ? » J'inclinai la tête sur le côté, tentant de regarder au-delà de la cascade qui s'écrouler de la bouche du lion. 

Aucune réponse.

Évidemment qu'il ne m'a pas attendue.

Je ne sais pas si je devais me sentir soulager qu'il ne m'a pas attendue ou bien tout simplement me sentir en danger suite aux représailles qui vont prochainement m'arriver. Je fronçais les sourcils lorsque je vis l'homme assis au bord de la fontaine faire un mouvement. Étais-ce Louis en fin de compte ?

Il était positionné dos à moi, ce qui en plus des jets d'eau du lion et de la pluie, il m'était impossible de le reconnaître.

« Non, c'est pas possible... » Dis-je à voix basse en me mettant à rire nerveusement. « Louis? » Criai-je cette fois pour qu'il m'entende. « Est-ce que c'est... »

Je hurlai de surprise, lâchant involontairement mon parapluie, lorsqu'une paire de bras entoura vicieusement ma taille, me prenant au dépourvu. Mon dos fut pressé brusquement contre un torse dur, que je pouvais sentir à travers l'étoffe trempé de son vêtement sa musculature parfaitement bâtis là où il faut, me laissant alors deviner sans aucun doute qu'il s'agissait là d'un homme.

Et comme si la chance n'avait pas encore assez penché en ma faveur, l'averse devint beaucoup plus dense juste après le grognement du tonnerre, me trempant jusqu'au os de la tête au pied.

Et maintenant ?

Je pense exiger un remboursement dans ce magasin de prêt-à-porter qui m'a assurée à mille pourcent une protection complète contre les mauvais jours !

« Je vais te tuer ! » Mon corps se tendis à ce timbre mi-rauque et aiguë de mon "agresseur." « Et je vais même commencer maintenant en t'étouffant. » Dit-il en me soulevant hors du sol, serrant un peu plus ces bras autour de moi.  

« J-Je.. » Et j'étais littéralement en train d'étouffer. « Mais t'es complètement malade ! » Réussis-je à hurler en gesticulant mes jambes dans les airs. « Louis! » Criai-je afin de le résonner. « Relâche-moi tout de suite ! Ne m'oblige pas à... »

« Non. » Me coupa-t-il sèchement en remontant ses bras sous ma poitrine pour mieux me stabiliser contre son torse.

Très bien il aura voulu dans ce cas.

Je continuais à faire valser mes jambes aléatoirement dans les airs pour l'obliger à de nouveau positionner ces bras juste au dessus de mon ventre. Lorsqu'il les positionna de nouveau à l'endroit où je l'avais prédie, j'eus alors la possibilité d'incliner légèrement mon buste en avant. Et comme mes frères me l'ont appris, je pris assez d'élan pour venir cogner mon crâne contre le nez de Louis, ce qui le fit hurler de douleur et relâcher aussitôt son emprise.

Et c'est dans ces moments-là que j'aimerais que mes frères soient présent pour pouvoir admirer la fierté brillait dans leur yeux.

Après avoir récupérée mon parapluie au sol pour de nouveau me protéger de l'averse - bien que ça ne servait plus à rien - j'entrepris de me pivotai face à Louis.

« Je t'avais bien dit de me... » Mes paupières s'entrouvrent tel deux soucoupes à la vue d'un Louis affalait au sol. « Sérieusement ?! » M'écriai-je en roulant des yeux. « Je n'aie pas cognée si fort, arrête ton cinéma ! »

Aucune réponse.

Il ne s'était tout de même pas évanouis, si ?

« Louis ? » Toujours aucune réponse. « Arrête c'est plus drôle ! » Me mis-je à paniquer en poussant nerveusement un petit rire. « Louis ? » L'interpellai-je une nouvelle fois en accourant jusqu'à lui.

Je m'accroupis à son chevet, couvrant son visage et une partie de son torse de la pluie à l'aide de mon parapluie. Je décidai de le secouer un peu pour au moins le faire réagir, ça n'a pas marché. Mes iris vertes dévièrent à son visage trempé par les gouttelettes de pluie et par des gouttes ensanglantés qui se déverser de son narine droit.

De ma main libre, je fouillai dans les poches de mon imperméable pour en sortir un paquet de mouchoir pour essuyer son nez. Et c'est en nettoyant chaque parcelle de son minois des gouttelettes de pluie qu'une chaleur attira instantanément mon attention : son front!

J'entrepris de plaquer le dos de ma main contre celle-ci.

