Chapitre cinquante-huit.
FNEFIEFNOEFDFDJCDCNDS JE VEUX TELLEMENT PAS RETOURNER A L'ÉCOLE EZNFLF DE MERDE *pleure des marshmallow* NEQ,DOLCDCD,CDSC EN PLUS VU QUE LA ZONE B ON EST LES DERNIERS A AVOIR CES OJCOQCKDOKCDS DE VACANCE ON A DÉJÀ SAUTÉ 2 JOURS FÉRIÉS :(
Bon d'accord, d'accord! J'arrête de vous déprimer la Zone B et pars me cacher en Irlande.
EN MEDIA : THE KING, LA SLAYANCE QD,CQDL,CDLSVNDSVDS,DSVD,VDV,DV NON OJZAOFKFK MAIS ufçeuqjqcjf SÉRIEUX OCVDSOVè!!è QUOI FEPNJFOKFQODQ REGARDEZ NOZDQODKQ SON AONCQ,EOFZD *suffoque* DNdnldqqkq, SOURIRE OQ,VPDOOFJEFJ *meurs écrasé par un poney en chocolat* (pour celle/celui qui ne peut pas voir le média allez sur l'ordi ça marche).
Bonne lecture, mes bébés ♥
_________
« Ton Disney favori ? » S'enquit doucement Adriana.
« Le vilain petit canard. » Elle sourit. « Oh mon dieu ! C'est vrai que ce conte te ressemble tellement ! »
Comme elle est 'adorable' dis donc !
Vous ne trouvez pas ?
« Moi, je pense que c'est la Reine des Neiges. »
Pourquoi ça ne m'étonne même pas ?
Il n'y a qu'à la voir dormir avec son putain de bonhomme de neige en peluche pour comprendre !
« Ton film préféré ? » Je prends le temps de réfléchir, des films, il y en a beaucoup tout de même.
« Goal. »
« Un film sur le soccer, hein ? » Conclut-elle. « Pourquoi ça ne me surprend même pas !? » Se questionna-t-elle plus à elle-même plutôt qu'à moi. « Je parie que tu n'as jamais regardé de ta vie N'oublie jamais ? »
Je secoue négativement la tête.
Et pourquoi pas Titanic tant qu'on y est ?
« Sacrilège ! » Hurla-t-elle. « Il faut absolument que tu le regardes ! C'est mon film préféré et puis... »
Bordel non !
Pas un film de fille !
« Ce film est tellement.. »
« Adriana et si tu m'épargnais les détails ? » Elle fit la moue, un peu déçue, avant de retrouver aussitôt son sourire.
« Tu as raison ! Le mieux c'est que tu le regardes, là ? Je suis en train de te gâcher le suspense. »
Tu parles d'un suspense.
Tout le monde sait comment ce genre d'histoire va se finir.
'Marié et quarante gosses chiants à leur actif.'
Se moque ma conscience et je ne pouvais qu'être d'accord avec lui.
« Quelle est ta couleur préférée ? »
« Le vert. » Elle jette sa tête en arrière, portant la pointe de son index à son menton, pensive.
« Mh, ce qui explique tout ce vert. » Conclut-elle, en contemplant mon papier peint vert sapin.
« Je suppose que le tien est le rose ? » La questionnai-je d'une voix taquine, elle grogne.
« Pourquoi cette stupide conclusion ? » Elle pointe sa chevelure blonde. « C'est parce que je suis une fille et que je suis blonde, c'est ça ? » Son visage angélique se tord en une moue.
« Peut-êt.. »
Elle n'attend pas que je termine ma phrase, qu'elle empoigne sa peluche et la dirige droit vers ma direction pour me taper. Je lève mon bras pour protéger mon visage et un rire franc tombe de mes lèvres. Parfois, il est si facile de la contrarier pour un oui ou pour un non. Mais, je me dis que la cause de ce problème, devait certainement être sa période 'sensible' pour qu'elle soit aussi irritable.
Je ne pensai pas que Dame nature ferait autant de dégâts.
« Ma couleur préférée est le rouge, espèce d'ingrat ! » Gronda-t-elle, en me tapant entre deux mots. « Comment peut-on être aussi... AHH ! » Le grondement du tonnerre a suffi pour lui faire lâcher son 'arme'.
Adriana se précipita dans mes bras sans se poser de question, me prenant complètement à dépourvu. Étant assis en tailleur sur mon lit, je tombe à la renverse et mon crâne heurte brutalement le mur. Je gémis de douleur et me déplace légèrement sur le côté, où je laissai ma tête s'écrouler contre mon moelleux oreiller.
« Arrgh, bon sang ! » Grinçai-je entre mes dents. « Mais qu'est-ce que je vais faire de t.. »
Toc ! Toc ! Toc ! Toc ! Toc !
Plusieurs cognements sauvages m'empêchèrent de finir ma phrase.
