Chapitre bonus. (Harry Styles)

Bonsooooooooir ! J'espère que vous allez bien et que vous avez passer une bonne semaine !?

Ne vous inquiétez pas ! Je ne vous ai pas oublié ! Dès demain, je vais répondre à vos commentaires ! Cette semaine c'était la 'reprise' pour moi et évidemment ça a été dur. Surtout que je suis en stage et que mon emploi du temps n'est PAS DU TOUT le même qu'en cours. Pour les curieuses sachez que le mardi et jeudi je fais une trèèèèèèès longue journée+ je bosse samedi :'( => Je finis à 19h svp *pleure des écureuils*

C'était ma petite parenthèse !

Ps : EN MEDIA (uniquement celle qui peut le voir pourra comprendre *croise des doigts*) => FOKFPQKPFKZFEOFJOF

Je vous souhaites donc une bonne lecture, mes chéri(e)s ♥

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Harry Styles

Une semaine plus tôt...

Un foulard à motif arc-en-ciel recouvrant mes boucles brunes et un tablier à motif floral entourant ma taille. Je balayai la poussière avec un balai, que les garçons ont volontairement brisé en deux, pour me compliquer d'autant plus qu'elle ne l'est déjà la tâche ménagère que Louis m'a confié.

Et donc, au lieu de me tenir droit, je fus contraint d'accroupir mon dos dû à ma grande taille imposante.

Et encore ?

Ce n'est pas ce qu'ils ont fait de pire.

Ils se sont amusé à frotter plusieurs gommes contre une feuille, puis perforé des feuilles comme des imbéciles heureux, juste pour pouvoir répandre les résidus aux quatre coins de la pièce.

« Bande de trisomique ! » Ronchonnai-je dans mon coin, comme un enfant de huit ans.

Oui, vous l'avez compris.

Ma maudite punition n'est pas encore terminée.

Louis a décidé de me torturer encore 'un peu'.

Ma mâchoire se serre à chaque fois que mes soit disant frères, profite que le capitaine ai le dos tourné pour me mitrailler le postérieur de popcorn, qu'ils ont fait tomber parterre en mangeant comme des porcs. Mes doigts agrippent fermement l'embout arraché du balai, alors que mes prunelles émeraude les fusillent méchamment.

Ils vont me le payer.

Mon corps fut parcouru d'un soubresaut et rapidement, un cri perçant de fillette tomba de mes lèvres, suivant ainsi l'action, quand ils utilisèrent pour missile cette fois des smarties pour claquer mon postérieur.

S'en était trop !

Furibond, je pivote pour leur faire fasse, prêt à cracher à ces sauvages sans coeur leurs quatre vérités.

« Je vais v-vous.. »

« Au suivant ! »

L'entièreté de mon corps fut parcourue d'un désagréable frisson, à l'entente du timbre de voix aigüe de mon président de maison et involontairement coupable de toutes ces persécutions enfantines. Je mordille l'intérieur de ma joue, louche vers sa direction, priant le ciel, tel le non-croyant que je suis, pour qu'il ne m'ait pas entendu.

Et dieu merci !

Ce fut le cas.

Louis est assis aux côtés de Zayn sur un sofa.

Son coude gauche est siégé contre l'accoudoir et une partie de son visage est calée contre sa paume. Ses perçants yeux bleus fixent avec intérêt l'horizon, qui n'est d'autre qu'un de nos confrères, qui se tient près d'un tableau à papier. Je devine d'ores et déjà le stresse de ce dernier, qui maintient fermement entre ses doigts un marqueur. Son visage est en sueur et son regard dérive dans tous les sens, un peu comme un appel au secours.

Il déglutit bruyamment, lorsque Louis lui fit signe de la main de débuter. Cette situation me fit basculer à l'époque où j'étais encore au lycée. Louis représentait sans aucune surprise, l'image d'un de mes anciens profs de maths, qui forçait ses élèves à rester en face du tableau, tant qu'il n'a pas résolu l'équation. Tandis que mon frère de maison, représentait lui, l'élève sans jugeote, qui a préféré tuer des personnes virtuellement à travers des jeux de guerre, plutôt que d'étudier.