Louis était brûlant !

« Imbécile. » Marmonnai-je en grinçant des dents en essayant de le relever sur ces deux jambes et laisser l'entiéreté de son corps prendre appuie contre le mien.

Je n'arrive pas à croire qu'il m'a attendue jusqu'à s'en rendre malade !

Il semblerait que j'ai trouvée plus idiot que moi sur cette planète.

**

« J'arrive, j'arrive ! » Chantonna une voix masculine derrière la porte.

Ça devait faire la dixième fois au moins que j'appuyai comme une hystérique sur la sonnette de cette fichu fraternité et personne ne daigne encore m'ou.. Nous ouvrir.

Seraient-ils tous en train de dormir ?

Non, impossible !

On parlait là de fraternité.

Je commençais à m'impatienter. J'avais froid, j'étais fatiguée, trempée jusqu'au os et le pire dans tous ça, je ne sentais plus mes jambes. Louis ayant rejoins beaucoup plus tôt que prévu les bras de Morphée, j'ai dû le porter jusqu'à la porte de sa maison. Bien sûr, il avait pris soin d'appuyer tous son poids contre le mien, enfouissant son visage au creux de mon cou.

Je pouvais sentir son front, ainsi que son souffle s'écraser chaudement contre ma peau glacée tandis que ces bras s'accrochaient fermement à ma taille comme s'il s'agissait d'une bouée de sauvetage.

Il avait fini par se réveiller à mi-chemin, refusant catégoriquement d'avaler la pilule de doliprane que je lui avais tendu pour guérir son mal de tête, sous prétexte que je pourrais très certainement l'empoissonner. C'est bien sûr sous la menace de m'arrêter en plein milieu de la rue et de le laisser dans mon véhicule sans les clés, qu'il a finit par accepter mon médicament pour se rendormir quelques minutes après.

« Je n'ai jamais été malade de toute mon existence. » Je sursautai de surprise au son mi-aiguë et rauque de Louis, portant ma main à ma poitrine.

« Bon sang, tu m'as fichue la trouille! » Il haussa ses épaules, nichant un peu plus son visage à mon cou. « Louis ? » Soufflai-je en me figeant. « Qu'est-ce que tu... » Je fus coupée par la porte d'entrée de la maison qu'a enfin finit par s'ouvrir.

Je levai immédiatement mon visage, découvrant le beau brun à la peau basané du supermarché. Celui-ci portait un simple t-shirt blanc à moitié rentré dans son jeans brute, avec de simple converse blanche à ces pieds. Il nous examina à tour de rôle, plaquant la paume de sa main contre la bordure de la porte au dessus de sa tête avant de nous pointer du doigt.

« Qu'est-ce qui vous est arrivé ? » Je haussai mes épaules et lui tendis Louis comme s'il s'agissait d'un bambin, soupirant.

« Longue histoire. » Il passa le bras de Louis autour de son cou, l'aidant à s'avancer vers l'encadrement de la porte. « Pour plus de détail demande au concerné. » Terminai-je en désignant Louis d'un mouvement de la tête.

Il m'offrit simplement un sourire pour seul réponse.

Je le salua d'un mouvement de la main, m'apprêtant à pivoter sur moi-même pour me diriger jusqu'à ma voiture, mais une large main empoigna fermement mon poignet, m'empêchant ainsi de me déplacer comme bon me semble.

Je reportai mon attention à la porte, découvrant un Louis éveillé au crochet de son ami.

« Tu restes là. »

« Quoi ? » M'écriai-je en tirant sur mon poignet. « N-No.. »

« Je n'ai qu'un coup de fil à passer pour signer ton arrêt de mort. » Me coupa-t-il sèchement en plantant ces yeux bleues fatigués dans les miennes. « Je suis sur que le rédacteur en chef de la fac ce fera un plaisir de publier ta lettre d'amour à la une du journal des étudiants. » Alors c'est de cette "mort" dont-il m'a parlée il y a une semaine ?

« Tyler ne me ferait jamais ça ! » Ou du moins je l'espère, je dois admettre que son ambition me faisait parfois peur. 

« Qui a dit que j'appelerais Tyler ? »

Et c'est une fois de plus que je me résignai à lui obéir.

Je baissai la tête de défaite et pénétrai dans la maison de fraternité sans un mot. J'ai appris que le nom du basané à la coiffure en houpette ce prénommer Zayn, lorsqu'il nous a expliqué que les autres étudiants avaient tous désertés dans une party - comme chaque weekend - à quelques patés de la maison, ce qui explique pourquoi il a mit si longtemps à nous ouvrir.

