Jordie le savais, il savait qu'il regretterait ses actes mais il n'avait pas vraiment le choix... C'était soit garder ce qu'il avait de plus précieux et perdre le peu d'honneur que son père lui portait ou perdre ce bien mais rester dans l'estime de Kaz... Et Jordie avait choisi.

Après tout leurs rendez vous et leurs moments passés ensemble, Jordie s'était décidé à annoncer une mauvaise nouvelle à sa copine... À cause de Kaz...

- Tu vois Kaz... Dans ce moment là. Je te déteste. Mais bon... On aura le droit à notre Mary/Sirius ensuite... Mais bon... Bref. Ambre... Tu t'égares. Retourne avec la Turquie de la hggsp, la peau de chagrin et Dorian Gray.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

- Salut Mary. Dît il en faisant la moue.

- Qu'est ce qu'il y a ? Hey ! Ça va ?

- Pas vraiment...

- Quoi ?

- Si je te trahis. Je me trahis moi même. Et si je les trahis, je trahis ma famille... Ma famille est très importante pour moi.

- Plus que moi ?

- Non... Non, pas plus que toi. Dit il en souriant.

- Alors... Je veux savoir la vérité Jordie... Petit berger...

- Je suis vraiment désolé. Dit il en se mettant à pleurer...

- Jordie bordel ! S'il te plaît... Dit elle en voyant qu'il pleurait de plus en plus.

- ...

- Jordie...

- Toi et moi ça doit se terminer...

Les propos du psycoralki eurent comme l'effet d'une douche froide pour Mary.

- Tu n'es pas sérieux...

- J'ai pas le choix...

- Pas le choix ?

Mary continuait d'être calme dans ses propos mais Jordie avait sondé son esprit et il savait que Mary était à deux doigts de se mettre dans une colère noire. Il l'a connaissait... Presque mieux que personne...

- Marilla... Je suis désolé... Mais...

- Mais quoi ? Demanda elle en haussant la voix.

- Tu rentres de nouveau à Poudlard en septembre.

- Tu es un menteur Jordie Brekker ! Je sais très bien que ce n'est pas pour ça ! Ce fut au tour de Mary de se mettre à pleurer.

- Mon père...

- C'est ton père le responsable ?! C'est ta véritable excuse ou un encore un mensonge ?!

Jordie sentait toutes les émotions de Mary qui vacillaient dans tous les sens. Entre la colère, la tristesse, la déception et la rage elle était complètement perdue.

- Je dois tenir mes distances Mary car je sais que je ne peux pas t'avoir.

- Tu peux m'avoir Jordie... Quoiqu'il arrive...

- On ne s'oubliera pas ?

- Moi non... J'ai le droit à un dernier au revoir ?

Jordie s'approcha de Mary et l'enlaça puis embrassa son front.

- Pardonne moi...

Mary embrassa alors les lèvres de Jordie tout en pleurant en sachant que cela serait leur dernier baiser. Les larmes de Mary coulait sur les joues du voleur en se mêlant aux gouttes de pluie tandis que l'orage grondait autour d'eux dans un grand fracas.

Jordie stoppa le baiser et parti en pleurant tandis que Mary rejoignit le port de Kerch en partant de son côté.

- Goodbye my almost lover.

Le kerch rentra dans le crow club puis s'assit sur un canapé en soupirant tandis que Kaz le regarda en réfléchissant.

- Qu'est ce qu'il t'arrive encore ?

- Pas envie d'en parler...

- Tu laisses encore tes sentiments ressortir, c'est ta faiblesse.

Jordie se tourna vers son père et bouillona de rage.

- Alors là c'est le pompon !!! Je viens justement à l'instant de mettre mes sentiments de côté pour toi et le crow club !!! Alors viens pas me faire le leçon et me demande pas pourquoi car ça te concerne pas !!!

- Tu vas me parler autrement déjà.

- Non mais quel culot ! Tu as vu comment toi tu nous parles ! À Alina et à moi ?! On est que des investissements pour toi ! Oh ! Mais en fait... Maintenant que j'y réfléchis... C'est comme pour maman.

- Ne parle pas d'Inej.

- Inej ? Moi je dirais plutôt que ma mère s'appelle Eriel. Et oui papa, j'ai suivi tout tes conseils à la lettre. Je m'informe.

- Alors tu connais la vérité...

- Sur Eriel et toi ? Oui. Tu me parles de laisser mes sentiments de côté mais tu es mal placé pour me faire la morale.

- ...

- Ouais. Dit il en explosant de rire. C'est comme d'hab avec toi. On trouve tes faiblesses et tu la ferme. Tu n'assumes pas tes actes. Et bah tu sais quoi ! moi je les assumes pas non plus ! Dit il en se levant.

- ...

- Je viens de laisser la plus belle chance de ma vie s'en aller dans un ouragan ! Génial ! Hurla Jordie en prenant une bouteille de tequila dans un placard puis en l'avalant cu sec.

- Jordie...

- Tu connais mon prénom papa ?! Alors là quelle découverte enrichissante !

Jordie éclata la troisième bouteille qu'il venait de s'enfiler par terre et monta les marches en titubant en croisant Anthony qui le regardait avec étonnement suivi d'Alina et Clémence.

- Il s'est passé quoi ? Demanda Alina à Kaz.

- Rien qui vous concerne.

- Euh Kaz. Dit Clémence. Je pense que là ça nous concerne un peu... Jordie c'est notre pote... Et votre fils.