« Un peu de retenue, les enfants ! » Je reconnaîtrais cette foutue voix rauque entre milles : Harry. « Je sais que vous avez besoin d'amour, enfin, surtout toi capitaine ! » Pointa-t-il, faisant instantanément réagir mes joues. « Mais, enfin ! Les murs ont des oreilles ! » S'exclama-t-il, faussement choqué. « Oh, et capitaine ? N'oublie pas que si besoin, tu trouveras tout le nécessaire dans le second tiroir de ma commo... »
« Harry si tu ne la fermes pas, t-tu.. »
« Je retourne dans ma tente à moitié fracasser par mes propres frères de maison ! » Je l'entends sniffer, prétendant de verser quelques larmes. « Oui, je sais ! » Je soupirai bruyamment pour qu'il se rende compte de mon agacement.
Et tous qu'il m'offrit pour seule 'défense' fut un éclat de rire. C'est en entendant ces pas lourds disparaître en decrescendo dans le couloir, que je savais qu'il n'était plus là pour nous déranger. Je fixe le plafond, serrant instinctivement mes bras autour de la taille d'Adriana, quand je la sentis s'installer à califourchon sur moi.
Qu'est-ce qui m'a pris d'alléger la punition de cet idiot ?
Quelques heures plus tôt...
'Tu es amoureux d'elle.'
Cette phrase n'a pas cessé de répercuter dans mon esprit...
Une fois.
Deux fois.
Trois fois.
Quatre foi..
« Tommo ? » Mes prunelles glaçaient, ne tardèrent pas à rencontrer des orbes jade inquiet. « Est-ce que ça v.. »
« Am-amoureux.. ? » Bégayai-je, confus, par cette réalité.
Amoureux.
Comme dans le verbe aimer.
C'était là un mot fort et puissant.
C'était même plus fort qu'admirateur, qu'apprécier et qu'affectionner.
Jamais dans mes vingt-deux ans d'existence, je pensai qu'il serait possible pour moi de ressentir cette émotion. J'ai toujours pensé que ça m'est interdit. Enfant, j'ai été confronté à la tyrannie due ma différence. Adolescent, mes parents me l'ont confirmé en me confiant à mes gardes du corps, qui ont été plus une famille qu'a eux seules ne l'ont jamais été.
Non, aimer n'a jamais été dans mes cordes.
Comme si cette absence de sentiment, permettait de rééquilibrer la balance de ma piètre vie d'homme parfait.
Comme s'il fallait une faille, pour garder intact mes compétences physiques et mentales. Et cette faille est donc les sentiments. C'était trop beau pour être vrai. Mon coeur a tellement longtemps fonctionné sans un battement envers un quelconque événement ou individu, que si un scientifique m'aurait dévoilé, un jour, que je n'en possédai pas, je l'aurais tout de suite cru sans me poser de question.
« Oui, amoureux. » Répéta-t-il calmement. « Comme.. »
« Comme dans le fait d'être passionné par quelque chose ?» Harry scruta longuement mes traits sans énoncer un traître mot. « Ou encore.. »
« Ressentir de forts sentiments pour une personne. » Me coupa-t-il finalement. « Être éperdument épris et aveuglé par celle-ci. L'avoir dans la peau, au point de ne plus savoir où se donner la tête. Vouloir constamment sentir et être en sa présence, parce que ça nous rassure. Mais, aussi pour se débarrasser de cette boule au ventre, qui remonte tel un poison jusqu'à ton coeur, à chaque fois que ta moitié est loin de toi. » Il penche sa tête sur le côté, levant un sourcil. « C'est ce que tu ressens Tommo, n'est-ce pas ? »
« O-oui. » Soufflai-je faiblement.
'Voilà, pourquoi on a jamais pu trouver la réponse à cette énigme !'
Admit ma conscience.
'Nous avons beaucoup trop réfléchi à des théories...'
Poursuit-il, sidéré par cette réponse si logique.
Improbable, que ça nous a rendus fou.
Terminai-je à sa place, en fixant mes mains, que je trouvais soudainement très intéressante. Nou.. Ou plutôt, j'ai préféré réfléchir avec ma tête et suivre ma logique, plutôt que mon coeur. Pour au final, quoi ? À chaque fois, réagir sous le coup de la colère, car mon cerveau bouillait et réclamait désespérément une pause.
« Merci pour ton aide. » Bredouillai-je rapidement, en me levant du banc.
« Hé, pas si vite ! » M'arrêta Harry, avant que je ne marche jusqu'à la sortie. « Est-ce que je viens d'entendre un 'merci' là ? » Je roule des yeux et décide de le contourner. « Attends ! » Il me retient par le bras, qu'il lâche après avoir rencontré l'expression sévère de mon visage. « Et ma punition, alors ? » Il passe ses doigts contre sa nuque.