Louis et moi avons sautés le dîner.

Je crois bien que je commençai à être malade par sa faute.

Il m'avait guidé à la l'étage dans sa chambre, sans doute pour me donner une nouvelle liste de chose à faire pour lui dans les prochains jours à venir. Une fois passée la porte, je n'osais pas pénétrer plus loin que l'entrée. J'entrepris alors d'adosser mon dos contre, observant au loin Louis prendre ces aises en retirant sa veste.

Il passa ces doigts dans ces cheveux trempaient, plaçant le vêtement au dessus d'un chauffage, ce qui était plutôt surprenant. La plupart des garçons que je connaissais se contenter d'envoyer valser leur habits sales n'importe où, pour ensuite les remettre deux jours plus tard.

Dégueux, oui je sais.

« Alors où sont mes corvées ? » Le questionnai-je en raclant ma gorge.

Louis se tourna pour me faire face et mes prunelles vertes ne purent s'empêcher de tomber à son torse trempé.

Bien sûr, il a fallut qu'il porte un t-shirt blanc !

Mon regard semblait s'être figé sur l'étoffe - dorénavant transparent - de son vêtement qui lui collait à la peau. Je pouvais clairement percevoir à travers ces pectoraux, les pointes tendus - dû au froid - de ces tétons et si je déviais mes yeux un peu plus bas, je rencontrai ces tablettes abdominales parfaitement construit par son dur labeur dans les salles de musculation et ainsi qu'aux entraînements de foot.

Il ne pouvait pas être aussi bien construit que Avery !

C'est impossible.

Je me gratifiai d'une gifle virtuelle pour cette pensée, sentant mes pommettes prendre une tournure rosée. Je décidai de détourner immédiatment les yeux, n'ayant même pas remarquée les vêtements que Louis me tend depuis une bonne minute déjà.

« ... Adriana est-ce que tu m'as entendu ? » Je levai la tête pour rencontrer ces orbes bleues, le questionnant du regard.

« Huh? »

Il se tenait, , face à moi, me fixant comme si j'arrivai tout droit d'une autre planète.

Voyant que je ne fis aucune réaction et attendait patiemment qu'il réponde à ma "question." Louis roula des yeux de manière amusé, inclinant sa tête doucement en avant. J'eus le réflexe de rétracter progressivement mon visage, au point même que mon crâne heurte le bois de la porte.

Mes paupières se fermèrent instinctivement au contact de son souffle chaud contre ma peau. Ses lèvres chatouillèrent un instant mon oreille, avant de se nicher au creux, alors que sa main vint prendre appuie au dessus de mon minois pour ne pas m'écraser.

« J'ai dit que tu dormais ici ce soir. » Me susurra-t-il d'une voix incroyablement sexy en italien.

« Et.. Et où est-ce que je vais dormir ? » Le questionnai-je d'une voix tremblante en rouvrant les yeux.

« Avec moi. » Dit-il de manière nonchalante en haussant ces épaules.

« Oh. »

Et je me fige, me rendant compte de ma bêtise.

Mes paupières s'entrouvrent en deux grosses soucoupes.

« Attends, quoi ? » M'écriai-je horrifiée. « Je peux pas dormir avec toi, tu vas me refiler tes microbes ! » M'exclamai-je en poussant son torse.

« Qui a été causer par toi. » Se défend-il en me pointant du doigt. « Bordel, je t'ai attendu quatre heures, Adriana ! » Hurla-t-il dorénavant en jetant ces bras en l'air. « Je.. Je n'ai jamais attendu qui que ce soit dans ma vie jusqu'à maintenant. » Termina-t-il sur un ton beaucoup plus calme cette fois.

Silence.

Un silence qui m'a parue si long et indéterminable.

Nous étions encore tous les deux trempés et mort de fatigue.

Pourtant, on ne fit rien pour arranger ça.

On se contentait juste de rester planter, , à se regarder bêtement dans le blanc des yeux, en attendant que l'autre flanche. Mais, aucun de nous ne décrocha. Par contre, ce qui changea c'est que Louis décida de briser le silence.

« Tu peux toujours dormir par terre. » Sérieusement ? Est-ce que j'ai bien entendu ce qu'il venait de me dire là ?

« Et pourquoi TOI tu ne dormirais pas par terre ? » Rétorquai-je du tac au tac.

