Chapitre cinquante-trois.

Coucou, mes bébés chats ! Comment allez-vous ? Enfin, une bonne nouvelle après une semaine pire que pourris ! Grâce à vous, It's pure, it's you a gagné au Watty awards français 2015 dans la catégorie : histoire non-terminée ! Alors tout d'abord 989675675 de fois merci, vous êtes... Je ne saurais comment vous décrire ! Formidable, exceptionnelle, voir extraordinaire n'est pas assez ! Je ne sais pas comment vous remercier, je vous laisse donc voter pour le cadeau qui vous conviens le mieux...

#1 - Point de vue bonus Harry Styles
#2 - Point de vue bonus Zayn Malik
#3 - Point de vue bonus Avery Jones
#4 - Point de vue bonus Tyler
#5 - Point de vue bonus Abby
#6 - Point de vue bonus Gwen
#7 - Point de vue bonus Mindy
#8 - Autre chose ?

Le personnage qui aura obtenu le plus de vote, aura un chapitre entier dédié à son PDV. Si vous ne voulez lire aucun de ces PDV, je vous laisse donc choisir autre chose dans le point 8.

Merci encore, mes amours *.*
Je vous souhaite de passer une excellente semaine et une bonne lecture !
Je vous aimes fort, fort, fort!

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Adriana plaqua brutalement sa main contre sa bouche, réalisant la bombe qu'elle venait inconsciemment de lâcher. Ses yeux s'arrondissent, ses pommettes virent dans un rouge pétant, tandis que son corps la poussa à émettre un nouveau pas à reculons. À l'opposé, mes doigts lâchèrent la pression exercée à son avant-bras. Mes prunelles bleues fixèrent sa personne, scotché, par l'audace dont-elle venait de faire preuve. Je ne savais pas comment réagir, jamais je ne me suis retrouvé dans ce genre de situation auparavant.

D'ailleurs, dois-je faire quelque chose ?

Ou bien dire quelque chose ?

Je déglutis, clos mes paupières, lorsque le vent siffle, remplissant le silence accidentellement installé. J'ignorai si c'était dû à l'embarrassment ou bien au choc. Mais ce que je savais, c'est qu'au moment où Adriana avait réuni les mots 'je' et 't'aime' ensemble, une vague de frisson a parcouru mes bras, hérissant instantanément mes poils. Cette sensation ne m'était pas vraiment inconnue. Quand j'avais des fourmis aux pieds, les effets étaient la même. Sauf qu'ici, ces picotements furent plus prononcés, mes pieds n'avaient rien du tout et mes poils ne se hérissaient pas.

Que m'a-t-elle encore fait ?

Tout ça c'était de sa faute.

À chaque fois, que j'essayai d'avoir une quelconque conversation avec elle, mes orbes cours à la recherche de ses pulpeuses lèvres roses. Ils les fixer intensément, apprécier secrètement les courbes se tordre lors d'une de ces habituels monologues. Parfois, ils dérivèrent à ces attributs féminins, inondant mes pensées par des images salaces. C'était toujours le même rituel. Mon corps est parcouru de spasme inconnu et est immédiatement confronté à l'adrénaline, que j'essaye de neutraliser pour ne pas perdre le contrôle.

J'essayai de chasser cette maudite voix, qui me poussait à la faire taire et à parcourir mes mains sur chaque parcelle de son corps. J'essayai de supprimer les échos de ses gémissements, qui résonner bruyamment à travers mon esprit. Esprit, qui prenait un malin plaisir à rejouer toutes ces fois, où j'ai eu la possibilité de la toucher, la caresser, la sentir et l'embrasser. Toute cette lutte, me faisait réagir d'autant plus étrangement qu'à mon habitude. Il n'était pas difficile de lire l'incompréhension dans ses yeux. Elle possédait ce même regard, lorsqu'elle se retrouvait bloquer devant un exercice.

J'inspirai profondément, ce qui me permettait ainsi d'écouter chaque battement de mon organe vital. Très vite, j'ai constaté à quel point ils se sont accentués, voir littéralement saccadé, un peu comme si je venais d'achever les vingt-trois tours de terrain, exigé par mon coach. J'expirai finalement, séparai doucement mes lèvres et m'avançai d'un petit pas. Adriana mordille le coin inférieur de sa lèvre et replaça timidement une mèche blonde derrière son oreille. Ses joues ne semblaient pas prêtes à décolorer pour l'instant.