« Oh. »
À vrai dire, je ne pensai pas qu'il s'en souviendrait. Pour moi ? Ce n'était qu'un coup de bluffe, pour lui soutirer un maximum d'informations sur mon comportement psychologique que je ne comprends - et ne comprendrai certainement - jamais. Mais, comme j'étais un homme de parole et qu'il m'a donné jusque-là des informations potables, je vais faire un effort. Oui, je vais faire un effort et lui alléger sa punition.
'Quelle générosité tu fais preuve, aujourd'hui !'
Lança sarcastiquement ma conscience, mais je décide de l'ignorer.
« Elle est allégée. » Ses yeux s'illuminent de joie. « Tu peux revenir à la maison. Ta nouvelle punition sera de t'occuper des corvées jusqu'à nouvel ordre. Bien sûr, tu es interdit de tous les party que la fraternité organisera. Mais par contre, si tu m'énerves, tu retournes dans ta tente. » J'émis un pas à reculons, quand il s'avança pour m'enlacer. « N'y penses même pas. » Crachai-je sèchement, en me dirigeant cette fois véritablement jusqu'à la sortie.
« Désolé. » L'entendis-je crier avec une pointe d'amusement. « Oh, et capitaine ?! » Je tourne les talons, un sourcil arqué. « Pour te montrer ma reconnaissance, laisse-moi te faire savoir que si un jour, tu as besoin.. » Il inspire profondément, avant de me gratifier d'un sourire Colgate. « Et je pense que ça sera pour très bientôt ! » S'exclama-t-il. « Tu trouveras tout le nécessaire dans le second tiroir de ma commo.. »
« Mais de quoi tu parles ? » Grondai-je, n'arrivant pas à faire le lien avec notre précédente conversation.
« Des préservatifs ! » Rétorqua-t-il au tac-au-tac, comme si ce fut la chose la plus évidente au monde. « Tu pensais que je parlais de qu.. »
« Mais c'est pas vrai ça ! »
Je lui tourne complètement le dos et poursuit mon chemin sans le laisser finir. Mes joues sont cramoisies par la gêne, les battements précipités de mon coeur semble avoir couru le marathon du siècle, alors que mes sens s'éveillent instantanément, lorsque mes pensées salaces dérivent vers Adriana.
Sale crétin !
Maintenant.
« Louis ? » La douce petite voix d'Adriana m'extirpa de mes pensées. « Il y a quoi dans la commode d'Har.. »
« Absolument rien. » Je la coupe, toussotant exagérément.
« Oh. »
Le visage enfouit contre mon torse, Adriana empoigne ses doigts d'un côté mes flancs. Alors que de l'autre, ces jambes se placent de chaque côté de mes hanches. Je devine ces paupières closes et interdites, culpabilisant presque de l'avoir emmené voir le dernier film d'horreur du moment.
'Toi, culpabiliser ? Mais quel menteur !'
Ricana ouvertement ma conscience.
Bon oui, je l'admets.
Je ne culpabilisai pas du tout.
J'étais même ravi de l'avoir emmené voir ce film d'horreur, qu'est - je suppose - devenu un véritable traumatise pour ma belle Italienne, si je me fis à la position où elle est actuellement. Pour justement l'aider à oublier ces scènes sanglantes, j'ai accepté de répondre aux questions banales sur ma personne.
Mais ça ne semble pas marcher.
Le souvenir du scientifique fou, perçant les globes oculaires, un soir d'orage, de son cobaye vivant et sans être anesthésié avec une perceuse, est toujours vif dans son esprit. Je décide d'enfouir mes doigts dans ses cheveux blonds pour les caresser.
« Ça m'énerve ! Quoi que je fasse, je revois le cobaye de ce fou hurler.. » Marmonna Adriana contre ma chemise. « Je le revois lui supplier de l'épargner, lui crier d'avoir pitié e-et.. »
« Pose-moi une question. » Lui susurrai-je à l'oreille, en traçant de petits cercles contre sa nuque pour l'apaiser.
Décidément, les femmes sont trop émotives.
Que feraient-elles sans nous ?
Je pense qu'Adriana ne s'attendait pas, à ce qu'il reste uniquement des places que pour ce film d'horreur. Pour ma part, je n'arrivais pas à éprouver la même crainte qu'elle. Je sais que la plupart de ces films proviennent - presque tous - du genre fantastique et que souvent, ils échappent aux contraintes du réalisme et du rationalisme. Je sais qu'ils ont été créés pour que les spectateurs ressentent un vif sentiment d'effroi et d'horreur.
Et non l'inverse.
Sinon, ça ne serait pas un film d'horreur.
« Mmh.. » Je la sens se détendre sous mes caresses. « Ta chanson préférée ? » Ses petits doigts lâchent la pression, qu'elle a exercée au niveau de ma chemise.
« Look after you de.. »
« The Fray. » Me coupa-t-elle, souriante. « J'adore ce groupe ! » S'écria-t-elle avec enthousiasme.
« Et quel est le tien ? » M'enquis-je curieusement, quand elle planta son menton au coeur de mes pectoraux.