« Quoi ? » S'écria-t-il surpris. « C'est MA chambre. » Je plaquai mes mains sur mes hanches, le toisant du regard.

« Et ta galanterie, alors ? Où est-ce qu'elle est passée ? »

N'avez-vous jamais remarqué que lorsque on touche ou même effleure la possession des mâles dominants, ils finissent toujours par se transformer en un homme des cavernes sur-protecteur ?

Et bien c'était ce qui arrivait à Louis.

« Envolé la première demi-heure après t'avoir attendue. » Je ne pus m'empêcher de rouler des yeux.

« Je n'aie jamais dit que je viendrais. » Dis-je amèrement maintenant agacée.

« Tout comme tu n'as pas dit "non" non plus. » Rétorqua-t-il sous le même ton.

Génial.

Maintenant nous sommes tous les deux agacés par cette histoire qui nous mènent strictement à rien !

Je pris une très grande et profonde inspiration, que j'expire doucement, essayant par tous les moyens de me détendre.

« Je ne vois pas en quoi mon silence t'aurais fait comprendre le contraire. » Il se tourna dos à moi et plaça les vêtements qu'il m'avait tendu au bord du lit.

« Personne ne me dit jamais non, c'est tout. » Se justifia-t-il simplement en retirant son t-shirt. « Fais ce que bon te semble dans tous les cas je dors dans mon lit. » Enchérit-il d'une voix las en saisissant ces affaires pour disparaître dans la salle de bain.

Lorsque Louis sortit de la salle de bain, un nouveau silence avait envahis la pièce.

Ce n'était pas un silence de gêne, non, juste d'agacement.

On était fatigué et souhaiter plus que tous faire un somme et nous voilà à nous débattre comme deux enfants de maternelle sur qui aura le plus de pâte à modeler.

Après une bonne douche chaude, je me séchai les cheveux avant de me glisser dans le large t-shirt et le boxer de Louis. Je mentirai si je disais qu'ils n'étaient pas du tout confortable. Je posais mes vêtements trempaient sur le chauffage et fini par sortir de la salle de bain, rencontrant le dos de Louis qui même après notre "dispute" enfantin, m'avait gentiment laissée un côté de son lit.

« Merci. » Dis-je dans une toute petite voix en me glissant dans les couvertures.

Il ne réagit pas, j'en concluais donc qu'il s'était probablement endormi.

Je sursautai de surprise en sentant une paire de bras musclé serpentait autour de ma taille. Ses doigts avaient empoignés fermement l'étoffe de mon t-shirt, de sorte à mieux déplacer mon corps frêle sur le matelas et mon dos se retrouva rapidement compressé contre un torse ferme et robuste.

Je ne l'avais même pas entendu changer de position !

Je restai immobile lorsque Louis vint presser le bout de son nez contre ma nuque. Son gel douche ne tarda pas à envhir mes sens, son toucher contre ma chair m'envoyait quelques picotements à travers mon échine. Je pouvais sentir son rythme cardiaque cognait mon omoplate gauche, ainsi que son souffle balayer quelques mèches de ma chevelure blonde vers mes épaules avant, dégageant ma nuque.

« Louis ? » Le frôlement de son nez contre ma peau me fit comprendre que j'avais là toute son attention. « Je.. Je suis désolée de t'avoir fais attendre quatre heures. »

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Je n'aie qu'une question à vous poser : que pensez-vous de la répartie d'Adriana et Louis ?

Vous savez qu'au début je voulais couper cette fin en plusieurs scènes ? Mais, je me suis dit que vous vous en lasserez et que vous vous demanderez - très certainement - quand est-ce qu'elle se finira, oh et puis ? Vous m'aurez très certainement étranglée pour l'avoir fait haha #sors

Par contre, j'ai peur de tomber dans le cliché totale, d'avoir appuyer tout d'un coup sur le bouton " accélérateur " ...
Enfin, vous savez ? La pluie et le fait que comme par hasard la jeune fille finit par dormir chez le gars (et dans son lit) etc... Sauf que la seule différence c'est que personne n'est bourré xD Alors qu'à la base Adriana et Louis avait une relation assez " spéciale " dirons nous ^^

J'espère en tout cas que ce chapitre vous a plu, n'hésitez pas à me dire vos impressions dans les commentaires ! Je vous remercierez jamais assez pour vos votes, commentaires et lectures, omg je suis presque à 45K c'est tout simplement énorme :O

Je vous fais de gros bisous, mes amours ♥

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