« J-je.. » Elle passa sa main sur son bras droit, pivotant aussitôt sa tête sur le côté, quand elle réalisa que je ne la quitter pas des yeux. « Au revoir ! » Elle me tourna le dos et s'enfuit aussi rapidement qu'elle m'a jeté cette phrase.

« Cette idiote a oublié que nous avons cours ensemble maintenant. » Soupirai-je dans ma barbe, en secouant désespérément ma tête.

Je passai vivement mes doigts à mon visage et plaquai quelques instants mes mains au creux de mes joues. Je pouvais sentir la chaleur de ces dernières émanaient contre mes paumes, me poussant à me demander s'ils avaient pris la même tournure que celle d'Adriana. Je laissai retomber mes bras d'une part et d'autre de chaque côté de ma personne et redressai correctement ma tête. Geste que je regrettai aussitôt, lorsque mes prunelles bleues croisèrent une paire de yeux noisette, celle d'Avery, qui marchait tout droit à ma direction.

Il stoppa ces pas à quelques mètres de ma personne. On se jaugea sans énoncer le moindre mot et juste au moment où j'allais briser le silence, le brun me devança en me gratifiant d'un sourire narquois. Confus, j'arquai un sourcil, le questionnant du regard. Il m'ignora et poursuit son chemin en passant à côté de moi, pour pouvoir rejoindre le secteur des scientifiques. J'observai un moment bêtement l'horizon, avant de pivoter sur moi-même et le voir disparaître de l'autre côté du pont en ciment.

Que venait-il juste de se passer ?

Je me grattai la nuque et entrepris de me diriger à mon tour dans mon secteur. Je passai les portes de l'amphithéâtre, arrivant juste au moment où les étudiants cherchèrent tous une place potable où s'asseoir. Il m'a fallu pas moins d'une minute, pour remarquer l'absence de mon professeur stagiaire. À la place ? Un homme d'une quarantaine d'années se tenait au centre de l'amphi, des prospectus à la main qui portait sur le don du sang. C'est en montant les marches de la salle, que je repérai finalement des boucles blondes s'agitaient à la dernière rangée.

Une jeune étudiante au visage familier se tenait aux côtés d'Adriana, une certaine Mindy. Elle faisait partie des Gamma. Les seuls souvenirs que j'avais d'elle, étaient que la première : elle est l'une des larbins d'Abby et la seconde : c'était elle qui a ramené chez moi une Adriana bourrée, lors d'une soirée au festival rock auquel elles ont toutes les deux participé. Arrivée à leur hauteur, je remarquai qu'il n'y avait aucune place. Adriana et Mindy se sont tut, quand elle réalisa ma présence. Sans la moindre gêne, j'agrippai le bras de Mindy et l'obligeai à se lever de sa chaise.

Par chance, leurs tables été à l'extrémité des escaliers.

« Qu'est-ce que.. ? » Je la relâchai et m'installer comme si ne rien était sur son siège.

« Un problème ? » La questionnai-je innocemment, Mindy leva les yeux au ciel.

« Enjambe-le, Rocchietti. » M'ignora-t-elle, en faisant valser sa main en l'air. « On va se trouver une place ailleurs. » Je portai mon attention sur Adriana, qui avait déjà rassemblé ces affaires, prête à se lever.

« Tu comptes vraiment m'enjamber ? » Susurrai-je suavement au creux de son oreille, faisant clairement paraître l'évidence d'une arrière-pensée.

« No-non.. » Elle rougit, lançant un regard désolé à son amie, qui fut contrains de s'asseoir à la première rangée par manque de place.

Je le savais.

Je ne quittai pas Adriana des yeux, un sourire victorieux scotché au coin de mes lèvres. Celle-ci semblait clairement fuir mon regard, reportant le sien sur notre organisateur du don du sang. Ce dernier, dont j'ai appris, qui se nommer John Thomas, présenta la compagnie pour laquelle il travaillait en tant que bénévole. Il nous expliqua à quel point, il est important pour lui, d'effectuer la collecte de sang, avant de se lancer sur toute la panoplie de marketing, pour toucher la population pour une cause qu'il pensait juste.