« Collide de.. »
« Howie Day. »
Elle hoche la tête sans ciller.
Je déplace ma main de sa nuque pour la caler contre sa joue, où je la pousse à lever la tête. Sans broncher, Adriana s'exécuta. Elle réduit même juste assez d'espace qui sépare nos visages, pour frôler ma lèvre inférieure. Je souris, laisse mes doigts vagabondaient au creux de sa joue à sa mâchoire, descendant progressivement à son cou où je m'éternise à sa clavicule.
Ses paupières se sont clos, lors de ma courte exploration. Les lèvres à peine tremblantes, un soupir s'en extirpe, pour s'écraser chaudement à ma gorge. Ses doigts agrippent derechef le tissu de mon haut, alors que mes orbes azurés redécouvrent la couleur contraste des siennes. Elle me fixe, muette, frôlant parfois le bout de son nez contre mon menton.
« Pose-moi en une autre, ma beauté. » Ses douces lèvres exercent une pression contre ma pomme d'Adam, m'envoyant des picotements à travers mon échine.
« Les blondes.. » Susurra-t-elle, comme si elle a peur qu'on l'entende. « Est-ce vrai que tu es attiré uniquement par elles ? »
« C'est quoi cette question ? » Pouffai-je, me demandant où elle a pu chercher ça. « Je n'ai pas de 'genre' particulier. » Je fronce les sourcils, confus. « Qu'est-ce qui t'a mis cette idée en tête ? » Elle pince sa lèvre, baissant la tête presque honteuse.
« Per-personne. »
Cette fille ne sait définitivement pas mentir !
Adriana se redresse en tailleur, éloignant son buste de mon torse. Je ne lui fis pas la remarque, l'observe sans ciller et me redresse également sur mes coudes. Elle est toujours à califourchon sur moi. Sa main chaude s'enfouit dans mon cuir chevelu, à la recherche de la petite bosse dû à mon cognement contre le mur de tout à l'heure.
Une grimace se forme sur mes traits, lorsque sa main finit par trouver la fameuse bosse. Adriana se fige, me jauge longuement de ces prunelles émeraude, avant de la caresser avec précaution du bout des doigts dans le but de chasser la douleur. Je sens chaque battement de mon coeur frappait ma cage thoracique, au fur et à mesure que son visage se penche jusqu'à moi.
« Ça te fait mal ? » Sa voix est douce, tout comme son toucher.
« No-non. »
Sa main se glisse à ma nuque, qu'elle parcourt sensuellement de ces ongles manucurés, où elle traça aléatoirement une ligne jusqu'au creux de mon cou. Sa respiration frappe la partie inférieure de mon visage, caressant mes lèvres et mon menton. Je soupire de bien-être, frémissant comme jamais.
Je veux la rassurer en lui disant, que rien de ce qu'elle me fera n'approfondira mes souffrances.
Je veux l'encercler dans mes bras pour ne plus jamais la lâcher.
Je veux l'embrasser jusqu'à mon dernier souffle.
Je veux..
« Fais en sorte de ne pas l'étouffer. »
Les mots d'Harry résonnent en crescendo dans mon esprit.
Je me fige, le corps stoïque et le regard captivé par la créature blonde qui m'observe, perplexe. Ces cils papillonnent, confuse, par l'expression impassible de mon visage. Mais mon geste ne suffit pas, pour la contraindre à se rétracter de son idée de départ. Adriana restreint l'espace qui sépare nos lèvres et juste au moment où elle s'apprête à les presser, je me lève brusquement en piquet.
« Mh. » Adriana tombe à la renverse dans un cri de surprise, son postérieur s'écrasant brutalement sur le tapis. « J-je.. » Ses yeux s'arrondissent, tandis que ses joues ont fiévreusement rougi de honte. « Il faut que j'aille au petit coin. » Sans énoncer un mot de plus, je me précipite jusqu'à la salle de bains et m'y enferme.
Fuis-moi, je te suis ou suis-moi, je te fuis.
Qui est ce fils de pute qu'a inventé ce dicton ?
**
« Y a-t-il quelque chose que tu ne m'as jamais dit ? » Je reste silencieux un court moment, pensif.
'Tu es amoureux d'elle, Tommo, voir complètement fou d'elle.'
Je chasse immédiatement la voix rauque d'Harry, qui par je ne sais quel moyen, a réussit à envahir mes pensées.
« Pas vraiment, non. » Mentis-je, en essayant de rester le plus crédible possible. « Toi, oui ? » La questionnai-je aussitôt intrigué.
« Mise à part le fait que j'ai réalisé que tu as eu raison pour Avery... » Elle hausse ces épaules. « Je ne vois p.. Oh oui, je sais ! » S'exclama-t-elle d'un coup, comme si elle venait de gagner un prix. « Je ne t'ai jamais dit pardon de t'avoir accusé à tort d'avoir publié ma lettre d'amour. Alors voilà, pardon. » Dit-elle sincèrement. « Je connais même le nom de l'aute.. »
« C'était Abbigail. » Lançai-je, la choquant. « Je sais, c'est Harry qui me l'a dit. » Elle acquiesce, étrangement silencieuse. « Quoi ? Tu veux que je la puni.. » Ses lèvres s'entrouvrent en 'o'.