« Les filles adorent.. » Commence Parker en dessinant une table tordue sur le tableau à papier, puis deux chaises l'une en face de l'autre. « Les dîners romantiques. » Il dessine ensuite au milieu du tableau, un bouquet de roses qui flotte dans un vase et deux assiettes en face des chaises. « C'est bien connu, non ? » Il rit nerveusement. « Donc pour l'anniversaire d'Adriana, je te conseille de l'emmener dans le meilleur restaurant de la ville et de demander au Chef de vous préparer un menu spécial.. » Il pointe Louis du marqueur. « Qui sera LE plat préférée de mademoiselle. »

Aussi choquant que cela puisse paraître, Louis a décidé de nous montrer un minimum de générosité. Tel le futur et grand homme d'affaires qu'il va devenir plus tard, il a promis un long mois sans punition à l'étudiant qui arrivera à trouver le cadeau idéal pour son Italienne. Et tel des sangsues que sont mes frères, ils ont tous sauté sur cette opportunité, cherchant mentalement et virtuellement quel cadeau pourrait plaire à Adriana.

« Bien sûr, tu loueras un violoniste pour vous jouer la sérénade.. » J'observai Zayn pencher son visage, pour pouvoir entendre les murmures de notre président. « Oh ? Si tu veux un conseil, tu devrais engager des acteurs pour jouer un spectacle de marionnettes ! Elle aime la Reine des Neiges, n'est-ce pas ? Et bien, je suis sûr que les artistes de la fac adoreraient jouer Olaf, Anna, Elsa et.. »

« Sceau de poussière ! » Le coupa Zayn dans un cri, grimaçant à la vue des traits décomposés de Parker.

Je vous laisse deviner ce que ces trois petits mots veulent dire...

Vous n'avez toujours pas trouvé ?

Et bien, c'est plutôt 'simple'.

En acceptant le marché avec Louis, les garçons auraient dû se douter que quelque chose de pas net se passe.

Louis gentil, c'est impossible !

Sauf si tu ressemblais physiquement et psychologiquement à Adriana Rocchietti.

Pour rendre plus 'divertissante' sa recherche du cadeau parfait. Louis, tel le grand - et surtout étrange - créatif personnage qu'il est, a décidé de me faire balayer le salon, pas uniquement que dans le but de nettoyer le salon. Mais de jeter les poussières que j'ai ramassées sur chaque étudiant, qu'il considère l'avoir fait perdre son temps, en lui proposant des idées de cadeaux ridicules, telle que le dîner aux chandelles, par exemple.

Un sceau de poussière est égal à la médiocrité du cadeau.

Rien du tout est égal au cadeau idéal.

Et entre un gâteau en forme de lutin rouge - parce qu'apparemment, c'est la couleur fétiche de mademoiselle - des places bon marché pour un spectacle de marionnettes, un film de romance de dix-huit cent quelque chose, une visite touristique des coins romantique de la ville, ou encore une carotte en peluche avec un bouquet de radis pour faire 'original', je peux vous assurer qu'il y en a eu des sceaux de poussières déversés sur ces crétins !

« Allez, la bouclette ! » Me cria ensuite Zayn en tapant ces mains.

« J-je.. » J'eus un hoquet de surprise, m'accroupissant au sol pour récupérer la poussière à l'aide de la balayette. « Ju-juste une seconde ! » Rétorquai-je, en pointant mon index en l'air.

« Bouge-toi ! » Me pressa-t-il, en tapant de nouveau dans ces mains.

« J'a-j'arr.. » Je me lève précipitamment du sol. « J'arrive ! »

Et juste au moment, où j'allais contourner le canapé pour arriver jusqu'à Parker, je trébuche suite au discret croche-pied de Zayn, déversant la totalité de poussière sur Louis. Mes yeux s'arrondissent, choqué, suivi de ceux de mes camarades.

Sans chercher midi à quatorze heures, je me précipite jusqu'à Louis et m'accroupis à genoux pour lui dépoussiérer le torse. Honteux, c'est sans le regarder droit dans les yeux, que je m'excuse une quarantaine de fois de ma bêtise, les mains et les lèvres tremblantes d'appréhension.

« Pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon, pardon... »

« Les excuses ne valent rien, lorsqu'on ne prend pas la peine de regarder la victime dans les yeux. » Cracha-t-il sèchement, en me poussant les épaules d'un coup de pied pour me faire tomber.

Je tombe sur mon postérieur dans une grimace semblable à celui d'un constipé.

Au moins à présent, j'étais sûr d'une chose..

JAMAIS il ne lèvera ma punition.