C'était des conneries.

La manière dont-il a introduit le projet et qu'il a de communiquer avec nous, me faisait penser le contraire. Il restait neutre, mais sur-joué, lorsqu'il nous raconter quelques-unes de ces anecdotes avec ces personnes malades, qui ne demander qu'à vivre normalement. Ma mère, pour ces oeuvres de charité, adopter la même attitude. Elle avait tendance à utiliser des sujets qui 'touchent' en général le peuple, pour les sensibiliser, avant d'attaquer le vif du sujet : l'argent. C'était comme ça, qu'elle arrivait à vendre au prix fort ces oeuvres artistiques, qu'elle a acheté à des artistes non-connu au prix bas.

« Alors.. » Je croisai mes bras sur la table, nichant le bout de mon menton au creux, gratifiant d'un petit coup de tête son bras gauche pour attirer son attention. « Comme ça tu m'aimes bien ? » Son corps se fige, laissant uniquement la teinte de son visage s'exprimer pour elle.

« J'a-J'ai.. » Bégaya-t-elle, pendant que je m'amusais à frotter ma joue tel un chaton contre son bras. « J'ai dit ça, moi ? » Ricana-t-elle nerveusement, tandis que je me servais cette fois de son bras comme oreiller.

« Affirmatif. » Confirmai-je, en fermant les yeux. « Tu as beau parler aussi vite que la musique et à n'importe quelle langue du monde, sache que je comprendrais toujours tous. » Je ne pensais pas qu'elle pouvait être aussi confortable. « J'aimerais que tu me le redises. » Soufflai-je faiblement, ouvrant une paupière, pour pouvoir garder un oeil sur ce qui se passe sur l'estrade de l'amphi.

« Lo-Louis.. »

« Qu'est-ce que tu aimes chez moi ? » La coupai-je, m'amusant à faire courir mon index et mon majeur sur la table. « La manière dont je t'effleure ? »

Ses prunelles vertes daignèrent enfin se poser sur moi.

Je rouvre complètement mes paupières, soutenant son regard. Je remontai lentement la manche de son pull jusqu'à son coude, dévoilant sa peau de pêche. Adriana ne batailla pas contre moi, intrigué par mes prochaines actions. Je laissai mes orbes tombaient à son poignet, effleurant la ligne distincte de sa veine du bout de l'ongle de mon index. Son souffle chaud s'abat à ma chevelure, la faisant légèrement virevolter, tandis que sa peau ne tarda pas à réagir en quelques picotements à mon toucher.

« La manière dont je te touche ? »

Je glissai ma paume sous son poignet et l'empoignai entre mes doigts. Ainsi, je laissai la pulpe de ces dernières parcourir son bras jusqu'à son coude, n'hésitant pas à recommencer à plusieurs reprises mon geste toujours aussi lentement, mais sûrement. Parfois, je laissai le bout de mon pouce tracer de petits cercles sur la zone centrale de son bras, lui arrachant de nouveaux picotements, suivi d'un petit soupir d'aise qui me signaler son air détendu.

« Ma manière de te sécuriser dans mes bras ? » Je décroisai mes bras, pour pouvoir entourer l'une d'entre elles autour de sa taille.

« Louis ! » Cria/Souffla-t-elle de la manière la plus autoritaire possible, en me poussant doucement, pour me faire comprendre de la laisser en paix. « Arrête ça ! » Chose qui ne marcher pas.

« Redis-le moi, alors ! » Exigeai-je, tel un enfant capricieux.

Aucune réponse.

Je me redressai en tailleur et tirai sur sa taille, faisant ainsi glisser son postérieur sur son siège, pour pouvoir restreindre le maigre espace qui séparer nos corps. Une partie de son être fut plaquer fermement contre moi. Je dois admettre, que j'étais d'une part soulagée qu'elle ai choisi de se placer à la dernière rangée de l'amphithéâtre. Je ne pense pas que j'aurais eu la possibilité de la toucher ainsi, si nous avions été à la rangée du milieu ou encore au premier.