« Quoi ? Non ! » Je ris.
Même envers une personne qui la déteste - probablement - de tout son être, Adriana arrive à être compatissante envers elle.
Décidément, je ne la comprendrais jamais.
« Tu as une autre question ? » Elle hoche la tête.
« Et bien, oui ! Il y a une question qui m'a toujours trotté l'esprit.. » Admit la belle blonde.
« Laquelle ? » Je m'assois sur mon bureau, après avoir écarté ma chaise sur le côté.
Cette fois, j'ai pris soin d'émettre une certaine distance entre nous. Voilà à quoi j'en suis réduit, après avoir attendu un peu plus de trois ans, pour qu'elle pose les yeux sur moi. Pour une fois qu'une personne souhaite rester de son propre chef à mes côtés, je ne voulais pas gâcher ça. Il est hors de question pour moi, de retourner dans mes vieilles habitudes.
La solitude.
C'était ce qui a de plus pénible.
C'est en essayant de visualiser une autre personne à mes côtés, pour m'aider à me réconcilier avec le contact humain, que je me suis rendu compte que je ne pouvais plus me passer d'Adriana. Le toucher d'Abby et le clin d'oeil aguicheur de cette étudiante me l'ont confirmé. L'horreur, la répugnance et l'écoeurement ne sont pas ce que j'appelle abréger une souffrance.
Adriana ne semble pas avoir remarqué ma soudaine envie de m'éloigner d'elle. Bien qu'au fond, je n'avais pas réellement envie. Oui, je sais, ces deux phrases s'opposent totalement. C'était un véritable dilemme. Comme si, je ne savais pas ce que je voulais. Ce qui je pense est le cas. Non, son envie de connaître mes faces cachées étaient bien plus forte.
« Comment as-tu su quel tour de poitrine je faisais, quand tu m'as acheté l'ensemble de sous-vêtements à Victoria's Secret ? » Je ne pu m'empêcher de bêtement sourire, quand les souvenirs de cette découverte rejouent dans mon esprit.
« Tu ne veux pas sav.. » Elle me lance un regard meurtrier. « D'accord, tu l'auras voulu dans ce cas. »
Trois ans plus tôt...
D'après une étude scientifique, j'ai appris qu'à une certaine période de la vie d'une femme, la poitrine de cette dernière peut cesser de pousser. Ce qui, je dois l'admettre, est assez étrange. C'était comme si, du jour au lendemain, l'appareil reproductif masculin cesser de..
Enfin, tu vois ?
Je vais tout de suite être honnête, avant de passer pour le pervers du campus : je ne me suis jamais intéressé de trop prêt à l'anatomie des femmes. Pour moi, chaque être humain est comme il est. Il y a trois ans, je vivais dans le bâtiment universitaire ouest.
Je crois qu'à l'époque, l'administration rassemblait en deux ou trois étages, les élèves admis grâce au programme Erasmus. Plusieurs semaines se sont écroulées, après la fête d'intégration chez les Delta. Harry et moi n'avons pas encore intégré Omega.
Nous étions encore en pleine recherche, sur quelle maison, nous allons rejoindre. Bien que pour ma part, mon destin était déjà tracé à Omega, mon père étant un ancien membre de la fraternité.
Ça faisait de moi un héritier.
Un héritier que les maisons ennemies souhaitent s'approprier pour enrager l'autre.
« Hé, ne fais pas cette tête Tommo ! »
Jamais personne ne m'a jamais donnée de surnom.
C'était étrange et pas si déplaisant que je pouvais le croire. Enfant, quand j'observai mes alentours et voyais que la plupart de mes camarades de classe détestaient être appelés par un surnom, je pensai que c'était horrible. Mais en même temps, avec des surnoms comme 'Lama des bois' ou encore 'Cachalot au caramel' qui pourrait les blâmer ?
Et pourtant, Harry lui, l'a fait.
Tommo n'était pas méchant, non.
Ça me faisait juste penser à une tomate.
Même si c'est dur à le croire, tu le ressembles un peu. Enfin, par vos caractères, je veux dire. Je sais qu'il a fait du mal à ce crétin de journaliste, mais sache qu'il était sous mes ordres. Tyler laisse parfois un peu trop sa curiosité prendre le dessus. Et pour garder ma crédibilité de président, je me devais de le punir. Même si tu ne dis rien, je sais que tu es du même avis que moi, car après tout ?
Tu le connais mieux que moi.