Soudain, le téléphone d'Anthony vibra et ce dernier le sorti de sa poche.

The-queen-is_coming
Déso Antho... Je viens pas ce soir.

❤️Gaufres-forever🧇
Bah pourquoi ? Tu venais avec jj en plus.

The-queen-is-coming
C'est justement pour ça que je viens pas.

❤️Gaufres-forever🧇
Oh non...

The-queen-is-coming
Oh si.

❤️Gaufres-forever🧇
Je vois. Je te laisse Mary. Bisous.

Anthony fila discrètement son téléphone portable à Alina puis à Clémence qui hochèrent la tête en comprenant la situation.

Le fondeur monta rejoindre Jordie qui était allongé sur son lit en train de lancer sa balle de tennis sur le plafond.

- Hey jj.

- Salut Antho.

- Tu veux discuter.

- Mrf. Grogna t'il tandis que le fondeur explosa de rire.

- On dirait ta sœur... Elle réagit pareil quand je trouve son sujet de préoccupation jj.

- J'ai quitté Mary.

- Pourquoi ?

- Je voulais pas que mon père le sache... Sachant que je suis déjà bas dans son estime. Dît Jordie en explosant en pleurs. Papa a un problème avec l'honneur et le profit... Je voulais pas devenir une honte pour la famille et les corbeaux... Et que papa découvre la vérité... Sur le fait que je sortais avec Mary... Il m'aurait déshérité, déshonoré et détesté jusqu'à sa mort... Je suis trop égoïste. Dit il en cachant son visage avec ses mains.

- Tu devrais l'expliquer à Mary...

- Trop tard. C'est fait... Elle m'en veux... J'ai lu dans son esprit...

- Ah... C'est vrai que Mary c'est l'opposé même du pardon... Elle a un sale caractère...

- Mais c'est ce qui fait son charme... Enfin pas que ça. Dit il en bafouillant. Regarde moi... Je suis ridicule.

- Non. Pas ridicule. Humain.

- Tu es vraiment mon meilleur pote Antho avec Billy.

- Billy ?

- Bah oui ! Mon petit Billy. Dit il en explosant de rire malgré les larmes qui coulaient sur ses joues.

- C'est qui ce fou ?!

- À ton avis.

Anthony leva les mains aux ciel en hochant les épaules.

- Il est blond et bouclé, a une barbichette de trois jours, hurle mais surtout, il a une tête de con.

- William !

- Wouah ! Comment tu as deviné ?! Hurla Jordie en tombant de son lit.

- Ça va ?

- Je viens de largué l'amour de ma vie. Je pète le feu. Dit Jordie en se remettant à pleurer.

- Pardon.

Mary de son côté était retourné à Ravka et s'était enfermée à double tour dans sa chambre quand William toqua à la porte.

- Ryry. Pourrais tu ouvrir cette porte ? Dit il en chantonnant faux.

Je voudrais un dragon de neige.
Oh viens jouer avec moiii !
Tu te caches on ne se voit plus,
Dis que fais tu ?
Tu n'es plus vraiment toiii !
Nous étions frangins et amis,
Mais c'est fini.
J'aimerais savoir pourquoiii !
Je voudrais un dragon de neige.
Oui s'il te plaît un dragon de neige.

- Va-t'en William.

- Pense à moiiii !
Je voudrais un dragon de neige.
Ou faire du cheval dans la cour
Je suis un prince en manque de compagnie.
Je parle aux murs et à ces portraits qui m'entouuurent !

William se mis à courir dans le grand Palace.

Salut Marie Stuart !
Je suis seul et je m'ennuie
Tu restes de glaceee !
Et moi j'attends que les heures passeeent

Ryry ?
Peux-tu ouvrir cette porte ?
Pourquoi restes-tu enfermée ?
On me dit sois fort, le temps arrange tout.
Mais j'ai besoin de nous pour oublieeeerrr.
Que nous n'avons plus personne.
Plus aucune famille... À part ma mèreeee.

Quel avenir pour nous ?
Je voudrais un dragon de neige... Oui s'il te plaît un dragon de neige.

- On est en été William. Dit Mary à travers la porte.

- J'en ai rien à caré. Sort ou je fracasse la porte.

- Non.

- Je t'ai prévenu.

William recula de quelques mètres et fonça dans la porte à toute vitesse sous sa forme d'animagus. Il rentra dans la chambre de sa sœur dans un immense fracas.

- Non mais t'as un grain putain !

À la place de William se trouvait un lion et à la place de la porte... Un trou...

- Putain ma porte !

- Je le savais.

- Plus con que toi on meurt.

- Je viens de chanter une magnifique chanson ! J'ai défoncé la porte et c'est comme ça que tu remercies ! Dit William en hurlant et en se mettant en colère.

Mary invita William à la rejoindre sur son lit tandis que ce dernier fit un clin d'œil à la porte puis chuchota.

- Vous voyez chers lecteurs... Je suis doué pour remonter le moral de ma sœur. Et pour l'arnaquer... Je suis même pas fâché... Mais je l'aime ma sœur.

- En parlant de ça William... Tu devrais consoler Mary car elle vient de se remettre à pleurer.

- C'est pas ton boulot en tant d'écrivaine de consoler Mary ma chère Ambre.

- Mouais. Occupe toi en.

- Bah ouais ! Moi je sais m'occuper des gens et pas toi ! Dit William en me tirant la langue puis en sautant sur le lit de sa sœur.