La sentir gesticuler comme un asticot contre mon torse, m'arracha un nouveau sourire. Je voulais rire, tellement rire et sincèrement, mais attirer l'attention de nos camarades n'était pas mon but. J'avais un tout autre objectif. Je me penchai à sa hauteur, calmant ces agitations en pressant mon front contre la sienne. Ses joues qui se sont rosies, s'enflamment. Adriana redressa sa tête pour rencontrer mes yeux, tâtant ma hanche, comme si elle essayait de trouver un trésor caché.

« Ou plutôt, c'est ma manière de t'embra.. » Elle posa son doigt contre ma bouche, pour m'empêcher de continuer.

« Ne fais pas ça. » J'ai l'impression qu'elle venait d'anticiper ma nouvelle réaction. « S'il-te-plaît ? » J'arquai un sourcil, le regard provocateur. « Non ! » Dit-elle fermement, étouffant un cri en mordant l'intérieur de sa joue, lorsque je mitraillai son épaule de plusieurs baisers. « Lou.. TOUS ! » Elle me poussa et se leva avec précipitation de sa chaise, cognant brutalement son genou contre la table. « Aie, putain ! » Sachant qu'elle venait d'attirer l'attention de tous nos camarades, je croisai de nouveau mes bras sur la table et cachai mon visage à l'intérieur « J'aime tous chez toi ! » Je pouvais parfaitement l'imaginer valser dramatiquement ces mains en l'air. « Voilà, t'es con.. »

« Un problème, mademoiselle ? » Adriana se tut immédiatement, consciente qu'elle venait de se donner inconsciemment en spectacle.

« Je me suis accidentellement cogné le genou contre la table.. » Bredouilla-t-elle timidement en se rasseyant, gagnant de ma part un éclat de rire. « C'est de ta faute tout ça ! » M'agressa-t-elle en me pointant du doigt, amplifiant mes rires. « Pourquoi. es. tu. aussi. méchant ? » Elle se tourna à ma direction, pour me taper entre chaque mot.

Aw.

N'est-elle pas migonne ?

**

- à l'écoute - Sin Shake Sin - Can't go to hell

J'émis un claquement de doigts pour indiquer à un de mes camarades de fraternité d'allumer la radio, ordre auquel il ne tarda pas à tout de suite exécuté. Reconnaissant le rythme musical enjoué et sauvage du titre 'Can't go to hell' du célèbre groupe Sin Shake Sin, j'agitai ma main en l'air pour indiquer à mon confrère d'augmenter le son.

Entraîné par la musique, je tournai la première page de mon journal sur l'actualité du monde. Je bue une gorgée de mon verre de jus d'orange, installai confortablement mes jambes sur la table basse, que je croise. Je posai mon verre au sommet du crâne d'un des membres de ma fraternité : Jason. Je jetai un rapide coup d'oeil sur lui qui été assis sur le tapis.

Jason n'effectua aucun mouvement, ne voulant pas prendre le risque que le verre tombe. Il était si obéissant... Je déviai mon regard sur le côté, où je pouvais percevoir qu'une bonne partie de mes autres confrères de maison, occupait la totalité de la place de la pièce jusqu'au jardin. Ils étaient tous étendus au sol, exécutant une centaine de pompes.

« Louis ! » Pleurnicha Harry, qui se trouvait de l'autre côté de la pièce de séjour. « Pitié, on recommencera plus ! » Je tournai la page de mon journal pour seule réponse.

« Messieurs, vous pouvez remercier Harry. » Déclarai-je en désignant d'un mouvement de la main le bouclé. « Grâce à lui ? Vous venez de gagner cent pompes de plus ! »

« M-mais.. » Essaya de protester le concerné.

« HARRY FERME TA PUTAIN DE GUEULE ! » S'écrièrent-ils tous en choeur.

Ma tête, ainsi que mes jambes remuèrent au même rythme, que la sonorité entraînante des guitares électriques. Mon regard survolait les grands titres du journal, essayant d'être intéressé par une quelconque événement, mais en vain. J'avais l'impression que les journalistes prenaient un malin plaisir, à rédiger un article sur un événement tragique. Je soupirai et fermai le journal, le coinçant dans la bouche d'un de mes frères de maison, puisque mes jambes occupaient toute la place de la table basse.