« Oh, allez souris un peu ! » S'était-il exclamé, enjoué, le sourire jusqu'aux oreilles. « Tu m'en veux encore pour la soirée d'intégration ? Comment peux-tu encore te souvenir de ça ? Plusieurs semaines sont déjà passées ! » Je ne lui ai pas encore confié que j'étais hypermnésie, en plus d'être un enfant précoce. « La belle blonde t'est restée à travers la gorge, c'est ça ? À moins qu'elle ne t'a pas assez satisf.. »
« Adriana Rocchietti. » L'avais-je coupé.
« C'est quoi ça ? » Il a arqué un sourcil, interrogateur. « Une de tes grandes marques de la haute société ? » Il avait pris un ton moqueur, que je savais n'était pas méchant.
« C'est son nom. »
Et il a compris.
Le soir où nous sommes rentrées de la soirée d'intégration, Harry a remarqué chez moi un changement. Pour la première fois depuis notre rencontre, je lui ai souri. Au début, il pensait que c'était parce que nous avons pris du bon temps et que les sept minutes du jeu que nous avons passées ensembles, étaient bien trop court pour faire tous qu'on avait à faire.
J'ai dû lui répéter plus d'une fois que nous n'avons rien fait, qu'on s'est juste contenté d'échanger nos noms et ce qu'on souhaite acheter plus tard, lorsqu'on recevra notre premier salaire dans le métier de nos rêves. Ce qui est assez étrange en y repensant, parce que jour après jour, je me rends compte que je n'en ai pas.
« J'ai besoin que tu me rendes un service. »
« Et pourquoi je ferais ça ? » Le ton qu'il avait émis été provocateur et défiant.
« Parce que je peux t'aider à comprendre tes cours de psychologie. » Mais ce qu'Harry ne savait pas, c'est que j'avais déjà tout planifié.
« Dit celui qui est dans la filière opposée à la mienne et qu'en plus passe sa journée à glander dans son lit ! » Il a ricané, roulant ces yeux. « Avant de proposer ton aide dans le vent, commence déjà à aller en cours ! » M'a-t-il accusé en me pointant du doigt.
Je crois bien que je ne me suis jamais senti aussi 'normale' de toute ma vie. Harry ne m'a pas traité comme le directeur de la faculté, qui m'a certes, accueillis les bras grands ouverts, mais avec une exagération déconcertante. Non, lui m'a traité comme son égale et a douté de ma parole, comme pourrait le faire n'importe quel pré-adulte qui ne connaît absolument rien de moi.
Tout comme toi.
« Pourtant, tu ne disais pas ça, hier soir, quand tu m'as demandé de mieux te faciliter la compréhension du mot prosopagnosie. » La prosopagnosie est un trouble de la reconnaissance du visage.
« Ce n'était qu'un coup de chance que tu comprennes mieux que moi cette définition ! » Avait-il protesté, mauvais joueur. « Mais j-je.. Comme pour te prouver que je suis un homme de coeur, je vais accepter de réaliser ton service ! »
Aujourd'hui, je regrette presque de l'avoir aidé à mieux comprendre les définitions de ces cours. Maintenant ? Ce crétin, s'amuse à m'analyser sous tous les angles. D'après lui, c'est pour me 'remercier' de l'avoir soutenu. Bien que la plupart du temps, je me moque - gentiment - de sa filière et de son futur métier, que je juge entre nous, inutile et sans aucun intérêt.
« Qu'est-ce que je dois faire ? »
Dix minutes plus tard.
« Rappelle-moi pourquoi je dois faire ça ? » Harry n'avait même pas encore commencé sa mission qu'il râlait déjà.
« Parce que de nous deux, c'est toi qui fait le plus efféminer ! » Je sais que ça peut être dur à croire, mais à l'époque, Harry avait les cheveux longs. « Si je rentre là-dedans, on va me prendre pour un pervers ! » Avait ajouté comme argument pour le convaincre.
Adriana ne me regarde pas comme ça, tu sais mieux que quiconque, que je suis loin d'être un pervers.
Ce jour-là, j'ai entraîné Harry au centre commercial.
La matinée, lorsque je suis allé passer les travaux dirigés obligatoires, je t'ai entendu supplier Mindy de t'accompagner au centre commercial. Victoria's Secret liquidait ces stocks apparemment et pour moi, c'était le moment idéal de connaître la taille de ta poitrine.
J'ai obligé Harry à se faire des tresses plaqués, avant de le contraindre de vêtir une chemise hawaïenne orange, un bermuda rose pâle et des tongues à paillettes violette. J'ai dû luter pour qu'il déboutonne les trois premiers boutons de sa chemise et qu'il relève son col. J'avais lu un article que la communauté homosexuelle adorait ce style de vêtement.
Mon plan était simple : féminiser Harry d'autant plus qu'il ne l'est déjà, pour qu'il puisse se fondre dans la masse quand il rentrera dans le magasin.