Aujourd'hui.


- à l'écoute - Victoria Justice - Gold

'Hey, boy, what you gonna do ! If you want me like I want you, then man up and make your move...'

« Styles va chercher la télécommande ! » Gémis Josh sur un ton las.

'I'm gold ! Gold !'

« Pourquoi t'y va pas toi ? » J'imite le même ton que ce dernier.

« Peut-être parce qu'il est plus près de toi, crétin !? » Grogna-t-il, le visage complètement décomposé face à ce remake de Violeta.

Je tourne ma tête dans tous les sens, pour voir qu'en effet, la télécommande se trouvait à quelques mètres de ma personne. Il suffit juste que je me penche pour la récupérer sur la table basse.

'You, me, good as can be, want to be more than your company

So bet your money on me !'

Oh non !

J'ai pas envie de me pencher !

« STYLES ! » Hurlèrent à l'unisson mes frères de maison.

Mais malheureusement pour moi - et surtout pour eux - ma paresse m'empêcha d'émettre un seul petit mouvement.

« Ju-juste.. Fermez-là ! » Je fis valser ma main en l'air, agacé. « Et apprécier cette 'bonne' musique ! » Sans surprise, ils me bombardent de coussin. « Arrgh, mais arrêtez ça ! Bor.. »

*crie de Marilyn Manson*

Les garçons arrêtent soudainement de me mitrailler de coup de coussins, me fusillant avec de gros yeux quand il se rendent compte qu'il s'agit de ma sonnerie. Je les ignore et me tortille dans tous les sens pour extirper de la poche de mon jean noir, mon cellulaire. Je racle légèrement ma gorge et décroche sans prendre la peine de regarder le nom.

« Styles. L'Apollon de ces dames à l'appareil, bonsoir ! » Répondis-je sur un ton enjoué, d'humeur taquin ce soir.

« Pitié, ne me dis pas que ce genre de phrase marche réellement sur les femmes ? »

Mon corps se congédie, quand je reconnais se timbre de voix profondément calme et aiguë. Je déglutis avec difficulté la bille coinçait dans ma tranchée, observant Zayn prendre place à mes côtés, un sourcil froncé. En voyant mes traits enjoués se décomposer, les garçons présents dans le salon se rassemblent en cercle près de moi.

Josh s'est même décidé à lever son gros cul de son siège pour baisser le son de la télé, où la sonorité musicale de Victoria Justice jouait encore. Curieux, ce fut Zayn qui fut le premier à réagir. Il porta sa main contre mon épaule, le secoue doucement pour me réveiller de mon 'sommeil' éveillé, afin de me questionner du regard.

« Qui est au bout du fil ? » Me chuchota-t-il.

« Lou-Louis.. » Leur mimai-je entre mes lèvres.

« Oh, vas y ! Mets le haut-parleur ! » M'encouragea Zayn, en agitant ces mains pour me presser.

« Mais ça va pas ? » Je cache au creux de mon épaule le combiner, levant mon bras pour empêcher le basané de me l'arracher. « Tu veux qu'il me.. »

Trop tard.

Parker a profité de la distraction de Zayn, pour m'arracher le téléphone et appuyer sur le haut-parleur.

« Harry, je vais le répéter qu'une seule et unique fois. Donc, t'a intérêt à être très attentif. » Me prévint d'une voix sévère Louis. « Rentre dans ma chambre et dirige-toi directement sur ta gauche. » M'instruit-il calmement. « Ouvre la porte de mon armoire, tu trouveras au second étage mes pulls classaient par couleur du plus clair au plus sombre et par tissus. » Poursuit-il, sous nos yeux incompris sur ces prochaines intentions. « Tu m'en prends un dans la pile que tu souhaites, mais bordel ! Fais attention et essaye de ne pas tout déranger. »

Il me connaît tellement bien...

J'étais une personne bordélique et lui mon opposé.

« Et enfin ! Je m'en fiche complètement que tu sois à poil ou habillé dans ton ridicule costume de grenouille pour faire l'imbécile en ce moment, tu rentres dans ta voiture et me le ramène au bâtiment universi.. »

Je sens Zayn me lancer une claque derrière la tête, me poussant à l'interroger sur la raison de cette demande.

Oh, c'est vrai !?

J'ai - presque - oublié à quel point il peut être protecteur envers Louis.