Je jetai un dernier regard sur ces boulets, qui exécuter soigneusement leur pompe dans l'espoir d'être épargné de ma colère. Ces imbéciles n'ont trouvé rien de mieux, qu'organiser une party hier soir sans ma permission, enfreignant alors l'une de mes principales règles. Leur comportement me fit réaliser, que cette année, je n'étais pas assez présent pour eux. En tant que président de maison, je devais leur mener la vie dure, pour les préparer à leur futur et à la vie en collectivité. Quelle ironie maintenant que j'y pense, alors que moi-même, j'étais contre tout ça.

« Ryan, rappelle-moi le commandement numéro 8. » Je pouvais déjà les entendre me maudire.

« E-euh... »

Puis, un - long - silence s'ensuit. Je savais que la plupart d'entre eux, ne se rappeler plus des dix règles - ou commandement - que j'ai fixé. Je savais aussi qu'ils les avaient tous appris par coeur la première année, juste pour pouvoir accéder à la fraternité. Ces garçons me désespérer. Ce n'était pourtant pas compliqué de se rappeler de dix petites règles ? Si on résonnait par logique et donc par entonnoir du plus général au plus important.

Les dix commandements donnaient :

1 - Respecter l'autrui

2 - Respecter l'environnement

3 - Rester soudé

4 - Aucune absence dans les cours et partiels obligatoires

5 - Avoir les meilleurs notes dans le cadre scolaire et le cadre sportif

6 - À chaque fois qu'on enfreint une règle on est puni par une sanction

7 - Alerter son colocataire que la chambre est occupée par une cravate attachée autour du poignée de la porte

8 - Les étudiants qui représentent les autres maisons de fraternité ne doivent pas coucher à Omega

9 - Pas de party sans l'autorisation du président

10 - Ne jamais contredire le président : il a toujours raison

« Peut-être devrais-je ajouter que sans aucune effort de mémoire de votre part ? Ce soir, vous dormirez tous à la belle étoi... »

« Rester soudé ! »

« Tu peux arrêter de faire des pompes. » Il soupira de soulagement et se releva maladroitement du sol.

« M-merc.. »

« Pour me faire un cocktail de jus de fruit : kiwi, banane et fruit de la passion. » Sa bouche est grande ouverte en 'o' complètement sous le choc.

« La règle numéro 8 été : les étudiants qui représentent les autres maisons de fraternité ne doivent pas coucher à Omega. » Me justifiai-je, en lui indiquant d'un mouvement de la main la cuisine. « Tu peux disposer maintenant. » Sa réaction 'victorieuse' provoqua les ricanements moqueurs de nos autres frères de maison.

« Moi au moins je ne fais plus de pompe, bande de cons ! » Cracha-t-il, sèchement.

« Ouuuuuuuh. » Je les fis rapidement taire en tapant à deux reprises mes mains.

« Règle numéro 5, Jimmy. »

Un nouveau silence.

Les autres étudiants pouffèrent discrètement.

Savaient-ils faire autre chose que rire bêtement ?

« Respecter l'autrui.. ? » Répondit-il hésitant, dans une toute petite voix.

« Comment peut-on être aussi nul ? » Lui reprochai-je, en roulant des yeux. « Allez, lève tes putains de fesses du sol et va nettoyer chaque salle de bains de l'étage ! » Il baissa la tête et pinça sa lèvre. « Oh, et Jimmy ?! » Le stoppai-je, en milieu de chemin. « Je veux que tu le fasses avec une brosse à dents. » En voyant Harry discrètement pianoter sur son téléphone, je désignai le bouclé du doigt. « Prend celle d'Harry, il n'en aura pas besoin ce soir, puisqu'il va dormir à la belle étoile. » Il hocha vivement la tête, supprimant un rire moqueur qui menaçait à tous moment de sortir.

« Qu-Qu... »

« À tous ! » J'ignorai volontairement l'objection d'Harry, m'adressant à tous mes camarades. « Quelle est la dernière règle ? » Criai-je, en espérant qu'ils connaissent au moins la règle la plus importante.

« Ne jamais contre dire le président ! » Hurlèrent-ils tous en choeur.

« Et pourquoi ? » Poussai-je, le test.

« Parce qu'il a toujours raison ! » J'acquiesçai, fier que ces idiots ont tout de même retenu un commandement sur dix.

« Et qui est ce président ? »

« Lou... »

« Un vrai fils de pute ! »

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#AlwaysinourheartZaynMalik ♥

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