À l'intérieur, il devra te suivre et si possible rester le lus discret possible. Ce que j'en doute, puisque ce gars-là, ne sait pas rester sagement en place plus de cinq minutes. Harry devra essayer de voir ta taille, en se référant aux sous-vêtements que tu auras choisis dans le magasin.
Ce qui est plutôt simple, non ?
Et bien, tu as raison, non.
C'est en le voyant courir jusqu'à moi, que je savais que les problèmes allaient commencer.
« Tommo lève ton cul de ce banc, jette ce putain de livre dans la fontaine et tirons-nous vite d'ici ! » M'a-t-il jeté précipitamment.
« Quoi ? Mais pourquoi ? » Il faut dire qu'il m'a pris au dépourvu aussi. « T'a ce que je t'ai demandé au moi.. »
« Oui, oui ! » Je me suis levé, après avoir fermé mon bouquin. « Voir même plu.. »
« C'est lui ! » Cria une vendeuse à un agent de sécurité, en pointant son doigt vers notre direction. « C'est lui le pervers qui s'amuse à regarder sous les t-shirts des clientes ! » Mes yeux se sont arrondis à cette annonce et je n'ai pas hésité a envoyé une claque derrière la tête d'Harry.
« Tu as fait quoi ? »
J'ai vu rouge.
Cet enfant est un aimant à problème !
« J-je.. »
Un sourire arrogant a orné le coin de ses lèvres.
Quand je te disais que ce crétin ne pouvait pas tenir en place !
« Pas le temps de discuter ! » Il m'a tiré par le bras, m'obligeant à courir le marathon du siècle jusqu'au parking.
Aujourd'hui.
« Nous nous sommes fait attraper. En fait, on aurait pu les semer. Mais il a fallu que ce boulet trébuche et nous plonge tous les deux la tête la première dans un caddie ! Et à cause de cet imbécile, nous avons passé une nuit au poste pour voyeurisme ! » Grognai-je, encore irrité par cette partie du souvenir.
« Co-comment vous vous en êtes sortis ? » Je remarquai Adriana luttait pour ne pas lâcher un fou rire.
« Ma mère a passé un coup de fil. » Répondis-je, l'évidence sonnant dans ma voix. « Oh, je sais que t'a envie de rire ! Donc vas y ! Ne t'en prive pas ! » Elle éclate de rire de bon coeur. « Je tiens à dire pour notre 'défense' que cette expérience fait partie de l'un des meilleurs souvenirs qui nous a rapprochés ! Vraiment rapprochés. » Répétai-je, comme si j'avais peur qu'elle ne retienne que le côté pervers de l'histoire.
« Pourquoi m'avoir acheté un sous-vêtement trois ans après ? » Me questionna-t-elle, après avoir pris cinq minutes pour se calmer.
« En fait, je voulais le faire l'année où on s'est rencontré. » Je fronce le bout de mon nez, grimaçant. « Mais entre-temps, j'ai appris que tu n'avais de yeux que pour Avery. » Je fixe le sol. « Donc j'ai préféré t'attendre. Mais en juger par la rédaction de ta lettre, il semblerait que tu étais autant dans l'incapacité que moi à faire le premier pas. Alors, j'ai décidé de me lancer cette année. » Je lève la tête et l'observe serrer l'étreinte de ces bras autour de sa peluche. « C'était cette année ou jamais. »
« T-tu.. » Ses iris se perdent dans la profondeur de mes yeux.
Ils brillent.
Ils brillent tellement, que je n'arrive pas à deviner si c'est parce qu'elle a - une nouvelle fois encore - pitié de moi, ou si c'est parce qu'elle est émue. Adriana découvre son corps des couvertures, lâche sa peluche sur le matelas, avant de marcher jusqu'à moi. Le coeur battant, ma respiration se prononce plus lourdement.
Je sens mes doigts tremblaient nerveusement. Je déglutis quand ces mains s'écrasent à tour de rôle contre mes genoux, séparant lentement mes jambes, afin que son corps puisse s'immiscer entre, unissant ainsi nos bassins. Ses bras entourent ma taille et son buste se presse contre mon torse.
L'ai-je vraiment touché ?
Pourtant, je n'ai rien dit qui pourrait provoquer cette émotion chez elle.
« Louis tu m'as attendu.. » Susurra-t-elle faiblement dans une petite voix.
Pourquoi ai-je l'impression d'avoir commis une faute grave ?
Adriana enfouit son minois au creux de mon cou, laissant mon nez s'engouffrait dans ses cheveux où l'odeur de cerise en émane. J'inspire profondément cette odeur fruitée, me délectant de ce délicieux parfum, qui avait le don de retourner sans dessus dessous mes sens.
Cette position me contraint à oublier mon but de départ, qui était celle de m'éloigner d'elle pour la préserver. Son nez se frotte contre ma peau, m'envoyant des vagues de spasmes. Et à cet instant, j'ai décidé d'emmerder profondément ce dicton ridicule et ainsi que les conseils d'Harry.
Je ne veux pas m'éloigner d'elle.