Mais entre nous, je suis sûr qu'il doit avoir un faible pour lui.

Qu'est-ce que ça pourrait être d'autre sinon, hein ?

« E-euh.. » Je racle exagérément ma gorge. « Qu'est-il arrivé à ta chemise ? » Je l'entends souffler au bout du fil.

« Ne pose pas de question inutile et ramène-moi mon pull. » Malgré son calme, son ton est autoritaire. « D'ailleurs, tu sais où est parti Zayn ? J'essaye d'appeler ce con depuis tout à l'heure, mais il ne répond pas ! »

« Qu.. Quoi ? » Les paupières du basané s'entrouvrent, choqué. « Comment ça? Je réponds p.. » Il sort rapidement son téléphone de sa poche. « Plus de batteries. » L'entendis-je grogner. « Bordel de.. » Je plaque ma main contre sa bouche.

« Chuuuut ! » S'écrions-nous tous en choeur.

« C'est qui à l'appareil ? » Intervint un de mes camarades, qui venait juste d'entrer dans le salon.

« Le capitaine. » Répond John.

Sans même lui laisser le temps de poser la question sur la raison de son appel, il poursuit.

« Il veut qu'Harry lui apporte un vêtement de rechange, vu que Zayn ne répond pas ! »

« OHHHHH ! » Un énorme sourire de psychopathe étire instantanément ces lèvres. « Son Italienne lui a ENFIN arraché ces vêtements ? » Il ricane comme un imbécile. « Et bah ! C'est pas trop.. »

« Chuuuut ! »

Discrétion : moins vingt-deux mille neuf cent cinquante-trois.

Pourquoi mes frères de maison sont tous des crétins ?

« C'est quoi votre problème ? Vous avez vos règles ? » Il continue bêtement de rire, avant de croiser nos regards meurtriers. « Oh non.. » Ses rires s'estompent progressivement. « Ne me dites pas que vo-vous.. »

« Harry ? » Il se fige. « J'espère pour toi que tu n'as pas mis le haut-parleur ? »

Mon regard balaye ceux de mes confrères dans l'espoir de chercher de l'aide, mais évidemment, la seule chose dont-il m'ont - gentiment - gratifié fut d'une claque derrière la tête.

Cher ironie, quand tu nous tiens !

« A-ah-aoutch ! » Je passe mes doigts dans mes boucles.

« Harry ? » Je ravalai ma salive et repris aussitôt mes esprits.

« E-euh.. » Je me gratte la nuque, pinçant nerveusement ma lèvre. « No-non... » Mentis-je, en coupant rapidement le haut-parleur.

« Tu sais quoi ? » Il marque une courte pause. « Oublie tous que je viens de te dire. J'arr... »

Je raccroche précipitamment, effrayé qu'il profite que nous sommes encore en ligne pour surgir du téléphone. Je sais que c'est irréaliste et impossible, mais je m'en fiche.

À cet instant, je ne pensai plus droit.

Je fixe dans le blanc des yeux quelques micros de secondes les garçons, qui en faisaient de même pour moi, mais avec curiosité. Chose qui m'a paru une décennie, puisque nous n'avons pas bougé.

« Faite vos bagages et partons tous tout de suite à l'autre bout du monde, mes frères ! » Jetai-je en bondissant du canapé, comme si on venait de m'annoncer la fin de l'humanité. « Seigneur Tommo arrive et il n'est pas content ! »

'Repose en paix, Styles. L'Apollon de ces dames !'

Ricane ma conscience, m'imitant ma précédente voix assuré à la perfection, mais avec évidemment toute l'ironie du monde.

Quoi que en même temps...

Il est moi et je suis lui.

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Moi qui m'attendait à ce que vous choisissez toutes/tous Mindy...

Arrgh, j'avais rien prévu pour Harry ! Mais bon c'est pas grave ! Ça m'a permis de vous montrer le pouvoir de persuasion de Louis sur les garçons de sa fraternité au moins :p

En tout cas, j'espère que ce court chapitre vous a plu (même si ça n'a pas vraiment fait avancé l'histoire) et que la personnalité enjoué d'Harry (qui est carrément à l'opposé du bad boy qu'on connait tous/toutes) vous fait toujours autant rire ^^

Passez une bonne semaine, mes sucettes en licorne bleu/vert/rouge/marron...

I REALLY REALLY REALLY REALLY LOVE YOU ! ♥

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