« J-je.. Oui, je t'ai attendu. » Confirmai-je, trouvant le timbre de ma voix plus aigu qu'à la normale.
Sa main droite gagna le creux opposé de mon cou, ce qui stabilise ma tête et lui permet de parsemer par chair de chaste baiser. Mes bras se veulent protecteur en entourant sa taille. Un soupir d'aise s'extirpe de mes lèvres, quand ces baisers devinrent plus sauvages. Ses pulpeuses lèvres roses, qui jusque-là, je pensai qu'ils ne feraient qu'explorer ma peau, semblent être partis à la recherche de mon repère sensible.
Sa bouche se fige un instant et je déglutis, devinant qu'elle venait de trouver ce qu'elle désire. Ses dents pincent une parcelle de chair, la fit rouler entre pour éterniser ce moment intime. Les poils de mes bras s'hérissent, tandis que mon corps vibre d'un endroit à un autre dû aux frémissements. Une douleur se manifeste progressivement à mon bas-ventre et les images salaces que j'ai d'Adriana ne m'aide pas à m'adoucir.
« Adriana, stop. » Elle secoue la tête, ses boucles dorées chatouillent le bout de mon nez. « Je risquerai de perdre le.. »
« Je m'en fiche. »
Sa main libre explore sensuellement mon torse, tâtant chaque partie, comme si elle essayait de s'y agripper. La douleur situait à mon bas-ventre s'intensifie instantanément. Une petite voix intérieure me souffle bien trop tard, que ce n'était là qu'une distraction, pour permettre à sa langue de caresser ma peau toujours prisonnière de ces dents. Mon coeur eut un raté, mon sang est littéralement en train de bouillir, tandis que mon corps se tortille de gauche à droite.
« Bordel ! » Gémis-je, face à cette sensation de bien-être, mêlait à la douleur.
La sentence vient de tomber.
Sans ménagement, Adriana a planté profondément ces crocs dans ma peau. Ses lèvres la suçotent goulument, juste assez pour me marquer. Mes doigts tremblent au niveau de ses flancs, puis agrippent désespérément son haut, que je tire pour dénuder son épaule droit. Je ne cherche pas à comprendre le comment et le pourquoi et précipite mes lèvres sur cette zone de chair interdite pour l'embrasser langoureusement.
Sa réaction ne se fit pas attendre.
Elle frémit, gémit, empoigne mes cheveux et exerce une pression sur mon crâne pour me pousser à continuer. Ça tombe bien, je n'arriverai pas à m'arrêter de toute manière. Mes dents caressent sa peau, comme si elles avaient soif de vengeance. Ma bouche remonte sensuellement à son cou, embrassant ma marque d'appartenance qui a presque fini de cicatriser. Le tissu de ma chemise est martyrisé, voir maltraité, mais je m'en fiche. Ce n'est certainement pas ça qui allait m'arrêter.
Même si elle le souhaitait, je ne pourrais pas.
Elle venait clairement de me provoquer.
« Louis.. »
Mon nom tombe de ces lèvres, faisant vibrer les quatre murs de mon dortoir. Et par je ne sais quel moyen, Adriana réussit à redresser mon visage pour m'obliger à lui faire face. Elle caresse ma joue, alors que de mon côté, je décide de capturer une poignée de ces boucles blondes pour être sûr de garder notre proximité. Ma belle Italienne m'offre un tendre sourire, que je supprime dans un baiser passionné et langoureux où j'étais sûr que jamais elle ne l'oubliera.
Oui, j'ai perdu le contrôle.
« Tu me rends dingue. » Haletai-je le souffle court entre chaque baiser, complètement épris par notre échange intime.
_________________
Ce chapitre a pour but de vous mettre du baume au coeur (vucequisestpassercesderniersjoursunpeudejoienefaitdemalapersonne) *croise les doigts* j'espère que ça a marché !
Ps : Vous savez que j'ai voulu mettre en italique la dernière partie ? (justepourembeterquelquespersonnes) puis après je me suis dit NAAAAAN je serais même plus crédible à force xD *sors*
Ps2 : Je suis désolé en ce moment je suis complètement en train de tomber dans le cliché et me concentre un peu trop sur le couple Loudrina et 'oublie' les autres personnages secondaires...
Promis ! Je vais changer ça !
J'ai quelques questions :
- Mes chapitres sont-ils trop long ?
- Si oui : souhaitez-vous que je les coupe ?
- Si non : sorry je peux pas écrire plus de 6000 mots, quoi que oui, mais par contre je risquerai de publier tous les deux semaines, donc si vous souhaitez attendre tous les 2 semaines au lieu d'avoir une MAJ chaque semaine faite moi signe !
- Souhaitez-vous que je refasse des chapitres bonus ? (où vous aurez le droit au vote bien sûr !)
Sur ceux, je vous souhaite de passer une agréable semaine.
Je vous aimes, mes beautés de la mort qui tue ♥
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top